500 pages, plus de mille photos des stars de cinéma du monde entier, en noir et blanc et en couleur, de 1946, date du premier festival, aux années 2000. Un principe de livre ludique pour doubler le plaisir : deux livres en un, deux couvertures têtebêche. Côté pile : 'Et le festival de Cannes créa la femme.' Des images des plus grandes et célèbres actrices parées de leurs atours pour la montée des marches : Isabelle Adkani, Lauren Bacall, Monica Belluci, Emma de Caunes, Mia Farrow, Judith Godrèche, Grace Kelly, Jeanne Moreau, Romy Schneider, Sigourney Weaver, Sharon stone... Côté face, les hommes en ahbitde soirée, acteurs et réalisateurs mêlés : Jean-Paul Belmondo, Richard Berry, Tony Curtis, Alain Delon, Leonardo Di Caprio, Clint Eastwood, Frederico Fellini, Marcello Mastroianni, Al Pacino, Jean-Louis Trintignant, François Truffaut, Martin Scorsese... Et bien sûr, parmi eux les couples, couples d'un jour ou d'un soir, couples à la ville ou à l'écran. Texte de présentation et commentaires d'Elisabeth Quin. Élisabeth Qui est critique de cinéma et auteur de romans. Elle a animé plusieurs émissions de cinéma sur la chaîne de télévision Paris Première, telles que Courts particuliers, Ça balance à Paris et CinéQuin.
Al Pacino (né en 1940) est un acteur et comédien mondialement reconnu qui a fait ses classes au sein du célèbre Actors Studio, à New York. De ses débuts en toxicomane dans Panique à Needle Park (1971) de Jerry Schatzberg à son dernier film en date Stand Up Guys (2013) de Fisher Stevens, il a joué dans plus de quarante films. C'est en interprétant Michael Corleone dans la trilogie Le Parrain (1972) de Francis F. Coppola qu'il deviendra la figure emblématique que nous connaissons aujourd'hui. Pacino a reçu de nombreuses récompenses pour son travail, dont le prix du meilleur acteur pour son rôle dans Le Temps d'un week-end (1992) de Martin Brest.
Karina Longworth travaille comme critique de films et journaliste à Los Angeles. Auteur d'une monographie consacrée à George Lucas (collection « Maîtres du cinéma »), elle collabore régulièrement à différents magazines et périodiques, notamment LA Weekly, The Village Voice, Vanity Fair, The Guardian et Slate.
Les ouvrages de la collection « Anatomie d'un acteur » étudient de manière exhaustive le parcours des plus grands acteurs mondiaux, à travers une analyse de dix rôles emblématiques. Les auteurs de la collection s'attachent à comprendre pourquoi et comment ces stars du cinéma sont devenues quelques-unes des figures les plus respectées et influentes dans le monde du cinéma. Chaque titre est divisé en 10 chapitres, chacun d'entre eux étant consacré à un rôle spécifique, et illustré de photographies de plateau et de tournage.
Alfred hitchcock était le fils d'un épicier en gros de l'est londonien, et lui-même un bon vivant amateur de bonne chère, ce dont témoignent autant les photographies de ce légendaire metteur en scène que le contenu de ses films.
De ses premières oeuvres anglaises aux grands chefs-d'oeuvre de la période américaine : marnie, les oiseaux, complot de famille, hitchcock n'a cessé de faire référence à la gastronomie. le rituel même des repas est souvent associé à l'action du récit : ainsi le fameux dîner chez la romancière sedbusk dans soupçons, le repas de famille dans jeune et innocent, le pique-nique face à la principauté de monaco dans la main au collet, l'acharnement du policier de frenzy sur une volaille trop cuite.
Les biographes du très gourmand alfred ont relaté avec abondance son appétit pour la cuisine bourgeoise française comme pour les rituels anglais (les soles de douvres, les " pies ", etc. ) puis son assiduité aux bonnes tables de hollywood : chasen's et romanoff notamment. cet ouvrage mêle le récit, par françois rivière, de la vie et de l'oeuvre d'alfred hitchcock du point de vue des nourritures terrestres, et les recettes retrouvées par anne martinetti au fil de scènes mémorables des films, recomposées pour réaliser soi-même les bons petits plats du maître du suspense.
Il est organisé géographiquement de londres à la côte ouest des etats-unis, en passant par new york, avec quelques voyages dans le monde. de gourmandes soirées hitchcock entre amis en perspective !.
Le livre sera introduit par Claude-Jean Philippe qui raconte la genèse du projet : un palmarès des 100 plus grands films de l'histoire du cinéma. Quel cheminement ont suivi ces films depuis leur sortie en salles jusqu'au « panthéon » du 7è art ? Aujourd'hui, grâce aux multiples supports de diffusion, l'amateur de cinéma a toute liberté pour se promener en fonction de ses goûts à travers les périodes, les genres, les réalisateurs, l'histoire des films. Il est bon de pouvoir interroger la mémoire, de se replonger en arrière pour raconter la naissance et la vie de ces films, leur réception, l'évolution de leur interprétation au fil du temps.
Près de cent personnalités du cinéma (critiques, cinéastes, producteurs, directeurs de festivals.) ont désigné ces « 100 plus beaux films du monde ». Citizen Kane d'Orson Welles arrive ainsi en tête de ce classement, devant La Nuit du Chasseur de Charles Laughton et La Règle du jeu de Jean Renoir. Suivent 97 films exceptionnels, de tous âges et de tous genres : de l'Aurore de Murnau à Amarcord de Fellini en passant par Vertigo d'Alfred Hitchcock, Parle avec elle d'Almodovar ou encore Mulholland Drive de Lynch.
