Des informations inquiétantes circulent de manière insistante. Des personnes ne supportent plus la proximité d'un appareil émettant des ondes électromagnétiques. Des riverains d'antennes relais de téléphonie mobile énumèrent la longue liste des symptômes qu'ils ressentent (vertiges, insomnies, réactions cutanées...). Certains disent même ne plus pouvoir toucher ou utiliser un téléphone portable sans ressentir d'intenses brûlures dans les doigts ou de terribles maux de tête pendant que d'autres souffrent, par exemple, de la présence du compteur.
A l'opposé du monde scientifique et médical dont le consensus n'exprime aucune inquiétude particulière quant à cette "électrosensibilité" et attribue ces symptômes à des réactions psychosomatiques, quelques représentants de médias ou d'associations s'inquiètent, voire accusent, que ce consensus apparent pourrait dissimuler quelque chose de plus grave. En présentant les différents travaux scientifiques menés sur la question, cet ouvrage se donne comme objectif de permettre à chacune et chacun de se forger un avis éclairé sur l' "électrosensibilité" et ainsi de contribuer à une meilleure compréhension du débat.
Du nombre d'or, qui surgit à la fois dans des édifices antiques et dans des traités d'algèbre, aux propriétés étonnantes de 666, le "nombre de la bête", etc... il semble que les nombres aient quelque chose à nous dire. Mais qu'en est-il vraiment ? Le mystère peut-être réel des nombres justifie-t-il la mystique des nombres fétiches qui sont censés, à l'instar des étoiles, influencer nos vies ? Justifie-t-il la "numérologie", cette discipline qui prétend découvrir et décrire les fondamentaux de notre personnalité et de notre destin par des calculs numériques et entend en particulier interpréter les noms grâce aux nombres ? Ne cherchez plus : les réponses - argumentées - sont dans cet ouvrage.
De nombreux «pouvoirs» ont, depuis des temps très reculés, été attribués à la Lune. Leur domaine d'influence s'étendrait des êtres humains aux végétaux en passant par les animaux.
Réalité ou illusion ?...
On est en droit de se poser la question. En effet, souvent le fruit d'observations superficielles, de croyances personnelles ou de «on-dit», la preuve de leur efficacité est, en réalité, toujours restée très floue. Pour sortir des impressions et des «à-peu-près», la Zététique préconise l'utilisation d'une approche scientifique dans la recherche de la preuve.
C'est cette démarche que le présent ouvrage se propose d'appliquer aux mystérieux «pouvoirs lunaires» en répertoriant et explicitant les nombreux travaux menés sur le sujet.
Cela nous permettra, parallèlement, de constater que, contrairement à une idée très répandue, la «science officielle» ne délaisse pas ces thèmes.
C'est donc au travers des diverses études scientifiques menées dans le monde que ce livre nous fait découvrir la portée réelle des influences lunaires.
Un mystérieux artefact archéologique, un mécanisme aux multiples roues dentées, défie la raison et l'imagination des chercheurs comme du grand public depuis sa découverte en Grèce au début du siècle dernier : la machine d'Anticythère. Les savants de l'Antiquité, il y a plus de deux millénaires, ont-ils créé l'ancêtre des ordinateurs ? Un calculateur astronomique capable de décrire avec une très grande précision les mouvements des astres, et de prévoir les éclipses ? Etait-il un instrument de navigation ? Synthèse des travaux les plus récents, cette première partie de l'ouvrage consacré à L'ordinateur d'Archimède a pour ambition de présenter la machine d'Anticythère au plus grand nombre : grands bricoleurs ou simplement curieux, passionnés par l'histoire, l'archéologie, l'astronomie, l'horlogerie...
Tout en démystifiant le fonctionnement de la machine d'Anticythère, le présent livret analyse les principales exagérations et inexactitudes dont elle fait régulièrement l'objet. Il est suivi de L'Ordinateur d'Archimède 2. Anticythère ou le naufrage d'un mythe, sur la question de la datation du mécanisme.
