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Yvon Morel Lab
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De jolis "petits polars" qui ancrent leurs intrigues peut-être pas loin de chez vous...
Pas chers, mais toujours avec la qualité d'écriture garantie Nykta.
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«?Pas encore rattaché à la pleine logique d'un esprit complètement éveillé, je pouvais construire la suite irréelle de mes pensées de la veille. Combien de temps cela durait-il ? Je ne savais pas. Par moments, j'en perdais le fil en m'assoupissant et puis, doucement, comme un ordinateur qu'on met en route, défilait à nouveau dans ma tête tout un tas d'images, de pensées sans lien entre elles pour progressivement s'ordonner?».
Et si nous n'étions pas seuls ?
Aux fins fonds de la galaxie, un peuple intellectuellement avancé nous observe. Pouvons-nous nous entendre ?
De secrets scientifiques à l'élaboration d'un projet qui pourrait renverser l'économie mondiale, notre narrateur questionne le fonctionnement de notre société autour de notions actuelles comme l'écologie, la démographie ou l'économie.
Et si la solution était ailleurs ?
Un récit transcendantal, transhumaniste et saisissant.
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Je me retournai, et lui dis, tout embrouillé dans mon comportement, « au revoir Mad » et m'arrêtai à la moitié de cette appellation, n'osant pas pousser mon audace jusqu'à finir en « eleine » ou, plus cérémonieux, en « ame ». Elle n'entendit donc jamais la fin que je ne prononçai jamais, gardant pour toujours cette interrogation en suspens, ce Mad à cheval entre l'intimité d'un prénom et une marque de respect pour une grande personne. Tout en prononçant cet au revoir, je penchai ma tête vers elle pour recevoir son baiser sur le front. Je pus aussi avec délice plonger à nouveau mon regard dans la profondeur de son décolleté - je n'étais pas prêt de m'en lasser.
Après Simple passé, loin d'être plus que parfait et Si seulement 1939-1945, Mad est le troisième ouvrage d'Yvon Morel-Lab publié chez Persée.
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« J'espère qu'il va prendre autant de plaisir à se plonger dans ma prose et qu'à la fin, il pourra me pardonner et me tomber dans les bras. Ce que je vais faire, c'est pour nous réconcilier et lui montrer que maintenant je pense comme lui. » À l'aube de la retraite, Roman Smirnoffwitch, ancien agent du KGB puis du GRU, réalise qu'il a en sa possession suffisamment d'informations pour compromettre plusieurs dirigeants à travers le monde. Il décide alors de rédiger ses mémoires, parfaitement lucide quant aux risques que cela implique. Ceux-ci semblent pourtant minimes face au chagrin dû à l'absence de son fils, Mikaleï. Installé en France, il a définitivement coupé les ponts avec son père. Roman a pourtant bien espoir de le retrouver un jour et de se réconcilier...
Dans cet ouvrage empli d'humanité, les souvenirs et les expériences d'un personnage au passé héroïque se croisent et s'entremêlent alors qu'il est rattrapé par ses erreurs et ses regrets. Un récit prenant d'une grande tendresse, ponctué d'émotion et d'humour, où la famille trouve une nouvelle définition.
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Pourquoi ai-je écrit ce roman ? À cause d'une vieille histoire qui trotte dans ma tête depuis l'enfance : à la fin de la guerre, je voyais les soldats allemands chercher davantage à se sauver qu'à se battre. Ils voulaient partir vite et fouillaient les maisons à la recherche de moyens de transport. Quand un matin ils sont entrés chez nous et que ma mère a voulu les empêcher d'atteindre le grenier où se trouvait notre vélo, un soldat l'a menacée de sa mitraillette. L'après-midi, furieux du vol de ma bicyclette et traumatisé par l'agression, je me suis assis à l'entrée de notre immeuble, en plein centre-ville, et je tirais une langue la plus longue possible aux hordes de soldats affolés qui passaient devant moi. Ma mère m'a surpris et m'a giflé. C'était ma première claque. Depuis, j'ai toujours conservé le regret, non de la claque, mais d'avoir été beaucoup trop jeune à l'époque pour participer à la résistance. Il ne me restait qu'à l'imaginer. Ce roman.
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