Inspiré par le festival de la Chaise Dieu, un ouvrage qui procède d'une rencontre entre les muses Euterpe (la musique) et Clio (la poésie) avec la peinture.

Autour des concerts, André SOLER a composé des poèmes que Claude QUIESSE a illustrés.

Après des remarques sur l'organisation grammaticale de notre langue, il s'agit de creuser jusqu'à ses racines, à la recherche de ce que nous pouvons saisir de l'être. Passer par nos précieux auxiliaires, être et avoir, et les règles de leurs accords. en apparence si absconses. Découvrir que c'est toujours en fonction de l'être que se fait l'accord.

Porter ensuite nos pas vers les notions de sujet et d'objet que la grammaire a bien du mal à définir : le sujet est en rapport avec la présence, tandis que l'objet est en rapport avec l'absence.

Tirer le jus de ces considérations pour notre quête de l'être.

Nous attarder à la notion de sujet dans la langue, puis en psychanalyse, laquelle entend opérer directement sur lui ! Critiquer cette grille de lecture.

Vient ensuite le tour de la psychiatrie.

Parvenir enfin à une conception haptonomique de l'être et du sujet, et surtout aux conclusions qui en découlent pour l'approche des personnes ; tâcher de comprendre comment l'haptonomie donne accès à l'être.

Avec quelques vignettes relatives à cette clinique.

Enfin, sous la forme elliptique propre à la forme poétique, en alexandrins, réunir l'ensemble.
Lire la suite Fermer

Les nouveau-nés de faible poids et les naissances prématurées sont causes de mortalité et de morbidité néonatales et infantiles. Pour pallier ces difficultés, la couveuse a été mise au point ; plus récemment, et dans des contrées de pénurie, est née la « méthode mère-kangourou ».

Après avoir envisagé sémantiquement le terme de couveuse, il convient d'en étudier l'histoire et l'usage. De considérer quelques-uns des inconvénients qu'elles présentent (répercussions affectives de la séparation, de l'absence de contacts, lumière, bruit), avec leurs possibles séquelles. Pour en arriver à la méthode dite kangourou.

S'ensuit la description des avantages de cet accompagnement. La pratique de l'haptonomie nous permet de comprendre la valeur de certains.

Evoquer le grasping, ainsi que quelques engrammes qui résultent de séjours en couveuse.

Envisager l'allaitement, essentiellement sous son angle affectif.

Enfin, tenter de comprendre les motifs de résistance à la mise en oeuvre du contact affectif chez les enfants prématurés ou pas, résistances qui entravent le développement de l'humain.
Lire la suite Fermer

Le déni de la vie psychique - autrement dit, « humaine » - pendant la grossesse, est d'une telle intensité que peu de gens la prennent en considération sur un plan autre que somatique.

D'innombrables travaux montrent pourtant que le bébé in utero est un être percevant, sensible et communiquant, mais ces découvertes restent sans effet sur le comportement qui lui est adressé, non seulement au niveau de bien des parents, mais surtout des praticiens.

Jean-Pierre Relier enseigne inlassablement et sans dogmatisme le respect de cet être humain, de cet enfant (infans : qui ne parle pas) qui, sous prétexte qu'on ne le voit pas (malgré l'échographie), ne ressentirait rien.

Sans cesse, sur le métier il convient de remettre l'ouvrage : attirer l'attention sur le fait que non seulement le stress du bébé existe, mais qu'il a des caractères délétères. En contrepoint, souligner que sa mère, essentiellement, peut le protéger, l'aider à ne pas souffrir des stress qui lui sont infligés.

C'est ce que cet ouvrage met en évidence!
Lire la suite Fermer

Quatre conférences tenues le 18 novembre 2008 :

Maître Anne-Marie REGNOUX, avocat :

« La place du risque ».

Didier LEMERY, professeur de gynécologie-obstétrique :

« Patient, médecin : amour, rupture ».

Gérard GUIEZE, philosophe :

« L'erreur, le risque, la faute ».

André SOLER, psychologue :

« Un juge... sinon deux ».

Cet ouvrage se compose de:

- quatre conférences tenues le 18 novembre 2008 à Clermont-Ferrand.

