Filtrer
Éditeurs
- Dunod (13)
- Calmann-Levy (9)
- L'Harmattan (7)
- Onlit Editions (4)
- Acrodacrolivres (3)
- Books On Demand (3)
- Economica (3)
- Albertine (2)
- Bookelis (2)
- Editions Sutton (2)
- Institut Jean Vigo (2)
- Mardaga Pierre (2)
- Robert Laffont (2)
- Slatkine (2)
- Zellige (2)
- 10/18 (1)
- Alter Ego (1)
- Castor Astral (1)
- Cormier (1)
- Culturea (1)
- De L'Onde (1)
- Editions De L'Atelier (1)
- Editions Om (1)
- Elsevier-Masson (1)
- Equinoxe (1)
- Excelsis (1)
- Fallois (1)
- Guy Tredaniel (1)
- Haxx (1)
- Hermann (1)
- Heures De France (1)
- Jean Lacoste (1)
- L'Ecarlate (1)
- L'Herbe Qui Tremble (1)
- La Difference (1)
- Lavoisier - Technique Et Documentation (1)
- Lexisnexis (1)
- Lgdj (1)
- Michel Quintin (1)
- Nanachi (1)
- Persee (1)
- Pu De Strasbourg (1)
- Pu Du Septentrion (1)
- Puf (1)
- Que Sais-Je ? (1)
- Revue Fiduciaire (1)
- Rocher (1)
- Societe Des Ecrivains (1)
- Va Press (1)
Jacques Richard
-
Quand il se rend chaque semaine chez sa tante Léna pour y chercher l'argent dont a besoin sa mère, il court, il vole, il rêve, propulsé par le désir.
Dépourvu de tout parti pris moral pour se mettre au plus près de ceux qu'il raconte, Jacques Richard révèle les passions qui traversent et parfois déchirent les êtres.
Trois ans après La femme qui chante, plusieurs expositions de peinture, un court traité sur le dessin (Nues) et un recueil de poèmes au Cormier il revient au roman. Son écriture, précise et juste, y est plus puissante que jamais. -
"J'ai commencé à peindre une série de femmes il y a une dizaine d'années. Nues, en pied et grandeur nature. De face. J'y ai pensé de temps à autre, pendant un an à peu près, sans donner suite. Il fallait que l'idée se développe, prenne assez de place pour se clarifier dans mon esprit, et se resserre ensuite pour pouvoir se matérialiser sur une toile." Jacques Richard
-
Ce recueil tente de marquer une certaine inadéquation de l'être au monde. Inadaptés au lieu, inaptes à l'autre et séquestrés dans la parole qui est le bruissement de notre espèce.
C'est aller nus dans le noir.
Reste le poème.
Pas le vent de ce qu'on voulait dire, mais la nécessité des failles que les mots maintiennent béantes et du silence auquel ils exhortent.
-
Les passions adjacentes : de la vraie vie (au cinéma)
Jacques Richard
- L'Harmattan
- Rue Des Ecoles / Litterature
- 14 Mars 2024
- 9782336441030
Yvan est un cinéaste qui convoque ici les fantômes de sa vie, depuis son adolescence jusqu'à sa vie d'adulte, durant laquelle il eut la chance de croiser des personnages extraordinaires qui lui ont permis de découvrir cette « Planète Cinéma » qui fait tant rêver depuis son invention. Ses souvenirs se mélangent dans son esprit, et lui reviennent telles des bouffées savoureuses selon le désordre de la vie. Mais certaines de ces rencontres improbables peuvent aussi donner à réfléchir sur cette galaxie interlope où le génie côtoie parfois « les affreux de la création ».
-
"Et ton corps et les mots, c'est pareil.
C'est tout un.
C'est tout nu."
Écrit sous l'eau est une suite de proses brèves au croisement de la poésie et de la narration, où l'on retrouve toute la puissance d'évocation du romancier Jacques Richard (la Femme qui chante, la Course, éd. Onlit).
Où sommes-nous ? Dans des lieux et un temps indéterminés, où la mer, les corps, les chemins et le ciel incertains, l'opacité du jour et la nuit alentour pèsent cependant de tout le poids de leur présence.
