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J'avoue, jusqu'à ce que je lise SOFONISBA, le dernier roman d'Anne Comtour, je n'avais jamais entendu parler de Sofonisba Anguissola.Et je me désolais qu'il y ait eu si peu de femmes peintres.Et voilà qu'au sortir de cette lecture, je découvre cette artiste, cette peintresse, jaillie de la Renaissance.En une centaine de pages, légères, précises, enlevées... Anne C. nous entraîne dans un tourbillon de joie. On suit Sofonisba dans ses apprentissages ; on la voit broyer ses couleurs, tendre ses toiles, manier fusains et pinceaux ; on l'entend jouer du virginal ; on assiste à la naissance de ses talents.Par la vivacité et la grâce de ces lignes, j'ai la sensation d'avoir découvert, en plus d'un grand peintre injustement méconnu, portraitiste hardie et virtuose, une nouvelle amie ; et cela n'a pas de prix.Longue vie nouvelle à Sofonisba !À quand une exposition de ses toiles en France ?En attendant, plongeons dans ce récit enjoué, irradié par le soleil d'Italie, comme dans un torrent d'eau vive.Élise Fontenaille
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La mangounhe ; la cuisine familiale du cochon
Roland Sabatier, Claudine Sabatier
- Creer
- 26 Mai 2010
- 9782848191157
La Mangounhe, c'est la cuisine familiale du cochon.
On dit aussi " tripot ", ou alors Saint-Cochon ", pour bien marquer son caractère festif, rituel, et son retour annuel. C'est que le " jour de tuer le cochon" était une si grande fête que le Margaridou, bible de la cuisine auvergnate, rapporte qu'à la question: " Quelle est la plus grande fête de l'année? " que posait M. le curé au catéchisme naguère, il était répondu : " Le jour où on tue le monsieur, Monsieur ".
Ces recettes et tours de main encore bien connus des plus anciens, sont vivaces et toujours présents, mais ils vont en se raréfiant, car ils sont liés à un mode de vie qui tend à disparaître du fait de l'arrivée du congélateur et des nouvelles réglementations. Il se trouve que grâce à une transmission qui s'est faite par ici sans solution de continuité, on pratique encore le découpage du porc par le dos, à la manière ancienne, ailleurs disparue.
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Un train, deux trains, une île...
Deux ports, un chat, une cheminée avec ou sans feu.
Du gel, des étoiles, du soleil. Des matins bleus, des jours gris, des soirs d'or et des nuits blanches.
Et la vie qui se moque, sauf de ceux qui la croquent.
Des histoires d'une drôlerie grinçante, à la fin toujours surprenante.
Sommaire Préface ..................................................................5 Bye bye Vermeer ...................................................7 Air du Froid ..........................................................17 Fin d'été ................................................................35 Jamais le petit jour ................................................67 Vers le Nord ..........................................................99 Ile et Elles .............................................................113 -
Elle a connu la guerre, l'injustice, la méchanceté, la pauvreté. Elle a connu le Paris des années cinquante, des personnages pittoresques ou prestigieux, l'Auvergne dans toute sa rudesse et sa beauté. Une grande passion a changé sa vie. Voici l'histoire authentique d'une petite fille enfant naturelle qui avait voulu mourir et qui est devenue une grande artiste, pleine d'humour et de générosité. Ces pages magnifiquement illustrées dévoilent une partie de son talent
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La maison rurale en Béarn : contribution à un inventaire régional
Jean Loubergé
- Creer
- 21 Mai 2021
- 9782848195254
