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Baudelaire
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Peut-on aujourd'hui « croire en Dieu » de la même façon qu'aux siècles passés ? L'image de Jésus et le récit de sa vie, véhiculés par l'Église et nos souvenirs (lointains) de catéchisme, sont-ils vraiment justes ? Jésus a-t-il « changé l'eau en vin », a-t-il marché sur l'eau, a-t-il guéri des lépreux, a-t-il ressuscité Lazare ? Finalement, est-il lui-même ressuscité d'entre les morts ?
La meilleure façon de répondre à ces questions est d'interroger. le Christ lui-même, d'engager avec lui un dialogue amical, mais très franc, sans tabous et sans crainte d'être impertinent.
Au cours de cet entretien à bâtons rompus, on découvrira que Jésus n'est finalement qu'un être humain, qui a vécu une vie d'homme, ses difficultés, ses joies, ses combats, ses douleurs, ses victoires. Une vie d'homme, mais une vie qui nous montre un chemin.
Le croyant doit-il avoir l'audace de confronter sa foi à la démystification de ce personnage qui est à l'origine de la religion chrétienne et dont le message reste unique et déterminant pour l'humanité ?
Finalement, qu'est-ce que cela changerait pour l'Église si Jésus n'était pas Dieu ?
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Inspiré d'une histoire vraie, bien que largement romancée, l'auteur nous entraîne dans le mélodrame agité d'une famille recomposée. On y suit pas à pas l'évolution d'enfants ballottés et quelque peu éprouvés dans ce contexte familial troublé. Progressivement les circonstances érigent pourtant l'imprévisible, l'apparition d'un amour filial réfléchi d'une petite fille qui découvre auprès de son beau-père ce que sa mère n'a jamais su lui donner.
Le roman prend le Québec des années soixante-dix comme toile de fond en s'attachant à décrire la vie de cette époque. C'est pendant ces années qu'une profonde mutation politique et culturelle se construit. L'état provincial s'affirme en promulguant le français comme seule langue officielle et obtient de l'État fédéral plus d'autonomie. C'est la « Révolution tranquille » dans l'histoire de La Belle Province.
Pourtant les coups de poignard d'une minorité extrémiste ne manquent pas. L'auteur ose un rappel sur les bévues du Front de Libération du Québec, la réaction d'autorité du gouvernement d'Ottawa et l'incartade du Général De Gaulle qui devait entacher pour un temps les relations diplomatiques France-Canada.
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« La conscience est un dialogue sans interlocuteur, un dialogue à voix basse, qui est en vérité un monologue », écrit Vladimir Jankélévitch.
Nous, les fiers Sapiens du vingt-et-unième siècle, pensons que nous n'avons plus rien de commun avec nos ancêtres primitifs, fourrageurs/cueilleurs, premiers envahisseurs de la planète Terre, et que nous sommes des gens civilisés. Détrompons-nous.
Il est utile de réaliser que notre monde vient de très loin, que nous avons des affinités avec les hominiens nos aïeux, que, malgré les progrès, nos comportements ne sont pas si différents des leurs. Nous devons surtout réaliser que nous assumons un présent perturbé et que nous avons un avenir en commun à sauvegarder et à préparer.
Dans notre monde d'aujourd'hui où tout va si vite, il est bon de s'arrêter un instant pour prendre conscience de nos responsabilités et d'un certain nombre de réalités élémentaires qui concernent précisément notre Nature humaine.
Le roseau pensant Sapiens ne peut s'empêcher de se poser mille questions au sujet de son existence et maintenant de son destin. Mon approche de l'idée d'une extinction de l'humanité est-elle fantaisiste ?
Pour se sauver, l'Enfant Sapiens ne devrait-il pas, maintenant, orienter son regard et sa pensée vers des valeurs spirituelles, artistiques, et tout simplement, humanistes ?
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