Qui sont-ils ? Un je qui adresse fréquemment à un tu. Deux êtres à la dérive qui boitent de n'être pas un et s'épuisent de se chercher sans fin. Mais se trouve-t-on jamais ?
Dans le secret de la chambre, l'existence n'est pas moins pleine d'ivresses et d'abîmes que dans la forêt du monde. Car vivre, c'est danser sur le fil tendu entre l'illusion de ce que nous croyons être et le péril de la réalité, dans la chair d'une langue que Jacques Richard fait parler pour nous, même et surtout quand il dit je. -
-
« Elle fait pff en avançant la lèvre inférieure pour décoller les cheveux qui lui chatouillent le nez. Elle agite encore sa corde à sauter, sans conviction. Elle essuie de temps à autre sa figure très ronde, un peu lourde, avec le dos de sa main ou même le revers de sa robe. Et c'est à ce moment-là, celui où un pan de tissu est levé devant son visage, que passe sur la route quelque chose de rose. Et quand c'est passé, la petite fille n'est plus là. Sur le bord de la chaussée, il n'y a plus que la corde. Une corde vert fluo avec des poignées en plastique ».
Disparition?? Enlèvement?? L'auteur de Scènes d'amour et autres cruautés nous enlève, nous aussi, sans complaisance, des lieux de notre quotidien. Dans la rue, dans une salle d'attente, à table, au lit, il nous surprend en flagrant délit d'innocence. D'absence. Le basculement s'est produit subrepticement. Il nous entraîne dans les profondeurs plus ou moins avouables de notre petit infini personnel et il nous laisse alors tout seuls face à nos questions.
Nous retrouvons, dans l'écriture de Jacques Richard, le goût du dérapage, du sens pluriel et détourné. L'acuité de l'observation, la puissance d'évocation ouvrent sur une vision du monde dont l'humour parfois corrosif n'oblitère jamais la tendresse pour ses semblables.
-
Il faut d'abord très bien damer la terre. La tasser du talon. La lisser du plat de la main. Y tracer un carré pas trop petit. Et planter dedans sa lame d'un jet, sans bavure. Le sens du tranchant dans la terre oriente un trait qui démarque le « pays » choisi par le tireur. Le plus petit possible. On efface le reste. Chacun tire à son tour et le terrain s'amenuise. Ça dure un peu quand même. On prend rarement le risque d'être éliminé en tirant à côté. Gagne celui dont le territoire est devenu suffisamment exigu pour qu'on ne puisse plus le scinder.
Là, c'est sérieux. Les visages sont fermes, fermés. Les adultes sont ailleurs. On peut faire silence.
Il importe moins de gagner que de faire perdre aux autres ce qu'ils ont acquis. Les plus grands supputent la qualité et le nombre de coups, calculent quand reviendra leur tour et imposent leur ordre. Ou bien on tire au sort. Il y a quelque chose de vindicatif, de sciemment intrusif en même temps que de solennel dans le geste qui plante, qui enfonce l'arme dans la terre vineuse et défigure la propriété du précédent. Les questions d'adresse se transforment en questions d'honneur. Les bouches sont pincées, on guette la moquerie, les sourcils se rassemblent. À proprement parler, il ne s'agit pas d'un jeu. Pas comme les osselets, le noyau, les billes. Plutôt un rituel qui marque tacitement qui est qui, qui peut jouer ou non, qui dit et qui écoute, qui peut faire quoi à qui.
-
Dans Le Carré des Allemands, un homme cherche son père, dont il est séparé depuis l'enfance et dont sa mère ne parle pas. Il comprend peu à peu qui fut le père : engagé à 17 ans dans la Légion des volontaires français contre le bolchevisme, transformé en Waffen SS. En fuite à la Libération, il emmène sa famille ailleurs pour, enfin, s'évaporer.
«Il a fait la guerre. Il était là-bas, à l'Est. À l'Est, on a fait ça, comme partout ailleurs. Peut-être que lui non. Mais il était présent. On est parfaitement sérieux quand on a dix-sept ans. On sait très bien ce qu'on fait. On sait ce que veut dire mépriser. Être méprisé. Haïr. On sait ce que veut dire tuer. On apprend comment il faut faire. On apprend à tuer. On apprend à aimer ça.» Le Carré des Allemands de Jacques Richard a paru il y a deux ans aux Éditions de la Différence. Suite à la liquidation judiciaire du célèbre éditeur, ONLIT Editions le réédite aujourd'hui, avec une couverture illustrée par Solal Israel et une postface de René de Ceccatty. Le roman de Jacques Richard, un livre intense et vibrant, constitue à nos yeux une pièce importante de la littérature française contemporaine.