L'analyse de l'espace bâti montre que l'architecture rurale, limitée pour l'essentiel à la construction, et la nature n'ont jamais été en conflit. L'architecture est née de la création de l'homme ; elle utilise les matériaux fournis par la nature. Celle-ci, domptée par lui, est depuis bien longtemps déjà modelée à des fins utilitaires. Elles n'ont jamais été affrontées car elles servent un même dominateur. L'espace rural est donc un tissu de bâtiments à usage individuel dont la maille varie en fonction de la diversité des paysages. Celle-ci a généralement au moins deux causes : l'une géologique qu'il ne saurait être question de développer ici, tant l'évidence est frappante et, l'autre humaine ; car de tout temps, l'homme, poussé par les nécessités de survie ou par des besoins de domination, a conquis les terres vierges ; ensuite, il les a exploitées et la nature s'est trouvée liée à l'homme pour le meilleur et pour le pire. La conséquence en est cette extrême variété des villages ou des maisons isolées parsemés dans la campagne. Mais dans l'économie traditionnelle, l'homme n'opère que par nécessité : c'est par besoin qu'il défriche, c'est par besoin qu'il cultive, c'est aussi par besoin qu'il construit. La maison donc, ne sera pas plus importante qu'il n'est nécessaire pour assurer sa survie car n'oublions pas que l'habitation traditionnelle est d'abord un outil de travail. Viennent ensuite et seulement ensuite les décors et agencements qui modifient l'espace en intégrant la maison dans celui-ci. Certes, l'intégration est facilitée par l'emploi de matériaux pris surplace comme elle l'est aussi par l'implantation ; les sites d'édification sont choisis afin de minimiser le travail humain et d'obtenir le maximum d'efficacité. Ainsi donc il existe une harmonie de l'espace bâti avec le pays car les maisons de jadis étaient édifiées sinon par l'utilisateur lui-même du moins par des artisans de village pour des gens de village. L'harmonisation entre le bâti et le pays provient du caractère vernaculaire de la construction traditionnelle puisque les matériaux proviennent du lieu même de l'édification. Cette construction est donc l'expression d'un savoir-faire local qui décide des formes, des implantations et du choix des matériaux. Ce savoir est malgré tout soumis à l'importance de l'ouverture de la province, de la contrée ou du village vers l'extérieur : plus les échanges sont nombreux et plus les techniques se répandent et se banalisent ; un caractère universel apparaît. Toutefois, cette banalisation n'exclut pas la composition architecturale, aussi fruste, aussi rustique soit-elle ! Celle-ci reste soumise à deux facteurs essentiels. agencement et imbrication des volumes simples tels que le cube ou le parallélépipède entre eux d'une part, et la liberté d'autre part dans la composition ; la dominante en est la désinvolture dans la réalisation car l'expression adoptée dans la construction varie suivant le mode d'occupation des lieux...
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Ce livre est une réédition revue et corrigé du livre paru en 2009 qui était relié toilé sous jaquette pelliculé Au XIe siècle, après avoir fondé l'abbaye de La Chaise-Dieu, saint Robert de Turlande installa un prieuré de bénédictines dans ce creux vallonné et riant, au bord de la Sénouire. Au fil des siècles, le monastère se développa et devint une importante abbaye, que les religieuses ne cessèrent d'embellir.
Le visiteur peut encore admirer aujourd'hui l'exceptionnel cloître roman, le seul subsistant en Auvergne, aux proportions harmonieuses et aux chapiteaux à feuillages ou à figures ; mais aussi l'ancien réfectoire décoré d'une immense fresque d'inspiration byzantine du XIIe siècle. Dans l'église Saint-André se déploie un extraordinaire ensemble de peintures murales du XIIe au XVIIIe siècle, dont certaines n'ont pas d'équivalent (« Mort Noire » XIVe siècle, « Martyre de sainte Ursule XVIe siècle).
Ce livre invite le touriste et l'amateur d'art à découvrir ou redécouvrir Lavaudieu, haut lieu de l'Auvergne romane. Anne Courtillé retrace d'abord l'histoire du monastère, puis, pas à pas, décrit les bâtiments. Elle en explique les décors sculptés ou peints, faisant ainsi le point, après plusieurs campagnes de restaurations, sur les dernières découvertes. Le remarquable mobilier n'est pas oublié : Christ roman, Vierge de pitié en pierre du XVIe siècle, nombreuses statues en bois polychrome... -
La peinture religieuse en Haute-Auvergne, XVII-XX siècle
Pascale Moulier
- Creer
- 12 Octobre 2007
- 9782848190822
Une description méticuleuse et complètement inédite de la peinture sur toile ou panneaux de bois dans le Cantal, du XVIIe au XXe siècle.
Pour la première fois, la richesse artistique, historique et sociologique de ce patrimoine oublié est dévoilée grâce à une visite exhaustive des églises du département.
