Le Crime de l'Orient-Express Par le plus grand des hasards, Hercule Poirot se trouve dans le wagon de l'Orient-Express - ce train de luxe qui traverse l'Europe - où un crime féroce a été commis. Une des plus difficiles et des plus délicates enquêtes commence pour le fameux détective belge. Autour de ce cadavre, trop de suspects, trop d'alibis. Privé de tous les moyens d'investigation habituels, ne pouvant contrôler les déclarations des voyageurs, Hercule Poirot ne devra compter que sur son intelligence et son flair.
Le Crime de l'Orient-Express est l'un des plus célèbres romans d'Agatha Christie.
Abbé Prévost Manon Lescaut « L'abbé Prévost ne peut se comparer qu'à Pétrone. Son atmosphère est celle du Satiricon, réserve faite de l'admirable chaleur d'amour que Manon dégage comme une rose grande ouverte dans un corsage entrouvert. Mais quel cortège aux flambeaux de joueurs, de tricheurs, de buveurs, de débauchés, de descentes de police ! C'est ce parfum crapuleux de poudre à la maréchale [...] qui donne à Manon la force de vivre à travers les siècles et de ne se point confondre avec d'autres figures dont les mouches et le sourire ne suffisent pas.
« La grandeur de Manon, [...] ce qui en fait un chef-d'oeuvre tout court, c'est la rafale parisienne qui roule cette étonnante histoire d'un parloir de séminaire jusqu'à la tombe que des Grieux creuse de ses propres mains. C'est l'amour qui ne se mélange pas à la crapule et couvre les personnages de cet enduit des plumes de cygne, enduit grâce auquel le cygne barbote dans l'eau sale sans s'y salir... » Jean Cocteau.
Introduction et notes de Catherine Langle.
Préface de Jean Cocteau.
Molière Le Malade imaginaire «Argan. C'est un bon impertinent que votre Molière avec ses comédies, et je le trouve bien plaisant d'aller jouer d'honnêtes gens comme les médecins.
Béralde. Ce ne sont point les médecins qu'il joue, mais le ridicule de la médecine.» Le ridicule de la médecine ? Sans doute, mais aussi bien celui d'Argan, ce bourgeois plein de santé que la solitude et la mort épouvantent, Argan dont la folie est de se croire malade et qui plie sa famille à la tyrannie de sa folie. On aurait cependant tort de croire que Molière pousse au noir son portrait. Comédie-ballet dont les intermèdes furent dansés sur une musique de Charpentier, toute la pièce est bien un spectacle pour rêver et pour rire, le divertissement même dont le prétendu malade a besoin - et la dernière oeuvre de Molière.
«N'y a-t-il point quelque danger à contrefaire le mort ?», demande Argan à l'acte III. A la quatrième représentation, le 17 février 1673, le dramaturge qui venait de jouer son rôle sortait de scène et mourait.
Edition d'Alain Lanavère.
Édition enrichie (Préface, notes, dossier sur l'oeuvre, chronologie et bibliographie)Emilie souhaite se venger de l'empereur Auguste qui a proscrit son père avant d'accéder au pouvoir : elle demande à Cinna, son amant, de l'assassiner, faute de quoi elle ne l'épousera pas. Mais Auguste, las du pouvoir, interroge Cinna et son ami Maxime : doit-il abdiquer ? Républicain, Maxime le pousse à quitter le pouvoir et Cinna à le conserver. En signe de reconnaissance, Auguste propose à Cinna de l'associer à l'Empire. Cette générosité le rend honteux de son ingratitude : doit-il assassiner son bienfaiteur ou rompre le serment qu'il vient de faire à Emilie ?
Lorsque en 1642 il fait jouer Cinna au Théâtre du Marais et fait de la magnanimité la clef de sa tragédie, Corneille offre au public une pièce exemplaire où le coup de théâtre final est aussi un coup de maître. La clémence d'Auguste force l'admiration mais elle est lentement conquise. Et devant cette tragédie politique, le spectateur n'oublie pas la virtuosité avec laquelle Corneille l'incite à réfléchir aux passions qui conduisent au dénouement et à l'exercice d'un pouvoir qui a finalement surmonté sa fragilité.
