Dakota du Sud, États-Unis. Deux cousins amérindiens, Rick Overlooking Horse et You Choose Watson, liés par le sang et la terre, se retrouvent pourtant en conflit. La colère gronde dans la réserve à cause des injustices infligées au peuple lakota par le gouvernement fédéral, et les deux hommes prennent des directions opposées. Rick choisit celle de la paix ; You Choose, celle de la violence.
Dans ce récit magistral, Alexandra Fuller évoque avec poésie et sagesse la beauté secrète des grandes plaines nord-américaines et le destin des Amérindiens qui y vivent toujours ; une existence cadencée par les saisons et par les rituels de leurs ancêtres.
Petite fille, Bobo a appris à manier le fusil, à cuisiner un impala, à conduire un tracteur et à se garder des morsures de serpents. En 1972, elle s'installe avec sa famille en Rhodésie l'actuel Zimbabwe , pays ravagé par la guerre civile, mais aussi terre de saveurs, de parfums et de sons qu'elle reconnaît intuitivement comme la sienne. Son enfance, ponctuée de déménagements successifs en Afrique australe, oscille au gré de tragédies historiques et intimes.
Premier volet des mémoires de l'auteur, ce récit est un chant d'amour à une famille adorée, chaotique, drôle, et à l'Afrique, terre des premiers émois, de l'initiation et de la découverte naturelle de l'autre. Alexandra Fuller ouvre ainsi une page d'histoire et sa malle aux souvenirs souvent tendres, parfois durs, et toujours poignants.
Un formidable récit autobiographique, truffé d'humour et d'émotion. Julien Bisson, Lire.
Née sur l'île écossaise de Skye, la mère d'Alexandra Fuller, mieux connue sous le nom de « Nicola Fuller d'Afrique centrale », a grandi au Kenya dans les années cinquante avant d'épouser un Anglais fringant. Ils s'installent dans leur propre ferme, d'abord au Kenya puis en Rhodésie l'actuel Zimbabwe où l'auteur, Bobo, et sa soeur ont grandi, avant d'atterrir en Zambie. Nicola, à la fois drôle, originale et spontanée, reste inébranlable dans le maintien de ses valeurs familiales, la fierté de son sang écossais, et sa passion pour la terre et les animaux. Le parcours de la famille Fuller, déterminée à rester en Afrique malgré la guerre civile, est fait de survie, de folie, de loyauté et de pardon. Elle trouvera la sérénité sous son « arbre de l'oubli ».
Le deuxième volet bouleversant des mémoires de l'auteur.
Récit intime, évocation historique, désopilant et grave, L'Arbre de l'oubli est un peu tout cela à la fois. Nils C. Ahl, Le Monde des livres.
De la Zambie au Wyoming, de la ferme africaine de ses parents aux paysages de l'Ouest américain, Alexandra Fuller revient sur ses vingt années de mariage, alors qu'elles touchent à leur fin. Elle décrit, avec poésie et humour, son déracinement et sa quête d'identité. Elle médite sur la place de l'écriture, qui lui a permis de tenir au fil des tragédies, et de chasser la solitude. Elle trouve refuge auprès de son père, un homme indépendant et courageux, vivant sans regrets, se contentant toujours du minimum, même après avoir perdu plus que quiconque. Grâce à ses conseils, elle trouve la force de se reconstruire et de « partir avant les pluies ».
Le troisième volet, introspectif, sensible et émouvant, des mémoires de l'auteur.
Avec ce récit, Alexandra Fuller boucle un cycle, amorce sa renaissance, réunit ses deux continents. Pascale Frey, Elle.
C'était dans la petite ferme piscicole et bananière d'une chaude vallée qu'ils s'étaient enfin fixés, après des décennies d'errance en Afrique australe et centrale, séduits par la forêt de mopanes, les étangs à poissons dominés par les baobabs à l'écorce rose-argent, et le large fleuve Zambèze coulant paresseusement vers le sud.
Ainsi vivait Tim Fuller, un mouton noir anglais qui s'est exilé en Afrique où il s'est battu lors de la guerre du Bush rhodésienne avant de s'établir en Zambie avec sa famille. Maintenant qu'il n'est plus, l'autrice et sa mère dispersent ses cendres au pied des baobabs qui règnent sur leur propriété et affrontent son absence écrasante. Le résultat est un récit débordant de joie, de vitalité et de résilience dans lequel Alexandra Fuller intériorise les leçons de son père et célèbre la mémoire d'un homme qui dévorait la vie à pleines dents.
The debut novel from the bestselling author of Don't Let's Go to the Dogs Tonight and Leaving Before the Rains Come . Awe inspiring . . . An ardent, original, and beautifully wrought book. -- The New York Times Book Review Lakota Oglala Sioux Nation, South Dakota. Two Native American cousins, Rick Overlooking Horse and You Choose Watson, are pitted against each other as their tribe is torn apart by infighting. Rick chooses the path of peace and stays; You Choose, violent and unpredictable, strikes out on his own. When he returns, after three decades behind bars, he disrupts the fragile peace and threatens the lives of the entire reservation. A complex tale that spans generations and geography, Quiet Until the Thaw conjures, with the implications of an oppressed history, how we are bound not just to immediate family but to all who have come before and will come after us, and, most of all, to the notion that everything was always, and is always, connected.
