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Manhoru de Thomas Couderc rassemble une collection de photographies de plaques d'égouts japonaises. Capturées par l'auteur lors de voyages au Japon, où glanées plus tard sur internet, ce corpus inédit invite à découvrir ou redécouvrir un art subtil et souvent ignoré. Ce livre inédit rassemble sur près de 130 pages une centaine de plaques aux styles et aux sujets variés. Mis en commun pour la première fois dans un même recueil, ces objets banals du quotidien révèlent à eux-seuls l'univers graphique exceptionnel de l'archipel nippon.
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Dans ce second livre aux Éditions FP&CF, la photographe suisse Mathilda Olmi concilie engagement militant et travail plastique. Féministe engagée, investie depuis plusieurs années dans des luttes sociales, la photographe a proposé à des personnes de son entourage de se confier sur le rapport qu'elles entretiennent à leur propre corps. Bien au-delà des clichés dominants véhiculés par la presse spécialisée ou les marques de cosmétiques, les modèles, exclusivement féminins, posent nues, sans fard, avec leur cicatrice, leur vécu et donnent à voir une approche plus universelle des corps féminins.
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Le livre rassemble un ensemble de collages fait à la main avec des papiers découpés, des chutes éparpillées et glanées ici et là, des gommettes de couleurs, du scotch et d'autres matériaux du quotidien qui font la richesse du savoir-faire de ce duo.
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« Musique pour les yeux » regroupe un ensemble de dessins à la gouache qui peuvent être lus comme des partitions musicales. Jouant d'un rapport synesthétique entre sons, couleurs, compositions visuelles, Johann Bertrand D'Hy plonge dans un langage inconnu pour y inventer de nouveaux codes. Comme dans la plupart de ces projets, une logique prend forme et aboutie à un ensemble quasi-narratif. Le livre se compose de plusieurs ensemble, composant une sorte de symphonie, mêlant partitions et reproduction d'instruments façonnés par l'artiste en céramique.
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Après « Le monde existe même quand je dors », ce second opus monographique présente, sur près de 300 pages, les illustrations produites par Hector de la Vallée ces dernières années pour la presse et divers revues.
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Alexis Jamet aime peindre des fleurs et des bouquets. Ce livre rassemble une production inédite de ces compositions florales, accompagnée des textes de Matias Enaut spécialement composés pour ce projet.
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Fascinus est le fruit de la collaboration entre deux artistes, la photographe Anaïs Bigard-Bachmann et la réalisatrice Ombline Ley. En re-photographiant des scènes extraites de revues pornos, les deux artistes recrée un support et de nouveaux dialogues graphiques, créant l'illusion d'une histoire où se mêlent tension sexuelles et scènes humoristiques et contemplatives.
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Alain Roux, photographe français établi en Allemagne, témoigne dans « Birkenhof » de cet attachement sentimental aux choses : en 2013, il quitte Berlin avec sa famille pour s'installer dans la maison familiale de sa femme, à Birkenhof, un hameau situé à une heure de train de Munich.
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«Marginalia» présente, sous la forme d'une monographie raisonnée, le travail de l'artiste plasticien Clément Laigle. Fruit d'une étroite collaboration avec le graphiste Guillaume Grall, Marginalia permet au lecteur d'appréhender avec finesse tout l'univers de Clément Laigle. L'impression en tons pantones directs, sur des papiers colorés et l'utilisation de papiers couchés donne à l'ensemble un caractère très graphique.
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«A bird in the hand» est le premier livre de la photographe suisse Mathilda Olmi. Face à la densité et au chaos de New York, Mathilda Olmi se focalise sur des détails ordinaires et des scènes de vie de quartier. « A bird in the hand » [is worth two in the bush], littéralement, « un oiseau dans la main en vaut deux dans le buisson », évoque cette idée de l'instant présent, celui qu'il faut cueillir précieusement.
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«Uncertain Life and Sure Death» est un recueil d'images sans récit, placées de façons successives, sans textes ni paroles. Un travail qui n'a ni lieu ni date, il appartient au moment capturé par son auteur. La disposition graphique des images fait place au blanc. L'ensemble du corpus se lit au choix image par image, ou en séquence, la maquette isole ou révèle, le regard scrute l'image, cherche le détail tant la première impression ne dit pas tout. Le lecteur est libre, il prend ce qu'il veut et compose sa propre fiction.
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