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En ce début du XXIe siècle où la place et les droits des femmes régressent dans tant de pays, il est urgent de lire, de relire, Benoîte Groult. Grande romancière, traduite dans le monde entier, mais aussi grande féministe, elle fut une pionnière dans tous les combats pour les femmes.
Journaliste et romancière, Benoîte Groult a voué une grande partie de sa vie à défendre la cause des femmes. Puisé dans son expérience personnelle et dans son engagement, son féminisme est à figure humaine, sans concession mais sans haine, animé par un humour salvateur. Bien avant le mouvement #MeToo, Benoîte Groult écrivait : " Le féminisme n'a jamais tué personne. Le machisme tue tous les jours. " Elle fut la première à dénoncer l'excision, la première à remettre à l'honneur Olympe de Gouges. Son essai Ainsi soit-elle, publié en 1975 et vendu à plusieurs millions d'exemplaires, reste encore et toujours une bible du féminisme.
Benoîte Groult rencontre le succès dès la parution du Journal à quatre mains (1958), écrit avec sa soeur Flora. Les Vaisseaux du coeur (1988), où elle décrit une passion physique de façon très crue - chose rare à l'époque... pour une femme -, devenus un best-seller international, ont été adaptés au cinéma et au théâtre. Dans La Touche étoile (2006), son dernier roman, elle raconte comment son héroïne, 80 ans, s'est juré de ne pas se laisser déborder par la vieillesse dans un monde où " vieillir est un délit ". Ce plaidoyer sensible pour le droit de mourir dans la dignité dit son refus de se laisser confisquer sa mort, comme elle avait refusé de se laisser confisquer son ventre.
On découvrira également de larges extraits inédits de son journal intime dans lesquels apparaît parmi d'autres la figure de François Mitterrand, ami intime du couple qu'elle formait avec l'écrivain Paul Guimard.
Oui, plus que jamais il faut lire, relire Benoîte Groult, en ce début du XXIe siècle où les droits des femmes régressent dans tant de pays, et pas seulement à l'autre bout du monde.
Ce volume contient : Journal à quatre mains - Les Vaisseaux du coeur - La Touche étoile - Ainsi soit-elle - Le Féminisme au masculin - Olympe de Gouges, la première féministe moderne, des extraits du Journal inédit de Benoîte Groult, ainsi que ses préfaces à trois ouvrages traitant des mutilations sexuelles féminines et des femmes battues. -
Exhortation provocante, triomphante, à la passion physique capable de balayer toutes les différences sociales, culturelles, les entraves conjugales, l'éloignement, le temps, Les Vaisseaux du coeur de Benoîte Groult est la plus fabuleuse des histoires d'amour.
Claire Gallois, Le Magazine littéraire.
Elle a osé appeler un chat un chat, et ce roman n'a pas fini de faire scandale (...). Pourtant, ne croyez surtout pas qu'il s'agisse d'un man « leste ». C'est tout simplement une superbe histoire d'amour.
Danièle Mazingarbe, Le Figaro Madame.
Il ne faudrait pas voir pour autant dans Les Vaisseaux du coeur une sorte de roman « volontariste », affirmant sans nuance que la liberté d'aimer « sauve » de tous les maux. Il suffit de lire les belles pages sur la vieillesse, vers la fin du livre, pour s'apercevoir que Benoîte Groult n'a pas perdu, dans une prétendue « pornographie », sa lucidité.