Edition de Christian Biet.
morvan, un ancien flic de la cellule antiterroriste de l'élysée, est recruté
pour assurer la protection rapprochée
du prince héritier d'un émirat du golfe. dans le même temps, une jeune fille l'engage pour enquêter discrètement
sur la disparition de sa soeur,
une adolescente fascinée par jehan,
la trop belle actrice égyptienne qui fait battre tous les coeurs du monde arabe. très vite, morvan découvre l'implication d'un prince saoudien et l'existence
d'une clinique clandestine surnommée
« le paradis des perdantes»...
à travers cette enquête se dévoile
l'envers du décor doré des émirats
du golfe : intrigues des services secrets, corruption des gouvernants aux liens particulièrement troubles
avec les réseaux d'al-qaïda.
la clé du paradis des perdantes semble ouvrir grandes les portes de l'enfer...
Peut-on se passer de religion ? Dieu existe-t-il ? Les athées sont-ils condamnés à vivre sans spiritualité ?
Autant de questions décisives en plein « choc des civilisations » et « retour du religieux ». André Comte-Sponville y répond avec la clarté et l'allégresse d'un grand philosophe mais aussi d'un « honnête homme », loin des ressentiments et des haines cristallisés par certains. Pour lui, la spiritualité est trop fondamentale pour qu'on l'abandonne aux intégristes de tous bords. De même que la laïcité est trop précieuse pour être confisquée par les antireligieux les plus frénétiques. Aussi est-il urgent de retrouver une spiritualité sans Dieu, sans dogmes, sans Église, qui nous prémunisse autant du fanatisme que du nihilisme.
André Comte-Sponville pense que le xxie siècle sera spirituel et laïque ou ne sera pas. Il nous explique comment. Passionnant.
Sur une route déserte de l'Oregon noyée par la pluie, une voiture abandonnée, moteur en marche, un sac de femme sur le siège du conducteur. Rainie, une avocate séparée de son mari, Pierce Quincy, ex-profiler, a disparu. Dérive d'une femme au passé d'alcoolique ou conséquence d'une des redoutables affaires dans lesquelles elle s'investissait parfois dangereusement ? Un homme sait ce qui s'est passé cette nuit-là. Et lorsqu'il contacte les médias, le message est clair, terrifiant : il veut de l'argent, la célébrité. Sinon, personne ne reverra Rainie. Aidé de sa fille, agent du FBI, Pierce se lance dans l'enquête la plus désespérée de sa vie, sur la piste d'un criminel sans visage et de la femme qu'il n'a jamais cessé d'aimer.
La collection Lettres gothiques offre au public le plus large un accès direct, aisé et sûr, à la littérature du Moyen Âge. Un accès direct en mettant sous les yeux du lecteur le texte original ; un accès aisé grâce à la traduction en français moderne proposée en regard, à l'introduction et à des notes nombreuses ; un accès sûr grâce au soin dont font l'objet la présentation du texte et son commentaire. La collection Lettres gothiques propose ainsi un panorama représentatif de l'ensemble de la littérature médiévale.
La Consolation de Philosophie de Boèce est un des textes fondateurs de la civilisation occidentale et, pour le Moyen Âge, un modèle littéraire, poétique, philosophique, moral et spirituel dont on ne dira jamais assez l'importance. Conseiller du roi Théodoric, Boèce est arrêté en 524, torturé, et c'est dans la prison où il attend son exécution qu'il compose cette oeuvre d'une profondeur et d'une beauté stupéfiantes. Il n'est guère de question philosophique qu'il n'aborde, en se fondant sur son immense culture, nourrie de la pensée grecque, et à laquelle il n'apporte de réponse originale et vigoureuse. Quant à la trame littéraire de l'ouvrage, à sa composition, à ses figures, à ses images, elles n'ont cessé d'être imitées dans les siècles ultérieurs et d'inspirer les poètes.
Le capitalisme est-il moral ? Nul ne peut se soustraire à la question puisque aucun d'entre nous n'échappe ni à la morale ni au capitalisme.
Par son travail, son épargne et sa consommation, chacun participe à un système économique que les uns justifient et que d'autres condamnent au nom de concepts éthiques. Deux démarches intellectuelles que le philosophe André Comte-Sponville passe au crible de l'analyse lucide.
Une grille de lecture étonnamment claire, qui débouche sur un appel à la responsabilité.