Le musée national archéologique d'Athènes abrite un objet extraordinaire, un mécanisme d'horlogerie astronomique connu sous le nom de machine d'Anticythère. Le scénario qui prévaut actuellement attribue sa fabrication, il y a plus de deux mille ans, à un mécanicien de génie de la trempe d'Archimède. Depuis sa découverte au tout début du XXe siècle, plusieurs travaux, dont les plus récents ont été publiés dans la revue Nature par une équipe pluridisciplinaire, ont permis de comprendre toute la subtilité de cette réalisation hors du commun.
Mais demeure une énigme : comment expliquer l'"anachronisme" de ce mystérieux objet ? Comment a-t-il été fabriqué ? Devons-nous revoir entièrement nos représentations sur la technologie des Anciens ? Devons-nous proposer des hypothèses plus audacieuses encore ? En procédant à un examen complet des pièces du dossier, sans éluder les questions embarrassantes ni céder au sensationnalisme, cette deuxième partie de l'ouvrage consacré à "l'ordinateur d'Archimède" propose plusieurs pistes qui pourraient aboutir à une explication alternative et féconde.
Et si le scénario présenté habituellement était un mythe ?... Le présent livret est la suite de L'Ordinateur d'Archimède 1. La machine d'Anticythère.
La mémoire de l'eau, la fusion froide, ... chacune et chacun a en tête quelques bavures scientifiques, voire même quelques fraudes manifestes. L'approche choisie dans cet ouvrage est une illustration de l'utilisation de la démarche scientifique par des exemples à ne pas suivre en faisant un tour d'horizon de quelques égarements scientifiques. L'objectif est de prévenir chacun, appartenant à la communauté scientifique ou non, des dangers et des dérives induits par notre vulnérabilité lorsque l'on observe et que l'on essaie de comprendre la Nature.
La conception et la promotion des lampes fluocompactes et des LEDs, que l'on désigne par le terme générique de "lampes basse consommation", est un enjeu majeur pour répondre aux besoins en éclairage des 8 milliards d'êtres humains que comptera la planète en 2025. Mais ces nouvelles lampes traînent mécontentement, incompréhension et inquiétude dans leur sillage : on entend parler de toxicité, d'empoisonnement au mercure, d'ondes et de rayonnement ultra-violet cancérigènes, de lumière bleue phototoxique, de perturbation des rythmes circadiens,...
Certains réclament avec véhémence leur interdiction et le retour aux ampoules à filament, dont ils considèrent le retrait du marché comme une manoeuvre scandaleuse sacrifiant la santé et l'environnement au seul profit de l'industrie... Alors qu'en est-il vraiment ? A-t-on des raisons sérieuses de s'inquiéter ? Doit-on refuser ces nouvelles lampes et exiger un retour aux technologies d'avant ? L'auteur, refusant de laisser la problématique confisquée par des idéologues pour qui les intérêts partisans comptent souvent plus que la vérité, propose dans cet ouvrage d'aborder ces questions avec pragmatisme et d'apporter des réponses argumentées en s'appuyant uniquement sur les données de la science.
Le marché mondial des compléments alimentaires (CA) représente plus de 200 milliards d'euros. USA, Chine et Japon en sont les principaux consommateurs mais les CA sont également plébiscités par les Français qui, en une seule année, en achètent pour plus de 1,5 milliard d'euros. Et, en France, arrivent chaque année sur ce marché... plus de 500 nouveaux produits ! Ces chiffres qui donnent le tournis sont à rapprocher du constat que ces CA sont vendus sans ordonnance et ne sont à aucun moment évalués comme des médicaments.
Sans oublier que, dans le secteur des CA à base de vitamines et minéraux, un nombre important de produits ont été jugés "non conformes" ou même, pour certains, "dangereux". Sans oublier également que de plus en plus de CA sont achetés via Internet sans aucune garantie de sécurité sanitaire et qu'un grand nombre des extraits botaniques ainsi vendus sont frauduleux et contaminés volontairement par des médicaments ! Dans le présent ouvrage, le statut des CA est décrit et sont analysés les types de consommateurs.