From bestselling author Alexandra Fuller, the utterly original story of her father, Tim Fuller, and a deeply felt tribute to a life well lived Six months before he died in Budapest, Tim Fuller turned to his daughter: Let me tell you the secret to life right now, in case I suddenly give up the ghost." Then he lit his pipe and stroked his dog Harrys head. Harry put his paw on Dads lap and they sat there, the two of them, one man and his dog, keepers to the secret of life. Well? she said. Nothing comes to mind, quite honestly, Bobo, he said, with some surprise. Now that I think about it, maybe there isnt a secret to life. Its just what it is, right under your nose. What do you think, Harry? Harry gave Dad a look of utter agreement. He was a very superior dog. Well, there you have it, Dad said. After her fathers sudden death, Alexandra Fuller realizes that if she is going to weather his loss, she will need to become the parts of him she misses most. So begins Travel Light, Move Fast , the unforgettable story of Tim Fuller, a self-exiled black sheep who moved to Africa to fight in the Rhodesian Bush War before settling as a banana farmer in Zambia. A man who preferred chaos to predictability, to revel in promise rather than wallow in regret, and who was more afraid of becoming bored than of getting lost, he taught his daughters to live as if everything needed to happen all together, all at once--or not at all. Now, in the wake of his death, Fuller internalizes his lessons with clear eyes and celebrates a man who swallowed life whole. A master of time and memory, Fuller moves seamlessly between the days and months following her fathers death, as she and her mother return to his farm with his ashes and contend with his overwhelming absence, and her childhood spent running after him in southern and central Africa. Writing with reverent irreverence of the rollicking grand misadventures of her mother and father, bursting with pandemonium and tragedy, Fuller takes their insatiable appetite for life to heart. Here, in Fullers Africa, is a story of joy, resilience, and vitality, from one of our finest writers.
En entreprenant ses recherches documentaires sur l'exploitation des ressources naturelles des hauts plateaux du Wyoming, Alexandra Fuller s'attendait à voir des violentes tempêtes, des cieux immenses et des industriels affairés - mais certainement pas à rencontrer un cow-boy en chair et en os. Surtout pas Colton, un garçon aux yeux d'azur, qui aimait avant tout son mustang, ses amis, sa jeune femme et tout ce qu'offre son Ouest natal : la chasse, les rodéos, les pick-up et le camping. Pourtant comme son père et son grand-père, Colton a décidé de rejoindre une équipe de roughnecks sur les champs de gaz naturel.
petite fille, alexandra a appris à tirer au fusil, à cuisiner un impala, à conduire un tracteur, à se garder des morsures de serpents quand elle se lève la nuit.
son père, anglais de naissance, est venu au kenya pour voir des girafes et échapper à des parents alcooliques, et sa mère y a vécu la vie d'une beauté coloniale au crépuscule de l'empire. avec sensibilité et humour, alexandra fuller fait ici le récit de son enfance africaine placée sous le signe d'une double tragédie : tragédie familiale, avec l'alcoolisme puis la folie d'une mère brisée par la mort de trois de ses enfants, et tragédie politique, celle d'une afrique australe déchirée par les guerres.
" larmes de pierre est une ode à l'afrique, une sublime déclaration d'amour. avec les yeux de l'enfant qu'elle n'est plus, alexandra fuller nous plonge dans son monde sans manichéisme ni jugement. l'afrique n'a jamais semblé si attirante. " tifenn duchatelle, elle.
This memoir recounts Alexandra Fuller's life in what was then Rhodesia, where her parents moved in 1971 when she was just two. While her father was away fighting for Ian Smith's government, her mother worked the family farm. This story deals with their time there during the country's civil war.
Alexandra Fuller's 2001 memoir, Don't Let's Go to the Dogs Tonight, was a funny, moving, tragedy-strewn account of growing up in a white settler family in Rhodesia, later Zimbabwe, and of her parents' continuing lives in Malawi and Zambia. Now, in Cocktail Hour Under the Tree of Forgetfulness, Fuller takes up the story again to fill in her parents' early years and family backgrounds, and goes on to bring them forward into the present, to their fish-and-banana farm in Zambia. She also revisits episodes she described in the first book: the hardships and accomplishments of their drought-plagued, war-blighted farming ventures; the deaths of three of their children; and her mother's mental breakdowns.
Influential photographer Annie Leibovitz presents her remarkable portraits in this acclaimed and bestselling collection.
Annie Leibovitz: Portraits 2005-2016 is the photographer's follow-up to her two landmark compilations, Annie Leibovitz: Photographs, 1970-1990 and A Photographer's Life, 1990- 2005. For this collection, Leibovitz has selected the best and most representative portraits from her work between 2005 and 2016. The pictures document contemporary culture with an artist's eye, wit, and an uncanny ability to personalize even the most recognizable and distinguished figures.