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Kana
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Pour Taiza Kujô, la loi et la morale sont deux choses différentes. C'est pourquoi il ne ressent pas de culpabilité à défendre des membres de la pègre ou des individus ayant déjà un casier judiciaire bien rempli. Son objectif est de trouver une ligne de défense qui aura un maximum d'avantages pour le client qu'il défend. Le profit ne l'intéresse d'ailleurs pas. Son seul objectif : défendre son client, qui que soit l'adversaire en face.
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Kanemoto a été retrouvé mort. La police commence alors à enquêter sur les circonstances de son décès, bien décidée à arrêter Mibu et son étrange avocat.
De son côté, Kujô rencontre une cliente lui demandant de récupérer l'héritage de son père récemment décédé. Mais accepter cette affaire pourrait le forcer à se battre contre son ancien mentor. Quelle décision sera la plus adaptée à la morale si particulière de Taiza Kujô...? -
Un journal en ligne a publié une interview d'un employé de la maison de retraite, témoignant des violences subies par les pensionnaires ! Tandis que Sugawara recherche le traître parmi ses hommes, maître Yamashiro a une idée de l'identité de la personne qui tire les ficelles dans l'ombre...
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Miho aide Arashiyama à en apprendre plus sur sa fille, Manami, pour l'aider à trouver qui l'a réellement assassinée à l'époque, ce dernier réussit à arrêter Koyama, son petit-ami. Tandis qu'il semble s'approcher de la vérité en interrogeant Koyama, Kujô intervient pour s'assurer que la loi sera respectée...
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Kujô a pris en charge une nouvelle affaire : défendre Shizuku, une jeune femme qui a poignardé son petit-ami. Lors de leur entretien, elle décide de raconter pourquoi la mort de son petit-ami était le seul moyen pour qu'elle puisse « redevenir elle-même ». De son côté, Reiko Kameoka, une avocate de la même promotion que Kujô, compte bien mettre en lumière les abus des sociétés tournant des films pornographiques.
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Shûto ne veut plus revoir Shizuku. Elle qui pensait pouvoir compter sur Mû-chan pour la réconforter, une rencontre fortuite pourrait ramener Shizuku à sa triste réalité. Alors que la jeune femme pensait avoir touché le fond, une main tendue va l'aider à reprendre espoir. L'affaire pour laquelle a été choisie Kujô approche de son dénouement.
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Soupçonné d'avoir volé la moto d'Aizawa, un chef de gang, Mazaru est contraint de le rembourser ! Au lieu d'emprunter les 2 millions de yens exigés par Aizawa, Mazaru demande à Ushijima de l'accueillir dans son équipe. Il est alors pris en main par Takada qui le forme au métier. Rapidement, l'avenir financier du jeune homme s'éclaircit. Pourtant, son appétit féroce pour l'argent le pousse à trahir Ushijima.
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L'équipe d'Ushijima a été neutralisée par Aizawa et sa bande. Masaru et Takada sont interrrogés afin de leur soutirer le code d'une des cartes de crédit d'Ushijima. Grâce au GPS du portable de Masaru, Ushijima parvient cependant à les localiser sans savoir qui les retient. Craignant une descente de police, il entreprend de détruire les dossiers de ses clients. Une perte énorme de revenus pour lui... !!
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Une journée ordinaire débute pour Ushijima : des clients font la queue pour lui emprunter de l'argent. Pour Takada qui débute au service de l'usurier, c'est la découverte d'un monde souterrain où l'argent règne en maître.
Guidé par Ushijima, akada apprend les ficelles du métier, et les combines pour soutirer aux clients leurs derniers sous... Sans aucun état d'âme !
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Le jour où Yû-Chan, un photographe homosexuel sans le sou, trouve enfin du travail, il s'aperçoit que ces appareils photo ont disparu ! Il soupçonne Janiota, l'un de ses amis, qui doit de l'argent à Ushijima, d'être l'auteur de ce vol...
Pendant ce temps, Ushijima se fait arrêter par la police en flagrant délit pour tentative de chantage. On l'emmène au poste de police où un inspecteur lui apprend que 4 autres personnes ont portés plainte contre lui ! Ushijima risque une peine d'emprisonnement de 10 ans !!
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À l'exception de Masaru qui joue une nouvelle fois un double jeu, l'équipe d'Ushijima travaille d'arrache pied pour faire sortir l'usurier de prison. Des trois personnes ayant porté plainte contre Ushijima, seul Jun refuse encore de revenir sur son témoignage. Mais le jeune homme subit le chantage d'un truand surnommé Nikumamushi et n'a d'autre choix que de faire appel aux hommes d'Ushijima pour se sortir d'affaire. Le marché est le suivant : contre les 2 millions de yens que lui réclame Nikumamushi, Jun accepte de retirer sa plainte ! Ushijima laissera-t-il passer cette occasion !?
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Sur les pas d'Ushijima, un "encaisseur" qui travaille pour le compte des yakuzas, le lecteur rencontrera une série de personnages tombés dans la déchéance du surendettement. Au travers de ces destinées toutes plus tragiques les unes que les autres, c'est un portrait original de la "société d'en bas" que l'on découvre dans ce manga avec, par exemple, une jeune fille ne résistant pas à la pression sociale et se ruinant en vêtements de luxe ou un joueur invétéré et obsessionnel qui y laisse sa chemise et même plus, etc.
Ushijima, l'usurier de l'ombre est un manga vraiment étonnant ! On rentre dans un univers très noir où les yakuzas règnent en maîtres, où blanchiment d'argent et combines en tout genre fleurissent dans un univers urbain décalé. Shohei Manabe fait partie des auteurs les plus prometteurs de la jeune génération de mangakas. Son style reconnaissable entre tous, avec un trait incisif, chargé d'encre est fascinant.