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Maisons paysannes et vie traditionnelle en auvergne
Breuille/Dumas/Ondet
- Creer
- 1 Octobre 2000
- 9782909797588
Toute au long de cette étude, nous découvrirons une architecture à l'image de l'homme : simple et vraie, mais nullement dénuée d'originalité. Pourtant, la maison paysanne n'est pas un fait exceptionnel, elle est seulement le fruit d'une étroite complicité entre l'homme et la nature. Homme de la terre, le paysan a toujours su tirer parti de ce qu'elle lui offrait ; il y a puisé sa maison. Homme de devoir, respectueux des règles et d'une tradition, il a su perpétuer la forme, tout en l'adaptant à ses nouveaux besoins. Homme de sagesse enfin, il a toujours su concilier un fonctionnalisme obligé avec un certain désir de paraître. Toutefois, sous prétexte d'une réussite confirmée, il serait vain de vouloir calquer nos maisons sur celles d'autrefois. Il faut, au contraire, imaginer une architecture à notre mesure, adaptée à nos moyens et à nos exigences contemporaines, comme l'ont fait en leur temps nos aïeux.
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L'invention romane en Auvergne ; de la poutre à la voûte, Xe-XIe siècle
Dominique de Larouzière-Montlosier
- Creer
- 1 Juillet 2003
- 9782909797861
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Bruno Phalip est professeur à l'Université Blaise Pascal (Clermont II).
Sa recherche porte sur le Massif Central et particulièrement sur les patrimoines médiévaux qu'ils soient civiles, militaires ou religieux. A la suite de sa thèse sur le château en Haute-Auvergne et Brivadois, il a soutenu son Habilitation à Diriger des Recherches en 2001 sur l'architecture romane dans l'ancien diocèse de Clermont.
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Entre Auvergne et Limousin, près des Monts Dore, la neige recouvre la campagne environnante. Seule âme qui vive un cheval avance sur la route principale. Inquiets de ce cheval sans son maître, les villageois remontent les traces de l'animal qui les mènent au milieu d'un bois où. Ils découvrent un homme mort dans la neige.
Ainsi commence en cet hiver de 1886 l'histoire de Léger, tailleur d'habits de son état. « Le sartre » nous invite à découvrir un jeune adolescent qui va se construire en référence à cette fin de XIXe siècle. Il sera partagé entre l'apprentissage de son métier et la remise en cause de l'ordre établi.
Maurice Vigier,auteur et scénariste de l'histoire est originaire de Clermont-Ferrand. En mettant en scène les gens du peuple dans la bande dessinée il produit là son deuxième album après « Mission Rafflésie » Éd. de la Montmarie.
Gerard Ponsing,le dessinateur, habite la Seine et Marne. C'est un passionné de la bande dessinée. Diplômé de l'école Boulle et de l'école ABC de dessin il a réalisé cet album en colorisation directe aquarelle.
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Au creux d'une vallée isolée, cernée par les pentes abruptes auxquelles s'agrippent les conifères et les maigres pâtures, se nichent le village de Desges et l'ancienne seigneurie du Bois Noir. En octobre 1934, la quiétude de ce bout du monde est soudainement bouleversée par des événements de nature à troubler bien davantage que la digestion des écureuils. Camille Defaux, adjudant de gendarmerie à Langeac, se voit alors contraint de s'immerger dans les secrets d'un microcosme figé par les pesanteurs du passé autant que par un hiver trop précoce.
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Les petits carnets de monsieur rusigby - ecole de rugby, ecole de la vie
Cavarot Didier
- Akki
- 18 Octobre 2021
- 9782957133475
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Avant de descendre vers le sud, un crochet vers la montagne pour aller à la rencontre de Calenzana, point de départ du GR 20 et autres sentiers pour marcheurs, au milieu d'une végétation de châtaigniers, de chênes, de pins laricio. Vous êtes en Corse, enivré, vous vivez un rêve.
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Luce Lanfranchi redevient Lucette Rodier pour nous inviter à visiter les années d'après-guerre qui furent pour elle, à Saint-Flour, l'écrin d'une adolescence heureuse. Nous faisant grâce des introspections actuellement très à la mode, elle convie ceux de sa généraltion à remonter dans leurs propres souvenirs et à retrouver les petits riens oubliés qui ont coloré leur enfance. Certains se reconnaîtront. Quant aux plus jeunes leur curiosité sera sollicitée pour « retrouver avec un mélange d'attendrissement, de stupeur et d'incrédulité... cette époque qui leur paraît furieusement lointaine... ».
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Ecrire et se faire publier c'est descendre dans l'arène et risquer la mise à mal.