-
Le héros de cette histoire est une maison de famille, qui à travers cinq générations a connu une vie parfois paisible, parfois mouvementée. Le protagoniste principal est Madigan, qui à travers ses yeux d'enfant, tout d'abord, découvre ses ancêtres tels qu'ils étaient dans cette maison, ancienne faïencerie, dans un village imaginaire, comme il en existe des milliers en France. Puis, devenu adulte, Madigan devient cinéaste, et tourne des films dont la maison est un catalyseur qui abrite des histoires d'amours parfois sulfureuses. Ce décor révèle tout au long du récit des « valeurs implicites » auxquelles Madigan est attaché, et qui constituent en filigrane une forme de morale contemporaine.
-
"Le présent ouvrage est le fruit d une année d entretiens avec des personnalités du cinéman contemporain, toutes ""éprises de liberté"" dans leur façon d aborder le Septième Art, soit de manière ""libertaire"", soit de manière ""libertine"". En tout, 25 entretiens avec des personnalités comme Jean-Pierre Mocky, Catherine Robbe-Grillet ou Jean-Claude Dreyfus. On découvrira, au fil de ces révélations, quelques-uns des morceaux de bravoure de ces cinéastes qui n ont pas eu peur de provoquer, au risque parfois de croiser la censure d une société souvent trop conformiste."
-
Cinq personnages romantiques partagent leur vie dans un vaste château. Chacun à sa manière est à la recherche d'un absolu : J. erre dans les cimetière, B. astique des armes, C. provoque des aventures amoureuses, A. parcourt les forêts sur son cheval, et F. répète dans un groupe rock. A. et J. nourrissent une idylle qui les entraîne en voyage « initiatique ». Différents états d'âme les traversent, doux mélange qui leur fera redécouvrir le monde de l'enfance et des châteaux hantés. Sonorisé avec la voix d'Antonin Artaud, tourné avec un procédé photographique très contrasté, Le rouge de chine renvoie aux origines du cinématographe.
Sélections aux Festivals de Taormina, New York, Belfast, Athènes, Hyères...
« Le lyrisme éperdu des images emporte tout ce qui pourrait paraître théorique et difficile, et il y a fort à parier que ces impressions sur pellicule dont on a jamais vu l'équivalent, vont créer un sérieux choc auprès des cinéphiles. » Frédéric MITTERRAND - 20 ANS.
« Jacques Richard est un chercheur sur pellicule. Son film a été travaillé à partir d'un désir de retrouver la magie du noir et blanc contrasté des débuts du cinéma muet. » LE MATIN.
« Une certaine élégance, une certaine dignité, plus que du savoir-faire, une sincérité qui est une forme de talent. Le raffinement et l'élégance sensible de Jacques Richard sont indéniables. » L'HUMANITÉ.
« On se laisse séduire par ces éclats de voix et par les images de ce film troublant, d'une étrange beauté, par ce conte de la folie pas ordinaire. » LES NOUVELLES LITTÉRAIRES.
« Un travail non-narratif, dans la lignée de Fata Morgana de Werner Hezog. Ce film fait aussi penser à Feuillade, à Murnau. Étrangement érotique, sans être pourtant explicitement sexuel. » FILMS DIRECTIONS.
« Voyage au pays de l'enfance et des visions instinctives du cinéma primitif, ce film parle directement à nos phantasmes, à notre sensibilité par le recours à un étonnant équilibre plastique qui frise la composition abstraite. » ÉCRAN 79.
BONUS : Interview de Jacques Richard.
-
Vanvéen de souche, Jacques Richard vous convie à une nouvelle flânerie dans le Vanves d'autrefois. Fort du succès du premier tome, l'auteur, insatiable collectionneur toujours en quête de la perle rare, vous offre ici, grâce à de nombreux documents exceptionnels patiemment collectés, une belle rétrospective de Vanves à la fin du XIXe et au début du XXe siècle.
