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Nouvelles extraites de Nouvelles mêlées
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Une flèche dans la tête
Michel Embareck
- Joelle Losfeld
- Litterature Francaise Joelle Losfeld
- 4 Avril 2019
- 9782072821387
Après une longue séparation, un père et sa fille se retrouvent pour emprunter la route du blues entre Memphis et La Nouvelle-Orléans en espérant renouer des relations jusqu'alors chaotiques. S'ils découvrent peu à peu l'envers du décor d'une musique devenue folklore pour touristes, ils apprennent la vérité vraie sur la mort énigmatique de Robert Johnson, figure tutélaire de la musique bleue. Mais le voyage est surtout l'occasion pour le père de s'interroger sur ses crises de migraine, ce douloureux symptôme d'aucune maladie formellement identifiée qui conduit les victimes à entretenir avec le monde un rapport d'observateur misanthrope. Difficile dans de telles conditions de se livrer à des confidences.
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Comment une bande de quinquagénaire enlève Mme de Fontenay et les candidates au concours de Miss France pour faire pression sur les politiques.
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Langlet, prince destroy du show-biz, a disparu. Deux journalistes déglingués mènent l'enquête. Rock + suspense : naissance d'un genre. Poker d'As de L'Année du polar 1986.
" Star des médias, Langlet, surnommé le pape du rock, fait et défait les réputations dans le micro-maquereaucosme du show-biz. Trente ans, fast-donjuan, buveur, shooté, ubiquiste, ce wonder boy tout-puissant n'a pas réussi de la sorte sans se faire de nombreux ennemis. Aussi sa disparition soudaine fait-elle sensation.Journaliste sur la touche, le narrateur, flairant le scoop de sa vie, se lance sur les traces du disparu, dont il va reconstituer le fulgurant et dangereux parcours en une série de ash-backs stroboscopiques, zigzaguant des milieux branchés aux campements de ferrailleurs et du Palace aux vestiges du Golf Drouot... " (Michel Lebrun, L'Année du polar)Journalistes vendus aux producteurs, concerts organisés par la mafia, musiciens animés du seul souci d'échapper à l'usine... Entre Paris, Marseille, New York et Le Havre, l'enquête-fiction de Michel Embareck nous entraîne en Cadillac dans les coulisses obscures du show-biz, où l'intégrité s'achète et où l'honnêteté se noie dans le Jack Daniel's.Fresque d'une génération en perfecto et santiags croco, Sur la ligne blanche redonne au rock les couleurs du mythe. -
Sept des plus habiles arnaques montées en France au cours des vingt dernières années : un faux producteur de cinéma qui escroque tous les notables de Marseille, le vol de grands crus classés, de faux policiers qui détroussent un receleur d'oeuvres d'art volées, deux hommes d'affaires ruinés par un faux trésor, une cargaison de blé de Tchernobyl vendue comme du blé bio. Michel Embareck dévoile les ressorts des embrouilles avec un talent de conteur qui transforme ces affaires en légende.
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Lorsque les Grandes Galeries de Moizy-les-Beauges sont détruites par les flammes, une compagnie d'assurances demande à Victor Boudreaux - un ancien lanceur de marteau à la carrure impressionnante, à présent détective privé " psychopathe et migraineux " - de déterminer l'origine du sinistre.
Boudreaux - qui a perdu sa famille dans un incendie et s'était pourtant juré de ne plus s'occuper de ce genre d'affaires - accepte néanmoins la mission. N'a-t-il pas quelques comptes à régler avec la petite bourgeoisie de Moizy-les-Beauges ?
Sur place, il fera la connaissance de Juliette Baumann, journaliste de La Dépêche, qui elle aussi penche pour la piste criminelle. Mais leur enquête dérange les juteuses magouilles immobilières de certains pontes locaux...
La mort fait mal a obtenu le prix Marcel-Grancher (premier éditeur de Frédéric Dard).
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Ils se sont croisés dans le Londres des années punk. Margaud était alors simple éclairagiste du groupe The Clash, et Franck photographe des stars du rock. Lorsqu'ils se retrouvent des années plus tard, Margaud est devenue procureur et Franck est employé dans un quotidien local. Leurs souvenirs les précipitent l'un vers l'autre.Mais Franck se laisse impliquer dans les affaires qu'instruit Margaud et découvre à ses dépens que les apparences sont trompeuses...
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Pourquoi Éric Giacometti, notable franc-maçon empêtré dans les ficelles, trucs et astuces des affaires locales, a-t-il assassiné sa maîtresse, la belle et sensuelle serbe Milena ? Et pourquoi se tait-il depuis son interpellation ? Alors que s'ouvre un procès susceptible de relancer leur carrière, le président de la cour d'assises, le procureur et l'avocat possèdent chacun une explication. L'accusé, lui, mutique et étranger à cette Justice, préfère se souvenir des heures les plus torrides passées dans les bras de la disparue...