Ecrire des nouvelles fantastiques c'est jouer au démiurge, créer ce qui n'existe pas ou plutôt ce qui n'existe pas encore...
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Le Puy-en-Velay ; ville d'art, d'histoire et de secrets
Paul Lutz
- Creer
- 31 Décembre 2011
- 9782848194431
Le Puy-en-Velay ville riche par son histoire et ses monuments nous charme, nous fascine ! Dans cet ouvrage, le photographe Paul Lutz, grâce à un choix très personnel d'images d'un beau format, se propose de vous faire découvrir ou redécouvrir la cité mariale et de vous faire partager ses coups de coeur pour cette ville hors du temps.
Pour notre plus grand plaisir il a pu pénétrer quelques uns des secrets du patrimoine privé qu'il nous livre ici.
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Philipe ROUCARIE renoue avec ce monde de la campagne profonde qu'il a connu et exploré. Dans son petit village avec ses joies, ses peines, ses inimitiés, ses brouilles, sa vie, ses hommes parfois simples, parfois grands. tout se croise dans ce roman au style amusé, à l'humour discret et à l'attachement viscéral...
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Aïe ! aïe ! aïe ! mémoires d'un caïeu auvergnat
Luce Lanfranchi-Rodier
- Creer
- 7 Juin 2011
- 9782848193922
Un retour au pays, la découverte des Grands Goussiers et un étrange tableau du XVIe siècle ont incité l'auteur à se lancer dans ces mémoires d'un caïeu auvergnat. Par cette fantaisie elle invite grands et petits à se promener des confins de la Chine jusqu'à l'Auvergne, à remonter le temps et à déambuler dans les cuisines des Maître queux qui ont honoré de leurs talents culinaires l'histoire de la France. Elle les incite à enrichir leur bibliothèque et engage les cuisiniers et les gourmands curieux à revisiter et à «mettre à leur carte» des recettes d'autrefois dont certaines ont plus de 5000 ans. Les auteurs Luce Lanfranchi-Rodier, Secrétaire général honoraire de l'École du Louvre et ex-chargée de mission au ministère de la culture, friande de bonnes tables, de retour à Saint-Flour, nous convie dans un style agréable et une écriture élégante à découvrir un héros auvergnat très apprécié mais pas toujours discret. (VPimentel=nom d'artiste), Vincente Pimentel est né à Saint-Domingue, ancien professeur de l'université de Saint-Domingue, diplômé des École d'Art et d'Architecture de Marseille et de Paris, vit et travaille à Paris depuis 1976. Ses oeuvres ont fait l'objet de très nombreuses expositions en France et dans le monde entier. Sa peinture abstraite conjugue avec poésie signes, formes, symboles et conceptualise, avec sensibilité, la terre matricielle et nourricière en lui empruntant ses pigments et sa matière pure. Il nous offre dans cet ouvrage des photos originales et délicates d'un des fruits de la terre d'Auvergne.
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Comme nous pardonnons aussi... (sicut et nos dimittimus)
Daniel Blanquet
- Creer
- 18 Mai 2011
- 9782848193939
A travers l'enquête du prévôt Quentin Ballade, l'auteur Daniel Blanquet nous fait découvrir la vie quotidienne des habitants riches et pauvres de Saint-Flour, dans la deuxième moitié du XVe siècle.
C'est à une véritable immersion dans le Saint-Flour du XVe siècle que l'auteur nous invite.
Un horrible meurtre ayant été commis le 10 novembre 1453, Quentin Ballade, prévôt du lieutenant du bailli, ouvre son enquête. Elle ne se terminera que le 30 novembre 1461.
En suivant le prévôt dans son enquête, le lecteur va s'immerger dans le quotidien de Saint-Flour à cette époque marquée par la fin de la Guerre de Cent Ans et la fin du Moyen Âge.
Il découvrira la vie dans les quartiers besogneux du faubourg du Pont et de la rue de la Coste, où l'on retrouve tanneurs, cardeurs, drapiers, potiers et ferronniers, et la vie dans les quartiers de la ville haute où l'on retrouve la haute société dans ses hôtels particuliers. Seuls les taverniers sont présents dans toute la ville, en haut comme en bas.
De l'évêque aux trois consuls, de la police communale à la justice royale, des processions des corporations aux jeux du Pré de Pâques, de la loge de la recluse à la mayso de las filhetas comunas (le bordel municipal), c'est toute une époque qui revit.
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