Le style que ce soit du dessin ou des histoires présente un curieux mélange entre expressionnisme et western. La facilité de Shohei Manabe à restituer sa fascination pour la violence et la noirceur de l'âme humaine sans se perdre dans le propos en fait un des grands auteurs de roman noir graphique.
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Moko, étudiante à l'université, travaille également comme call-girl pour rembourser ses dettes à Ushijima. Parmi ses collègues, Mizuki et Anna, deux filles au caractère et aux méthodes de travail opposés. Mizuki est devenu la fille n°1 de l'établissement en prenant soin de ses clients alors qu'Anna, beauté froide et distante, voit le nombre de ses habitués diminuer.
Ushijima quant à lui fait le bilan de son activité : le monde des yamikins à bien changé, seuls les plus intelligents s'en sortent désormais. Pour preuve Nomura et Kanie deux usuriers en difficultés...
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Sur les pas d'Ushijima, un "encaisseur" qui travaille pour le compte des yakuzas, le lecteur rencontrera une série de personnages tombés dans la déchéance du surendettement. Au travers de ces destinées toutes plus tragiques les unes que les autres, c'est un portrait original de la "société d'en bas" que l'on découvre dans ce manga avec, par exemple, une jeune fille ne résistant pas à la pression sociale et se ruinant en vêtements de luxe ou un joueur invétéré et obsessionnel qui y laisse sa chemise et même plus, etc.
Ushijima, l'usurier de l'ombre est un manga vraiment étonnant ! On rentre dans un univers très noir où les yakuzas règnent en maîtres, où blanchiment d'argent et combines en tout genre fleurissent dans un univers urbain décalé.
Shohei Manabe fait partie des auteurs les plus prometteurs de la jeune génération de mangakas. Son style reconnaissable entre tous, avec un trait incisif, chargé d'encre est fascinant. Le style que ce soit du dessin ou des histoires présente un curieux mélange entre expressionnisme et western. La facilité de Shohei Manabe à restituer sa fascination pour la violence et la noirceur de l'âme humaine sans se perdre dans le propos en fait un des grands auteurs de roman noir graphique.
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Sur les pas d'Ushijima, un "encaisseur" qui travaille pour le compte des yakuzas, le lecteur rencontrera une série de personnages tombés dans la déchéance du surendettement. Au travers de ces destinées toutes plus tragiques les unes que les autres, c'est un portrait original de la "société d'en bas" que l'on découvre dans ce manga avec, par exemple, une jeune fille ne résistant pas à la pression sociale et se ruinant en vêtements de luxe ou un joueur invétéré et obsessionnel qui y laisse sa chemise et même plus, etc.
Ushijima, l'usurier de l'ombre est un manga vraiment étonnant ! On rentre dans un univers très noir où les yakuzas règnent en maîtres, où blanchiment d'argent et combines en tout genre fleurissent dans un univers urbain décalé. Shohei Manabe fait partie des auteurs les plus prometteurs de la jeune génération de mangakas. Son style reconnaissable entre tous, avec un trait incisif, chargé d'encre est fascinant.
Le style que ce soit du dessin ou des histoires présente un curieux mélange entre expressionnisme et western. La facilité de Shohei Manabe à restituer sa fascination pour la violence et la noirceur de l'âme humaine sans se perdre dans le propos en fait un des grands auteurs de roman noir graphique.
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Ushijima est dans une impasse : les frères Gakuto, qui détiennent toujours Kanô et Ezaki, ont bien l'intention de faire payer à au yamikin les humiliations passées. Pourtant, il se pourrait qu'il bénéficie d'un allié providentiel à la love house. Le moment venu, Ushijima saura-t-il reconnaître ses amis de ses ennemis ?
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La vie est dure à la Love House pour les travailleurs temporaires. Takemoto, ancien camarade d'Ushijima, est prêt à s'endetter une nouvelle fois pour que Kuroda puisse voir un médecin. Les idéalistes comme lui ont-ils encore leur place dans le monde d'Ushijima ? Quant à Komoto, saura-t-il sortir de la spirale infernale dans laquelle il s'est engagé ?
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Sur les pas d'Ushijima, un 'encaisseur' qui travaille pour le compte des yakuzas, le lecteur rencontrera une série de personnages tombés dans la déchéance du surendettement. Au travers de ces destinées toutes plus tragiques les unes que les autres, c'est un portrait original de la 'société d'en bas' que l'on découvre dans ce manga avec, par exemple, une jeune fille ne résistant pas à la pression sociale et se ruinant en vêtements de luxe ou un joueur invétéré et obsessionnel qui y laisse sa chemise et même plus, etc. Ushijima, l'usurier de l'ombre est un manga vraiment étonnant ! On rentre dans un univers très noir où les yakuzas règnent en maîtres, où blanchiment d'argent et combines en tout genre fleurissent dans un univers urbain décalé. Shohei Manabe fait partie des auteurs les plus prometteurs de la jeune génération de mangakas. Son style reconnaissable entre tous, avec un trait incisif, chargé d'encre est fascinant. Le style que ce soit du dessin ou des histoires présente un curieux mélange entre expressionnisme et western. La facilité de Shohei Manabe à restituer sa fascination pour la violence et la noirceur de l'âme humaine sans se perdre dans le propos en fait un des grands auteurs de roman noir graphique.
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Itabashi a contracté de nombreuses dettes mais pour se sortir de ce cercle, il s'est servi de Kobori, un ami d'enfance. Kobori qui avait déjà des problèmes avec sa femme et son travail commence une dépression. Peut-il arrêter cette descente aux enfers ? Itabashi va-t-il arriver à s'en sortir même s'il doit enfoncer son ami ?