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Le roman de formation, l'histoire du gamin, qui dévient, sinon grand, du moins homme, est un passage obligé pour nombre d'écrivains.
Embareck n'aime pas trop les passages obligés. Et pour cause... La formation de son héros (c'est à dire lui et pas lui) tient plutôt des Thénardier, de Folcoche, des Hauts murs et de Barbe Bleue. L'ennui du village perdu, les beignes plutôt que les beignets, la maison de correction après les corrections à la maison, il a tout connu. De quoi devenir écrivain, jongleur de mots qui comprend tout de travers afin d'emprunter les chemins de traverse.
Embarek le raconte par la voix du voyageur pas très catholique, amoureux d'une créature aux formes Rubens. Le tout, vu du comptoir et baigné de musique bleue métissée cajun.
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Pierre Lebareck est-il mince, est-il beau, sent-il bon le sable chaud ? On l'ignore. Seule certitude, il a servi dans la Légion étrangère après s'être fait tanner le cuir à coup de ceinturon à l'école des enfants de troupe. À l'ombre du célèbre Palmier en Zinc de Djibouti, il a appris à écrire son nouveau nom volé sur une affiche de cinéma : Dimitri Tiomkin, l'auteur de l'air cuivré du film Alamo.
Après avoir fui l'Occident, après quarante ans de bonheur conjugal au Bhoutan, ce royaume de l'est de l'Himalaya où la monnaie et l'hymne national portent des noms de tabourets du catalogue Ikea, Lebareck revient en France. À soixante ans, il serait temps de défricher enfin la jungle de sa généalogie personnelle et que sa Bhoutanaise d'épouse sache à quoi ressemble le pays des Droits de l'homme. Mais qu'en reste-t-il ? À peine ont-ils posé le pied à Roissy que la police les soupçonne de tous les maux terroristes.
Avec un sens inné de la formule et son souci du mot juste, le 3 en 1 Embareck-Lebareck-Zadig promène le lecteur dans cette Gauloiserie de pacotille où citoyens modèles, flics, douaniers et autres cerbères aux ordres d'un Tartuffe d'origine magyare sont obnubilés par la traçabilité de l'étranger et l'authenticité du "carré de plastique frappé d'un code-barres ganrantissant le sperme et les ovules tricolores des grands-parents".
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Une amitié sous le signe du rock.
Dès la sortie de son premier album en 1962, et alors que sa maison de disques veut le virer, Bob Dylan a obtenu un soutien de taille : Johnny Cash.
Immédiatement, les deux hommes se lient d'une vive amitié, l'aîné voyant en son cadet un héritier de la tradition de la musique populaire américaine.
Ici, de 1963 à 2016 - année du prix Nobel de littérature attribué à Dylan-, les faits réels alimentent la fiction ; le lecteur croise Martin Luther King, Popcorn Sutter, prince des trafiquants d'alcool clandestin, un Richard Nixon fêlé, Joan Baez, les Beatles, Kris Kristofferson, Alice Cooper, entre New York, Nashville, Saïgon et Paris.
Le tout rythmé par les commentaires d'un vieil animateur radio, « le Rôdeur de minuit », qui se trouvait en 1965 à Newport lorsque Dylan fit scandale en grattant une guitare électrique, et en janvier 1968 à la prison de Folsom lors du mythique concert de Johnny Cash.
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Jeanne Moreau - rien a` voir avec l'actrice - a tue´ son mari qui la maltraitait depuis des anne´es. Trois balles dans le dos en guise d'e´pitaphe.
Le soutien des re´seaux sociaux et des associations de lutte contre les violences faites aux femmes lui a valu de n'effectuer qu'une partie de la peine a` laquelle elle a e´te´ condamne´e aux assises et de be´ne´ficier d'une gra^ce accorde´e... le jour de la Saint-Innocent.
Explorant un angle mort de l'affaire, un journaliste a` la retraite de´cide de rouvrir le dossier. La septuage´naire - que certains proches surnomment « la Ravajou » - est-elle bien la victime que les me´dias se sont plu a` de´peindre ?
Avec ce roman noir aux faux airs de contre-enque^te, Michel Embareck re´affirme son gou^t pour le politiquement incorrect et les trouvailles de style.
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Quarante ans d'histoire du rock et du polar à travers des anecdotes vécues par un journaliste spécialisé du magazine Best, à l'époque où ce magazine tenait le haut du pavé - avec Rock'n'Folk - de la presse musicale en France.
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Comment prendre au sérieux ce jeu, le seul jeu où le ballon n'est pas rond et n'en fait qu'à sa tête ? Un jeu où l'on avance en faisant des passes vers l'arrière.