- un débat public.

- dix entretiens avec des praticiens de santé.



Il entend, par des approches différentes, mais cohérentes, appréhender la question de savoir quelle est « la place du juge dans la relation médecin-malade ».

Ainsi devrait-il contribuer à approfondir le thème aussi complexe que délicat pour les professionnels de santé, chez qui il est constamment à l'ordre du jour, en tant qu'il imprègne toute consultation : le thème du « médico-légal ».
Lire la suite Fermer

Quatre conférences tenues le 18 novembre 2008 :

Maître Anne-Marie REGNOUX, avocat :

« La place du risque ».

Didier LEMERY, professeur de gynécologie-obstétrique :

« Patient, médecin : amour, rupture ».

Gérard GUIEZE, philosophe :

« L'erreur, le risque, la faute ».

André SOLER, psychologue :

« Un juge. sinon deux ».

Cet ouvrage se compose de - quatre conférences tenues le 18 novembre 2008 à Clermont-Ferrand, - un débat public, - dix entretiens avec des praticiens de santé.



Il entend, par des approches différentes, mais cohérentes, appréhender la question de savoir quelle est « la place du juge dans la relation médecin-malade ».

Ainsi devrait-il contribuer à approfondir le thème aussi complexe que délicat pour les professionnels de santé, chez qui il est constamment à l'ordre du jour, en tant qu'il imprègne toute consultation : le thème du « médico-légal ».
Lire la suite Fermer

Cet ouvrage tourne autour d'une question essentielle :

A partir de quand l'être est-il « humain » ?

Et répond : dès la conception !

Voilà une prise de position qui n'est pas sans soulever de questions, essentiellement de nature éthique ; une position d'autant plus délicate qu'elle se trouve en décalage par rapport aux lois actuelles.

Et dont les répercussions sur l'évolution de l'humain sont incommensurables...

Après avoir décortiqué les sources étymologiques, parcouru les trésors de la langue, contemporains et anciens, du français général et de quelques disciplines tenues pour « sciences humaines », découvrir pourquoi le terme « affectivité » est d'apparition récente, alors que son vécu est, à l'évidence, immémorial, l'affectivité constituant l'essence même de l'humain.

Cette excursion temporelle montre que l'affectivité est frappée d'une sorte de relégation, de connotation négative, bien vivace encore de nos jours.

Tenter de comprendre pourquoi l'affectivité a une odeur de soufre et pas seulement de souffrance.

Visiter les croyances qui lui sont attachées dans les cultures anciennes, au fondement de la nôtre, croyances influencées par la religion.

Il y a là une résistance dont la psychanalyse, qui d'ordinaire, ne boude pas le plaisir de la bouter hors de son champ, est elle-même victime.

. Pour en arriver, à peine moins d'un siècle après l'apparition du concept dans notre langue (1865), à celle de la « science de l'affectivité » : l'haptonomie...
Lire la suite Fermer

Cet ouvrage invite à réfléchir à ce qui constitue le fondement éthique de l'humain.

Après avoir considéré l'éthique : son origine, son étymologie, son sens, son champ, sa définition, sa nécessité, ses buts. il en vient à son essence.

Il insiste sur la nécessité de distinguer éthique et morale.

La thèse ici développée se constitue du fait que l'éthique trouve son fondement au coeur de l'humain et la sensorigenèse en supporte le développement !

Voilà qui donne à l'éthique une dimension aussi sensuelle qu'essentielle, éloignée de la réduction à un pur concept, dans lequel elle est trop souvent enfermée.

Il en découle quelques enseignements concernant l'acte de naître et l'éducation.



C'est par la prise en considération et le développement de l'éthique que l'évolution de l'humain peut voir fleurir son essence...
Lire la suite Fermer

6-DICTIONNAIRE DE L'HAPTONOMIE Thesaurus haptonomicus Toute science a un vocabulaire spécifique. Du moins introduit-elle dans le système de communication la terminologie qu'elle forge et qu'elle intègre à l'ensemble de ses outils de travail.
L'haptonomie ne déroge pas à cette règle.
Ce faisant, elle enrichit le trésor de la langue.