À trente ans passés, Ignatus vit encore cloîtré chez sa mère, à La Nouvelle-Orléans. Harassée par ses frasques, celle-ci le somme de trouver du travail. C'est sans compter avec sa silhouette éléphantesque et son arrogance bizarre. Chef-d'oeuvre de la littérature américaine, La Conjuration des imbéciles offre le génial portrait d'un Don Quichotte yankee inclassable, et culte.
« Écrit au début des années soixante par un jeune inconnu qui devait se suicider en 1969, à l'âge de trente-deux ans, parce qu'il se croyait un écrivain raté, La Conjuration des imbéciles n'a été éditée qu'en 1980. Le plus drôle dans cette histoire, pour peu qu'on goûte l'humour noir, c'est qu'aussitôt publié, le roman a connu un immense succès outre-Atlantique et s'est vu couronné en 1981 par le prestigieux prix Pulitzer. Une façon pour les Américains de démentir à retardement le pied de nez posthume que leur adressait l'écrivain, plaçant en exergue à son livre cette citation de Swift: "Quand un vrai génie apparaît en ce bas monde, on peut le reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui." » - Bernard Le Saux, Le Matin
Ignatius J Reilly is fat, flatulent, eloquent and almost unemployable. By the standards of ordinary folk he is pretty much unhinged, too. But is he bothered by this? No. For this misanthropic crusader against an America fallen into vice and ignorance has a mission: to rescue a naked female philosopher in distress.
Les années 1940. Un jeune garçon, David, grandit dans une petite ville du Sud, dans une maison délabrée juchée sur une colline. Chaque nuit il voit au loin l'immense bible éclairée de néon qui surplombe l'église, symbole de la ferveur religieuse des habitants, qui méprisent sa famille. David trouve refuge auprès de sa tante, la douce et ronde Mae. Mais bientôt celle-ci part pour Nashville, et le pasteur décide de placer la mère de David à l'asile... John Kennedy Toole - l'auteur de La Conjuration des imbéciles, chef-d'oeuvre qui lui a valu en 1981, à titre posthume, le prix Pulitzer - a écrit La Bible de néon à l'âge de seize ans. Ce premier roman qui languit dans un tiroir jusqu'au succès phénoménal de La Conjuration révèle une tout autre facette de son talent. " Rien de plus authentique, écrit le New York Times, que ce testament d'un écrivain qui avait du génie, et dont l'oeuvre est à classer aux côtés de celles de Flannery O'Connor et de Carson McCullers."
Les années 1940. Un jeune garçon, David, grandit dans une petite ville du Sud, dans une maison délabrée juchée sur une colline. Chaque nuit il voit au loin l'immense bible éclairée de néon qui surplombe l'église, symbole de la ferveur religieuse des habitants qui méprisent sa famille. David trouve refuge auprès de sa tante, la douce et ronde Mae. Mais bientôt celle-ci part pour Nashville, et le pasteur décide de placer la mère de David à l'asile...
John Kennedy Toole - l'auteur de La Conjuration des imbéciles, chef-d'oeuvre qui lui a valu en 1981, à titre posthume, le prix Pulitzer - a écrit La Bible de néon à l'âge de seize ans. Ce premier roman qui languit dans un tiroir jusqu'au succès phénoménal de La Conjuration révèle une tout autre facette de son talent.
Rien de plus authentique que ce testament d'un écrivain qui avait du génie, et dont l'oeuvre est à classer aux côtés de celles de Flannery O'Connor et de Carson McCullers. The New York Times
Les années 1940. Un jeune garçon, David, grandit dans une petite ville du Sud, dans une maison délabrée juchée sur une colline. Chaque nuit il voit au loin l'immense bible éclairée de néon qui surplombe l'église, symbole de la ferveur religieuse des habitants, qui méprisent sa famille. David trouve refuge auprès de sa tante, la douce et ronde Mae. Mais bientôt celle-ci part pour Nashville, et le pasteur décide de placer la mère de David à l'asile... John Kennedy Toole - l'auteur de La Conjuration des imbéciles, chef-d'oeuvre qui lui a valu en 1981, à titre posthume, le prix Pulitzer - a écrit La Bible de néon à l'âge de seize ans. Ce premier roman qui languit dans un tiroir jusqu'au succès phénoménal de La Conjuration révèle une tout autre facette de son talent. " Rien de plus authentique, écrit le New York Times, que ce testament d'un écrivain qui avait du génie, et dont l'oeuvre est à classer aux côtés de celles de Flannery O'Connor et de Carson McCullers."