Josyane Savigneau, Le Monde. -
Journal d'Irlande ; carnets de pêche et d'amour, 1977-2003
Benoîte Groult
- Le Livre de Poche
- Documents
- 8 Janvier 2020
- 9782253257622
Pour Benoîte Groult et son mari, Paul Guimard, amoureux de la mer et du bateau, acharnés de pêche, l'Irlande fut un coup de foudre. Dans ce Journal tenu pendant vingt-trois étés, elle célèbre ce pays « toujours à la veille d'une tempête ». Elle fait surtout le récit sans fard du trio amoureux qu'elle forme avec son mari et son amant américain, Kurt, avec lequel elle vit une intense passion charnelle. Nombreux sont les amis venus leur rendre visite : François Mitterrand, Élisabeth et Robert Badinter, Éric Tabarly, Régis Debray... De chacun, elle dresse des portraits saisissants de justesse et, parfois, de rosserie. Son humour n'épargne personne, mais elle porte surtout un regard implacable sur le vieillissement de ses proches et sur le sien.Drôle, étonnant, bouleversant, ce Journal intime se lit comme le « roman vrai » de l'automne de Benoîte Groult. Interrompu par la maladie et la mort, le texte a été repris par sa fille, Blandine, pour ressusciter l'écrivaine à travers ce livre posthume établi selon sa volonté.On a le bonheur d'entendre de nouveau la voix claire, tranchante, de cette grande dame énergique au tempérament râpeux. Nathalie Crom, Télérama.Texte établi et préfacé par Blandine de Caunes.
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Ni Dieu ni Diable, Moïra, dans la mythologie grecque, représente la destinée. Elle s'attache à faire advenir l'improbable chez ses protégés en brouillant les cartes quand elle les juge mal distribuées.
Ainsi Marion, qui s'est mariée en espérant former un couple moderne, découvrira qu'on souffre comme au temps de Racine même si on a signé le contrat de Sartre et Beauvoir. Mais Moïra lui fera vivre, en marge, une liaison passionnée avec un Irlandais un peu fou, un peu poète.
Sa mère Alice, quatre-vingts ans, journaliste féministe de choc, s'est juré de ne pas se laisser déborder par la vieillesse. Un défi osé que Moïra l'aidera à relever avec panache.
La Touche étoile est une leçon des Ténèbres, dite sur le ton de l'allégresse. Le roman émouvant et drôle de plusieurs générations de femmes. -
Tant que je saurai où demeurer, tant que je serai accueillie en arrivant par le sourire de mes jardins, tant que j'éprouverai si fort le goût de revenir et non celui de fuir ; tant que la terre n'aura perdu aucune de ses couleurs, ni la mer de sa chère amertume, ni les hommes de leur étrangeté, ni l'écriture et la lecture de leurs attraits ; tant que mes enfants me ramèneront aux racines de l'amour, la mort ne pourra que se taire. Moi vivante, elle ne parviendra pas à m'atteindre. B. G. Benoîte Groult publie enfin son autobiographie : d'une enfance privilégiée dans les années 1930 à l'engagement féministe, d'un mariage bourgeois au contrat de liberté, l'auteure de La Touche étoile raconte ici sa traversée de la vie comme une perpétuelle évasion.
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Neuf personnages s'embarquent pour un tour du monde en bateau. Une femme vieillissante qui, par peur de lasser l'homme qu'elle aime, risque de le perdre. Un homme de quarante ans qui découvre, à la suite d'un infarctus, qu'il ne supporte plus son métier, ni sa femme, ni ses cinq enfants. Un garçon de vingt ans qui fuit Paris et le luxe familial pour aller chercher au loin des raisons de vivre. La Part des choses, c'est la vie de tous ces individus qui, sortis de leur cadre familier, révèlent leurs angoisses et leurs espoirs. Mais c'est aussi l'histoire d'un couple arrivé à l'âge où l'on fait la part des choses...
En Australie, à Nouméa, à Bénarès ou Tahiti, délivrés de toute servitude, nos personnages se retrouvent face à eux-mêmes. À Tahiti surtout où la douceur de vivre abolit les contraintes. C'est là que nos héros découvrent leur destin, un destin que la plupart d'entre eux n'avaient pas soupçonné. -
Journal d'Irlande ; carnet de pêche et d'amour, 1977-2003
Benoîte Groult
- Grasset
- 11 Avril 2018
- 9782246816874
Le dernier projet d'écrivaine de Benoîte Groult était de publier son « Journal d'Irlande ». Elle avait l'intention d'entrecroiser ses « Carnets de pêche » en Irlande où elle avait passé plus de vingt étés avec son mari Paul Guimard, et les passages de son Journal intime tenu conjointement. Elle avait commencé ce travail d'orfèvrerie littéraire, que la maladie et la mort l'ont empêchée de mener à son terme. C'est sa fille Blandine qui a choisi de mettre ses pas dans ceux de sa mère pour lui rendre le plus beau des hommages en la faisant revivre à travers ce livre posthume établi selon sa volonté.