Depuis 2007, Libération a eu la bonne idée de demander à Michel Embareck, écrivain amateur de rugby, des chroniques très décalées. Elles se sont, depuis, installées dans les colonnes du quotidien. Les voici rassemblées et augmentées d'une double ration de textes inédits. De ces chroniques, Christian Montaignac, grand manitou de l'Ovalie littéraire écrit : "Michel Embareck, qui n'a pas les oreilles en chou-fleur ou le nez de guingois, appartient sans conteste à la caste des pianistes avec cette manière de jouer, "léger et rusé", sur tout le clavier là où les voleurs de feu transportent les amoureux du jeu".
Nul besoin d'être initié aux subtilités du rugby pour savourer ce livre, prétexte à s'aventurer très loin du terrain.
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L'enquêteur Victor Boudreaux, assisté de Jeanne ainsi que de sa nièce débarquée tout droit de Louisiane, se retrouve bien malgré lui dans une affaire digne d'un film noir : l'un de ses amis d'enfance est accusé du meurtre de sa compagne.
A Bénirpurhain, capitale des nouvelles technologies, affaires d'argent, magouilles et crimes passionnels s'entremêlent. Entre arrangements entre personnalités publiques, investissements malhonnêtes et, pour couronner le tout, l'assassinat en prison du copain d'enfance, Victor Boudreaux et ses acolytes n'auront aucun répit, et surtout, ne pourront se fier à personne.
Dans cette ville où personne n'est innocent, un suspect peut se cacher derrière n'importe qui. Même les gendarmes et les francs-maçons ont leurs secrets !
Il semblerait bien que ce ne soit pas seulement pour un crime passionnel que Victor Boudreaux ait été appelé à Bénirpurhain.
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Le rugby est notre dernier vrai roman de chevalerie, n'en déplaise aux «manchots» qui lui préfèrent le ballon rond et ses charmes vénaux. Chaque fin de semaine, les chevaliers de la Table Ovale célèbrent une liturgie propre à incendier les coeurs les plus froids. Les auteurs de ce recueil, très tôt convertis aux rites et traditions du grand sport, se livrent à une série de passes croisées sur le terrain dont ils connaissent tous les secrets et tous les mots - car le rugby est aussi le sport le plus littéraire qui soit. Les histoires racontées ici, franchement souriantes ou discrètement mélancoliques, ramènent le lecteur, fût-il étranger aux mystères du maul, de l'impact caramel et de la mêlée, à ses émotions les plus profondes. C'est la vie qui s'invente sur le pré mystique, la vie de soleil et de boue, de douleurs et de rires, la vie avec ses violences et ses ruses, ses échappées lyriques et ses écrasements brutaux : la vie entière, la vraie vie.
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Casseur de coffres en jaguar ; conversations avec michel embareck
Poueyou/Embareck
- Cherche Midi
- 10 Mai 2007
- 9782749106045
michel poueyou, marchand d'art, est considéré aujourd'hui comme un des plus fins connaisseurs de la peinture du xviiie siècle.
il fut un des plus grands voleurs des années 1960 et 1970. des coffres-forts, il en a ouvert des centaines dans toute la france et en europe. génie courtisé par les voyous et les politiques, il a toujours préféré le travail en solitaire. enfant du ruisseau passionné depuis toujours par la peinture, sa vie est un roman d'aventures. lui qui a fréquenté les guérini et les zemmour fut également de quelques sanglants braquages en colombie, dont celui d'une mine d'émeraudes.
converti à une réinsertion dans le monde des arts par le juge bruguière, il porte, vingt ans après, un regard d'une lucidité sidérante sur le milieu et la prison.
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Un matin d'automne, dans une ville de province, le corps de Fabrice Kerbrian du Rescouet, alias " Fabulous Fab ", est retrouvé en bordure d'un jardin public. L'autopsie révèle qu'il a été abattu à bout portant d'une balle derrière la tête. Fait étonnant, l'arme utilisée par l'assassin est un pistolet japonais datant des années 1940.
Pour quelles raisons cet héritier d'un empire de presse régionale - au bord de la faillite - a-t-il été tué ? Et par qui ? Un mari jaloux - l'homme était coureur -, des investisseurs mécontents ? Ou un fantôme du passé au courant de quelques lourds secrets de la famille Kerbrian du Rescouet ? Sous la pression d'un procureur carriériste, les policiers de la PJ explorent de multiples pistes.
En même temps, Victor Boudreaux, l'ancien lanceur de marteau devenu détective privé, enquête sur un trafic d'oeuvres d'art volées dans les églises. Ce faisant, il dérange le microcosme local, qui n'aime pas les vagues. D'autant que se profilent les élections municipales...