Ce voyage dans un passé pas si lointain permet de comprendre l'évolution de la ville et de ses quartiers. C'est avant tout un patrimoine architectural, culturel, social et économique qui vous est présenté ici. Alors laissez-vous surprendre par ces tranches de vie prises dans leur quotidien et fixées sur la pellicule, avant tout témoins de l'histoire de Vanves.
-
Résumé bientôt disponible
-
Qu'elle prête sa structure à l'ensemble, construit comme une série de variations, ou son phrasé à tel morceau dont elle est le sujet, la musique est le fil qui relie entre elles ces nouvelles.
Au bord du fantastique, elles interrogent différentes facettes de ce que nous appelons la réalité dans un jeu qui mêle, avec compassion, anxiété et ironie, la veille au rêve, la fragilité de l'instant à celles de gens et lieux d'autant plus incertains qu'ils sont plus familiers.
-
Comptabilité financière - Cas corrigés - 3e éd
Didier Bensadon
- Dunod
- Management Sup ; Comptabilite, Controle De Gestion
- 1 Juillet 2015
- 9782100722389
Cette 3e édition enrichie et mise à jour ouvrage propose une mise en pratique du cours dispensé dans le manuel de Comptabilité financière : IFRS versus normes françaises de J. Richard, D. Bensadon et C. Collette et offre une comparaison systématique des normes françaises et des IFRS.
Chaque chapitre se subdivise en :un rappel du cours renvoyant aux chapitres correspondants du manuel ;des questions à choix multiples (QCM) ;des questions ponctuelles ;des questions de réflexion ;des cas pratiques ;des corrigés.Toutes les questions, cas pratiques et exercices donnent lieu à un corrigé commenté afin de permettre une meilleure acquisition des notions. Ce tout-en-un constitue un véritable atout pour la préparation aux examens et concours. -
L'Harmattan et les films élémentaires présentent 5 courts métrages de Jacques Richard : Docteur Rock et Mister Roll, Le nerd trijumeau, Qui a peur d'Elizabeth Hérrgott ?, Plains les yeux, Maria Dolores, 75 ans, striptiseuse.
Compilation de 5 courts métrages. "Docteur Rock & Mister Roll" (1981, 17 minutes).Portrait de l'idole du rock'n roll, Vince Taylor, auteur de Brand new Cadillac, et co-auteur de Be bob a-lulah. En 1981, Vince n'est plus que l'ombre de lui-même? mais il rêve toujours de faire du cinéma. "Docteur Rock & Mister roll" est la maquette d'un film qui ne s'est jamais tourné : Come on everybody, mais Vince Taylor rechante pour l'occasion quatre de ses anciens tubes, fait part de son passé et de sa philosophie "toute personnelle". C'est le dernier document filmé de celui qui fût longtemps le modèle d'Eddy Mitchell et de Johnny Halliday. "Le nerf trijumeau" (2007, 16 minutes). Daniel, un patron de restaurant, raconte à une jeune amie à lui, Pauline, comment il lui est arrivé de photographier "la cinquième dimension", et comment, ensuite, une chute de quatre étage, lui a sauvé la vie? "Qui a peur d'Elizabeth Herrgott ?" (2009, 26 minutes). Elizabeth Herrgott est une romancière érotique et psychanalyste. Au cours d'une conférence de presse imaginaire, elle revient sur ses ?uvres et son parcours. Humour, intelligence, provocation et autocritique sont au rendez-vous. "Plains les yeux" (2009, 5 minutes). Il s'agit d'un "film-tract" réalisé dans le cadre d'un film collectif, Outrage et rebellion, en hommage à Joachim Gatti, atteint d'une balle de flash-ball lors d'une manifestation à Montreuil en 2009. D'autres réalisateurs comme Philippe Garrel ou Jean-Marie Straub ont aussi participé à ce film collectif. Plains les yeux est une libre adaptation de L'Histoire de l'?il de Georges Bataille. "Maria Dolorès, 75 ans, strip-teaseuse" (2002, 8 minutes). Maria Dolorès a été comédienne pour Federico Fellini. Aujourd'hui, à 75 ans, elle vit dans une maison de retraite à Rome, mais chaque soir elle s'échappe pour exécuter merveilleusement un strip-tease dans un club privé, pour le plus grand plaisir des yeux des consommateurs encanaillés. -
-
Dictionnaire des acteurs du cinéma muet en France
Jacques Richard
- Fallois
- 14 Septembre 2011
- 9782877067478
Ouvrir ce dictionnaire, c'est aller à la rencontre d'une foule, inattendue et surprenante, d'acteurs venus des théâtres de boulevard, de la Comédie- Française, du café-concert, du cirque, ou débutant dans l'art nouveau ; ils sont la masse de manoeuvre, la chair même du cinéma muet.