Le livre se présente comme un Journal tenu durant vingt-six étés, rythmé par une quadruple dramaturgie : l'installation en Irlande, la maison que Benoîte et Paul y achètent, la vie locale avec ses figures pittoresques, la passion de la pêche, de la mer, du bateau, des produits de la pêche à cuisiner, etc. L'expérience sans fard du trio amoureux dont la matière a donné lieu à la transposition fictionnelle de son best-seller Les vaisseaux du coeur : Benoîte tiraillée entre son mari Paul Guimard et Kurt, l'amant américain rencontré en 1945 et retrouvé dans les années 60. Elle s'éloigne de Paul sans parvenir à le quitter tandis que Kurt espérera en vain qu'elle divorce pour lui. Les visiteurs de l'été dont elle dresse un portrait saisissant de justesse et, parfois, de rosserie : ses filles et leurs maris, les amis de passage (François Mitterrand, Régis Debray, les Badinter, Tabarly, les Fasquelle...) Le temps qui passe pour une femme qui se sent vieillir et qui vit un amour platonique avec un mari de son âge et un amour charnel avec un amant plus âgé qu'elle. Benoîte a 57 ans quand elle commence ce Journal et 83 ans quand il s'achève.
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Un roman qui porte sur une période de soixante-dix ans n'est plus un roman mais {plusieurs}. Il commence par une nuit de noces en 1913, celle d'Hermine, une femme peintre qui connaîtra la célébrité. Il se poursuit par la naissance de sa fille Louise, en 1918, puis par les...trois quarts de la vie de Louise. Ecrasée par la personnalité de sa mère, Louise ne parvient pas à savoir qui elle est et ce qu'elle veut. Elle épouse en 1944 un étudiant en médecine qui mourra de tuberculose. Le remariage de Louise, la naissance de trois filles, son travail de journaliste, la découverte de sa vocation : autant de jalons de cette {longue marche} à la recherche de soi-même, de son identité. A travers le destin de trois générations, c'est le destin de la femme que l'auteur nous dévoile. Le couple, le rapport mère-fille, le travail, la création, le besoin d'émerger du carcan qu'imposent une époque, une éducation : tout ce qui fait les bonheurs et les difficultés de la vie d'une femme est vécu par les héroïnes du roman.
{Les Trois Quarts du temps} dégage un optimisme profond, un goût de vivre, une complicité dans les relations humaines où le lecteur puisera, au-delà du plaisir de lire un vrai roman, l'occasion de réfléchir à sa propre existence.
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" Il n'est pas inutile, après vingt-cinq ans, d'analyser la place d'Ainsi soit-elle. C'est bien, je crois, parce qu'il a eu une fonction dans le féminisme contemporain, une place à part. L'une des fonctions essentielles de ce livre, pour toute une génération, est sans doute d'avoir été un pont entre les jeunes féministes et leurs mères. Leurs mères, même si elles étaient bienveillantes avec leurs filles, étaient souvent déroutées, dans les années soixante-dix, par leurs filles militantes. Par leur radicalité, la mixité, une certaine forme de violence qui paraissait nécessaire à beaucoup, mais certainement pas aux mères. Et soudain, avec Ainsi soit-elle, une femme de leur âge prenait la parole, une femme qui avait elle-même des filles. Et elle leur racontait son histoire qui était souvent la leur, ou une partie de la leur. Et elle leur disait non seulement de regarder le féminisme avec intérêt, mais de rejoindre elles-mêmes le combat, de toute urgence. " Josyane Savigneau.
