Voici un recueil de 10 histoires, sur la thématique de l'école et sur tous ses aléas.
Chaque histoire est drôle, touchante, et aborde de manière humoristique le quotidien de filles et de garçons ! La peur d'aller faire pipi, ne rien comprendre en maths, le départ en vacances ou encore la phobie de lire devant les autres, autant de situations auxquelles le lecteur pourra s'identifier facilement et qu'il a sûrement vécues lui-même !
Des histoires qui parlent à tous les enfants grâce au talent narratif de Susie Morgenstern !
C'est le premier jour d'école. Le premier jour de grande école. Pablo et Agathe font leur entrée en CP et ils n'y vont pas du même pas. Pablo est fou de joie de devenir enfi n un grand. Agathe a une boule au ventre en pensant à ce qui l'attend. Mais après les préparatifs, le trajet et les espoirs, la peur pourrait bien changer de camp. À moins qu'un sourire survienne, qu'une main se tende...
Lili l'oiseau vit dans un grand arbre avec tous ses amis et en ce moment, tous ne parlent que d'une chose : le départ vers les pays chauds. Mais Lili a un secret... Alors qu'elle tient une boutique d'ailes, elle-même ne sait pas voler. Tous les hivers, elle regarde ses amis partir le coeur lourd. Mais cette année, elle compte bien les accompagner ! Elle se met à étudier les vents, essaye toutes les ailes possibles, et fait même appel à la magie. Mais peut-être que ce qu'il lui faut, c'est juste un petit coup de pouce de la part de ses amis...
Tout en abordant les thèmes de la honte et de la différence, cette histoire montre l'importance de la ténacité et des rêves. L'entraide et la solidarité entre amis sont mises en valeur. L'ouvrage, qui regorge de jeux de mots amusants, est dynamique et coloré.
Un jour, Marie-Belle, entend sa maman dire qu'elle pas eu assez de temps pour faire tout ce qu'elle voulait.
Alors Marie-Belle ne veut pas perdre une seule seconde. Elle se dépêche. Du matin au soir, elle court : vite à l'école, vite à la maison, vite le bain ! Ses journées ressemblent à un marathon. Grâce sa maman, Marie-Belle finit par comprendre que si le temps est précieux, c'est surtout ce qu'on en fait qui le rend riche.