Il y a les géants irréfutables : Georges Méliès, Max Linder, peut-être aussi Ivan Mosjoukine. Il y a aussi les obscurs, les modestes comme Luce Fabiole, les indéchiffrables comme l'inconnue qui se fit appeler Lady Nobody, le nain Delphin qui se suicida.
Entre ces extrêmes, les célébrités dont le souvenir demeure plus ou moins, mais il n'est pas inutile d'apporter des précisions en faisant revivre Gabrielle Robinne et René Alexandre qui formèrent le premier « couple idéal » du cinéma français ; Polaire à la taille de guêpe, qui joua Claudine et imposa à l'écran le personnage scandaleux avec lequel elle se confondait ; René Navarre, l'impérissable Fantômas de Louis Feuillade qui se flattait d'avoir imaginé une manière de jouer « beaucoup plus simple, les mains dans les poches » dont beaucoup d'acteurs s'inspirèrent ; « la petite Arduini », future Suzy Prim qui, tournant en Italie, fut séduite et abandonnée en 1916 par le marquis Pescara de Castellucio, puis se jeta à l'eau à Zurich mais rata son suicide, avant de gagner Paris où Lugné-Poe la sauva en lui faisant jouer Ibsen ; la belle Claude France, spécialiste des rôles d'aventurières distinguées, qui se trouva au coeur d'une affaire d'espionnage aux conséquences si funestes qu'elle choisit de se donner la mort le 3 janvier 1928 ; Lucien Cazalis, comédien du Boulevard loué par Jacques Copeau, qui partagea sa vie entre les séries comiques Jobard puis Caza, et les courses cyclistes, jouant dans l'ombre d'Henri Desgranges un rôle essentiel dans l'organisation du Tour de France.
Beaucoup de passion dans ces carrières si dissemblables, mais on entendit souvent le son du tiroir-caisse : dès janvier 1912 furent filmés et commercialisés les exploits pugilistiques de Georges Carpentier que sa gloire planétaire précipita bientôt dans le cinéma de fiction. Jusqu'à la grande Sarah Bernhardt qui avoua tourner des films (pas très bons) pour gagner, comme elle disait, « des argents ».
-
Analyse financière et audit des performances
Jacques Richard
- Revue Fiduciaire
- 1 Décembre 1997
- 9782865212194
-
Psychiatrie gériatrique : esquisse d'une histoire medicale par l'élaboration de son langage
Jacques Richard
- Mardaga Pierre
- 20 Avril 2022
- 9782804722012
C'est la mise en mots progressive de la psychiatrie gériatrique qui sert ici de trame à son histoire des quarante dernières années. À l'emprunt terminologique des débuts succèdent, dans l'action thérapeutique, le rejet, l'adaptation, la modification et, finalement, la création d'un langage au service d'une pratique en prise directe avec une réalité de mieux en mieux perçue. Ce langage contribue, dans cette période, à donner une idée précise de l'évolution conceptuelle qui s'est produite en faveur de la personne âgée atteinte d'affection psychique.
Jacques Richard a, comme Professeur à l'Université de Genève, consacré de nombreux travaux scientifiques à la pathologie mentale de l'âgé et à la psychogérontologie dont il a introduit à Genève le premier enseignement universitaire.
-
L'expérience, l'observation et l'expérimentation dans la littérature médicale française du XVIIIe siècle
Jacques Richard
- Pu Du Septentrion
- 26 Mars 2001
- 9782284021759
-
Les acrobates du rire ; aux sources des burlesques français
Jacques Richard
- Institut Jean Vigo
- 1 Septembre 2001
- 9782906027800
-