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«Aberrants, écoeurants, absurdes, odieux, grotesques et surtout invraisemblables !
Oui, ils sont tout cela à la fois les jugements et les anathèmes, les décrets et les sentences, les malédictions et les fulminations qu'ont proférés depuis l'aube des temps nos maîtres à penser, nos chefs religieux, nos gouvernants, nos médecins, nos législateurs et leurs représentants dans nos foyers, à savoir nos pères, nos frères, nos maris et nos fils.
A voir ainsi rassemblées ces citations, toutes tirées d'oeuvres célèbres et d'auteurs éminents, on jurerait l'oeuvre d'une bande de mauvais plaisants, de dangereux énergumènes ou d'obsédés sexuels. Il est à peine croyable en effet que, génération après génération, savant après philosophe, historien après écrivain, homme après homme en somme, la moitié masculine du genre humain se soit acharnée à prouver que l'autre ne valait rien et ne méritait pas d'accéder à la dignité d'être humain.» Benoîte Groult
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Pauline Roland ; ou comment la liberté vint aux femmes
Benoîte Groult
- Le Livre De Poche
- 31 Mai 1997
- 9782253065296
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Histoire d'une evasion
Benoîte Groult
- Le Livre De Poche
- Le Livre De Poche
- 24 Mars 1999
- 9782253146056
Toute la vie de Benoîte Groult s'identifie à un combat : le féminisme, qu'il s'agisse de prendre la parole sur la condition des femmes dans le monde, avec Ainsi soit-elle, d'écrire avec Les Vaisseaux du coeur le roman du plaisir sans culpabilité, ou de participer auprès d'Yvette Roudy à la féminisation des noms de fonction et de métiers.
Benoîte Groult éclaire ici ce combat en nous menant au coeur même de sa vie. Enfant des années trente, exposée à "tout ce qui rétrécit la vie des femmes" ; adolescente déterminée à découvrir librement le plaisir et l'amour mais encore empêtrée dans le carcan rigide de "la jeune fille rangée" ; femme aux vies conjugales marquées par la passion, la mort, le divorce : c'est de l'ensemble de ces expériences qu'elle a tiré la volonté et l'énergie de devenir une femme adulte et libre. Briser les conventions, les clichés, les tabous qui pèsent encore sur la vie des femmes : telle est l'évasion qu'elle nous relate ici, alternant récit autobiographique et dialogue avec une femme d'une autre génération, à la fois complice et critique.
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« Voilà qu'aujourd'hui, à 89 ans, désormais à la tête d'une quinzaine de livres, romans, essais et biographies, je me retrouve à préfacer un gros volume pour la collection Bibliothèque, qui va regrouper sous la même couverture rouge quatre de mes romans : La Part des choses, puis Les Trois Quarts du temps, Les Vaisseaux du coeur et La Touche étoile. Et voilà que j'ai ouvert par hasard le plus ancien des quatre, écrit en 1972, et dont j'avais toujours pensé qu'il relatait un tour du monde en bateau. Et voilà que j'ai fait une découverte tout à fait imprévue et même bouleversante : un roman pouvait dévoiler, à l'insu du scripteur, des aspects inavoués, soigneusement ignorés, parfois même prémonitoires de la vie future de l'auteur. C'est peut-être ce qui fait la magie du genre romanesque : il arrive qu'on y trouve ce que l'auteur n'a pas cherché à y mettre, une vérité que lui-même n'a pas encore découverte, une réalité cachée au-delà des mots. »
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Journal amoureux, 1951-1953
Benoîte Groult, Paul Guimard
- Le Livre De Poche
- Documents
- 11 Mai 2022
- 9782253104834
J'ai toujours su que ce Journal amoureux existait... Maman m'en avait parlé. C'est Paul qui est à l'origine de ce projet car il voulait aider maman à prendre confiance en son talent, auquel elle ne croyait guère à l'époque. C'était d'autant plus généreux de sa part qu'il n'a jamais tenu un journal de sa vie et que c'était même contraire à sa nature. Maman lui rendait souvent hommage pour cette initiative - et elle n'avait l'hommage facile pour personne !