Sont ensuite décrites les vitamines autorisées à la vente en Europe et les données scientifiques qui les concernent avec un état de l'art de leurs effets sur la santé quand elles sont ingérées comme compléments alimentaires. Si la lecture peut paraître parfois difficile car les données scientifiques sont présentes, cet ouvrage fait le point précis des connaissances et veut aussi initier les lecteurs à une meilleure compréhension des preuves apportées par la démarche scientifique dans l'approche d'un sujet sur lequel le questionnement est vital...
Les Romains ont laissé un grand nombre d'oeuvres dont la qualité d'exécution révèle sans fard l'intimité du couple et l'omniprésence des emblèmes ithyphalliques. Des fresques aux mosaïques, de Pompéi à Timgad, les spintriennes, Priape et les images coquines illustrent une société qui semble exhorter les plaisirs de la chair et concourent ainsi à dresser le portrait d'une société se répandant dans la débauche.
En conséquence, la censure a souvent détruit ces vestiges ou les a condamnés à l'enfermement dans les "enfers" des musées et la recherche elle-même a été victime de préjugés... Pourtant l'analyse des moeurs, au-delà des clichés qui occultent en fait la réalité du corps social romain, révèle une autre image : celle d'une société qui repose sur des valeurs morales très prudes. Pour comprendre de quoi il retourne, l'auteur brosse le tableau de la réalité du comportement de l'homme et de la morale qui ne peut se soustraire aux obligations juridiques et aux courroux des censeurs.
Après avoir mené une étude scientifique sur l'ensemble des collections archéologiques du monde méditerranéen, Cyril Dumas a ainsi pu mettre en évidence que cette approche particulière autorise une analyse de l'art aboutissant à une nouvelle interprétation des images. Images dans lesquelles, à l'instar d'une photographie, la richesse des détails et l'agencement général célèbrent un réalisme ambigu empreint de mythologie, de sensualité et de grivoiserie qui suggèrent l'humour et l'autodérision des Romains.
L'homéopathie et l'acupuncture représentent les deux médecines alternatives auxquelles les Français font le plus souvent appel. Toutes deux sont enseignées par certaines facultés de médecine et toutes deux sont, en partie, remboursées par l'Assurance maladie. Toutes deux revendiquent également un statut scientifique et se targuent d'avoir été l'objet de nombreuses évaluations ayant montré leur efficacité, c'est-à-dire une action supérieure à celle d'un placebo.
L'acupuncture, vieille de plus de deux millénaires, défie toutes les lois de l'anatomie et de la physiologie de la médecine occidentale. En effet, les éléments auxquels elle fait référence (points, méridiens, circulation énergétique) sont totalement étrangers au corpus de connaissances scientifiques de la médecine actuelle. L'homéopathie, plus récente que l'acupuncture puisque née à la fin du 18e, siècle, défie, elle aussi, les lois de la physique, de la chimie, et de la pharmacologie : un médicament ne contenant plus de molécules actives pourrait avoir un effet ! Les justifications théoriques des divers tenants de ces deux thérapeutiques relèvent plus d'un mode de pensée magique que scientifique mais l'histoire de la médecine montre abondamment que ce ne sont nullement les théories qui constituent le vecteur de l'efficacité thérapeutique : les vertus anti-inflammatoires de l'écorce de saule n'ont-elles pas été découvertes selon l'absurde théorie des signatures de Crollius ? En thérapeutique, seuls comptent les faits, faits qui doivent être les résultats d'essais cliniques bien conduits.
C'est sur de telles recherches que se concentre le présent ouvrage.
Le béret d'Einstein... c'est le chapeau que beaucoup tentent de faire porter au physicien en suggérant que les théories qu'il a développées soutiendraient leurs idéologies. C'est par extension le symbole de toutes les récupérations effectuées au nom de la science. Certains prosélytes se passent en effet difficilement de récupérer les théories et les personnages scientifiques. La cosmologie moderne est largement sollicitée, notamment par des mouvements spiritualistes et religieux de tous horizons.
Sans vainement chercher à briser le rêve, la foi ou les convictions métaphysiques, cet ouvrage s'emploie à dénoncer une récupération habile - souvent relayée sans excès d'esprit critique - de concepts qui relèvent initialement de l'exploration objective du réel.