Le livre est composé de 100 doubles pages, chacune consacrée à l'un des 100 films avec deux photos en grand format, un texte écrit par l'un des membres du comité de sélection et un générique avec résumé de l'intrigue.
En 1964, Stanley Kubrick annonce à Arthur C.
Clarke son intention de réaliser ce qui doit être " le film de science-fiction par excellence ", et l'invite à en écrire le scénario avec lui. L'association de ce jeune réalisateur et du romancier anglais sera à l'origine de la plus grande aventure artistique et technologique que connaîtra jamais le cinéma de science-fiction : 2001, l'odyssée de l'espace. Fort du succès commercial de ses deux films précédents, Lolita et Docteur Folamour, Kubrick obtient de la MGM une liberté artistique totale et un budget colossal pour l'époque.
Il faut dire que le contexte est favorable à la réhabilitation d'un genre réservé jusqu'alors au public adolescent. L'aéronautique et l'anticipation sont à la mode depuis que John F. Kennedy a lancé son pays dans la course à l'espace, pour répondre aux progrès soviétiques en ce domaine. En 1968, la NASA dépense chaque jour plus de dix millions de dollars, soit l'équivalent du budget final de 2001, odyssée de l'espace.
En 1969, quelques mois après la sortie du film, l'homme marchera sur la Lune. " Je n'ai jamais rien vu de comparable à 2001, et je n'ai jamais compris pourquoi les films de science-fiction, jusqu'alors, manquaient à ce point d'ambition. des cinéastes comme Steven Spielberg ou Ridley Scott ont fait beaucoup pour ranimer le genre. Mais rien n'est à la hauteur de l'audace et de l'originalité de 2001. Il est très rare que les visions du futur que nous propose le cinéma restent crédibles très longtemps.
La plupart des films de science-fiction des années soixante-dix, par exemple, paraissent incroyablement datés. Les prophéties de 2001 semblent toujours tournées vers l'avenir, au moment où nous approchons, précisément, de l'an 2001 ". Piers Bizony. 2001 : le futur selon Kubrick s'appuie sur une masse de documents historiques rares et d'entretiens inédits pour retracer la genèse d'un film extraordinairement complexe, sous la houlette du cinéaste le plus perfectionniste de son temps.
Pour le public le plus large, l'histoire du décor de film se confond avec celle de ses techniques, des toiles peintes des premiers temps aux images numériques d'aujourd'hui.
Quelques films à grand spectacle la jalonnent de metropolis de fritz lang à blade runner de ridley scott en passant par un américain à paris, autant en emporte le vent ou encore la belle et la bête, le guépard, play time. avec cet ouvrage, c'est à une véritable histoire de l'art du décor au cinéma que le lecteur est convié. un parcours chronologique depuis la naissance du cinéma, les années 20, l'apogée des studios d'hollywood jusqu'à la période contemporaine permet d'interroger cet art à travers ses mutations technologiques aussi bien qu'esthétiques, ses échanges avec les autres arts et les débats théoriques qui l'animent.
C'est ainsi la question de l'identité de l'art du décor de cinéma qui est posée. l'art du décor est art du paradoxe : idéalement, son apport doit se fondre dans le résultat final du film. la meilleure preuve de son succès tient dans son invisibilité. l'oeuvre du décorateur est particulièrement interdépendante avec celle du chef opérateur qui éclaire et cadre l'espace qu'il a créé, mais n'en est pas moins forte avec le créateur de costumes, le monteur qui raccorde les espaces pour la bonne marche du récit, et surtout le metteur en scène qui donne la vie à tout ce petit monde de fiction.
Combien avons-nous vu de ces décors si parfaitement réalistes qu'ils nous faisaient oublier qu'il avait fallu les choisir, les aménager, les construire ? l'histoire du cinéma permet néanmoins de dégager la présence de quelques grands décorateurs. les meilleurs d'entre eux ont su forger un style, un ensemble cohérent de créations dont l'originalité se nourrit de la commande tout autant qu'elle l'alimente à son tour.
Ils jouent un rôle essentiel dans la définition esthétique et formelle des films auxquels ils collaborent. on peut ainsi affirmer que de véritables oeuvres d'artistes se sont réalisées dans le cadre de cette création collective qu'est le cinéma. ce magnifique livre illustré combine l'intérêt d'un ouvrage de référence à celui d'un beau livre, merveilleusement illustré de dessins et de photos pour la plupart inédits.
Il est complété d'un dictionnaire des principaux décorateurs de films du monde.
Les entretiens de Michael Wilson avec Martin Scorsese, commencés dès ses premiers films avec Mean Streets en 1974, sont devenus un rituel auquel rien ne déroge. Au fil du temps, l'entretien devient dialogue de plus en plus approfondi, la confiance est palpable dans la densité des échanges
d'idées tant sur les films que sur les projets ou le sens général d'une oeuvre qui s'élabore. Les chapitres restituent la chronologie de ces rencontres et couvrent toute la filmographie de Scorsese, regroupant parfois plusieurs films réalisés dans une période rapprochée. La qualité des propos et le caractère systématique des rendez-vous confèrent à l'ensemble une grande qualité littéraire et le mouvement d'un récit, celui de la création d'une oeuvre par l'artiste lui-même. Ces entretiens sont richement illustrées des photos et archives personnelles du cinéaste. Scorsese nous a ouvert tous ses dossiers avec la plus grande générosité nous laissant choisir tout ce qui dans ses notes, dessins, manuscrits, photos de famille ou de plateau pouvait éclairer ses
conversations avec Michael Wilson. Deux textes synthétiques sur Scorsese par Michael Wilson ouvrent et closent les entretiens. En annexe, un index et une filmographie complètent l'ouvrage.