Blandine de Caunes Jeunes trentenaires, Benoîte Groult et Paul Guimard racontent à tour de rôle leur quotidien, laissant déjà entrevoir le talent des deux écrivains reconnus qu'ils deviendront. Leur journal constitue par ailleurs un formidable document sur les années 1950 et sur le féminisme naissant d'une femme engagée qui participera à tous les combats de son époque.
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Journal à quatre mains
Benoîte Groult, Flora Groult
- Le Livre De Poche
- Litterature
- 23 Avril 2008
- 9782253125549
En mai 1940, une brune et une blonde, au 44 de la rue Vaneau. La brune, c'est Benoîte Groult, la blonde, sa soeur Flora, de quatre ans sa cadette. De 1940 à 1945, de la «drôle de guerre» jusqu'à la Libération, ces deux adolescentes tiennent un journal à quatre mains. Une traversée des années noires où le regard convenu de deux jeunes filles rangées s'ouvre à une tout autre réalité, celle du marché noir et des rafles, de la répression et de la TSF clandestine. Mais aussi au vent nouveau qui commence à souffler, à la vie nocturne et aux premières amours. Un témoignage d'une sensibilité unique sur la France occupée.
Préface inédite de Benoîte Groult. -
" J'ai toujours su que ce Journal amoureux existait ; même si je ne l'avais jamais lu ni même vu... Ma mère m'en avait parlé. C'est Paul qui en a eu l'idée pour l'aider à prendre confiance en elle, et en son talent, auquel elle ne croyait guère à l'époque. Pourtant, elle vivait depuis toujours, dans et par les mots : elle tenait son journal intime et entretenait une nombreuse correspondance, amicale puis amoureuse, dans une famille où tout passait et se réglait par des lettres...
De là à penser publier, il y avait un pas qu'elle ne se décidait pas à franchir. Alors Paul a eu cette idée épatante d'écrire ce journal, chacun prenant la parole à tour de rôle pour raconter leur quotidien. C'était d'autant plus généreux de sa part qu'il n'a jamais tenu un journal de sa vie et que c'était même contraire à sa nature. Maman lui rendait souvent hommage pour cette initiative - et elle n'avait l'hommage facile pour personne ! ", Blandine de Caunes.
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Des nouvelles de la famille
Benoîte flora Groult, Paul Guimard, Blandine lison De caunes, Bernard Ledwidge
- Mazarine
- Romans
- 8 Mai 1980
- 2000043003981
Benoîte est la soeur de Flora, Paul est le mari de Benoîte, Flora est la femme de Bernard, Blandine et Lison sont les filles de Benoîte. Six auteurs de la même famille, tous écrivains, rassemblés pour la première fois _ et probablement la seule _ en un livre, sorte de journal à douze mains, Des Nouvelles de la famille.
Ces nouvelles inédites toucheront des sensibilités aussi variées que sont divers les tempéraments romanesques de cette famille hors du commun. Chaque heure du jour, chaque âge de la vie, toute la gamme des sentiments trouveront des correspondances dans ce " livre de lecture ". Longue ou courte, gaie ou mélancolique, chaque nouvelle est une histoire, racontée par un écrivain. A travers les contrastes qui les séparent, nos six auteurs ont mis en commun leur aventure familiale: la passion de l'écriture.
Benoîte et Flora Groult se retrouvent ici pour la première fois depuis " Il était deux fois ". Blandine de Caunes a publié un roman " L'Involontaire " (Stock) et sa soeur, Lison de Caunes " Les Jours d'après " (Lattès). Bernard Ledwidge vient de publier son premier roman " Frontières " (Flammarion). Paul Guimard (Les Choses de la vie,...) est le premier de la famille à avoir pris la plume.