Au cours de sa vie entièrement dédiée aux plus pauvres d'entre les pauvres, mère teresa est devenue une icône de la compassion aux yeux de gens de toute religion ; son dévouement extraordinaire auprès des malades, des mourants et de milliers d'autres laissés-pour-compte a été reconnu et acclamé dans le monde entier. on connaît moins les sommets de sa spiritualité et ses combats intérieurs. Ce recueil d'écrits et de pensées, pour la plupart inédits, apporte un nouvel éclairage sur sa vie intime. rassemblées et présentées par le père Brian kolodiejchuk, qui a côtoyé mère teresa pendant vingt ans, ces lettres furent adressées à ses différents directeurs de conscience au fil de plusieurs décennies.Si jamais je deviens sainte - je serai certainement une sainte des « ténèbres ». Je serai continuellement absente du Ciel - pour allumer la lumière de ceux qui sont dans les ténèbres sur terre. Mère Teresa de Calcutta.
Goûter d'anniversaire chez les Frawley: on fête les trois ans des jumelles, Kelly et Kathy. Mais, le soir même, de retour d'un dîner, les parents sont accueillis par la police : les petites ont été kidnappées.
Après avoir rassemblé les huit millions de dollars de la rançon, Steve et Margaret entrent en contact avec le ravisseur.
Le jour de l'échange, cependant, seule Kelly est là. Qu'est-il advenu de Kathy ?
Alors que tout espoir semble perdu, Kelly affirme que sa soeur est bien vivante, comme si les enfants communiquaient par télépathie...
Jamais, depuis Un cri dans la nuit, Mary Higgins Clark n'avait plongé le lecteur dans un tel cauchemar : celui des rapts d'enfants.
Entre 1942 et novembre 1944, l'Allemagne nazie assassine dans les chambres à gaz d'Auschwitz-Birkenau plus d'un million de personnes, des juifs européens dans leur immense majorité. Un Sonderkommando (unité spéciale), constitué de détenu juifs qui se relaient jour et nuit, est contraint d'extraire les cadavres des chambres à gaz, de les brûler dans les crématoires et de disperser les cendres.
Quelques hommes ont transcrit ces ténèbres et ont enfoui leurs manuscrits dans le sol de Birkenau. Cinq de ces textes ont été retrouvés après la guerre. Aucun de leurs auteurs n'a survécu, les équipes étant liquidées et remplacées à intervalles réguliers. Ce sont trois de ces manuscrits, dans une nouvelle traduction du yiddish pour partie inédite en français, qui sont présentés ici.
S'y ajoutent les dépositions, lors du procès de Cracovie en 1946, de trois rescapés des Sonderkommandos - témoignages qui confirment, entre autres, l'intensité du massacre des juifs de Hongrie au printemps 1944 - les documents d'histoire, les photos de déportations, les archives allemandes.
Depuis des années, Jacqueline de Romilly essaie de nous faire partager son amour de la langue française. Ce qu'elle veut, c'est nous en donner le goût, en insistant sur les beautés de cette langue plutôt que sur les dangers qui la menacent. À partir d'un mot qu'elle a choisi, elle cherche à en préciser le sens, l'étymologie, ainsi que l'évolution qui, en fonction des changements de la société, des découvertes scientifiques ou des réflexions des écrivains, a chargé ce mot de nuances nouvelles. Réunies ici pour la première fois en un volume, ces promenades dans le jardin des mots nous permettent de contempler, en compagnie du meilleur guide que l'on puisse avoir, l'un des plus beaux paysages du monde, la langue française.
Abandonnée par sa mère à la naissance, Lucy a néanmoins vécu une enfance heureuse au sein d'une famille d'adoption aimante. Aujourd'hui, elle mène une existence sans histoire entre son mari et leurs deux enfants. Mais le jour où l'équipe de Devine qui est là ? frappe à sa porte, son destin bascule.
C'est pour une émission de télé-réalité qui se propose de réunir ceux que la vie a séparés. Comprenant que quelqu'un cherche à la retrouver, Lucy n'a aucun doute : il s'agit de sa mère biologique. Elle a quinze jours pour se préparer à cette rencontre. Quinze jours d'excitation, d'angoisse et d'appréhension. Mais au fil du temps, la jeune femme n'est plus sûre de rien... Et s'il s'agissait de quelqu'un d'autre ? La rencontre aura bien lieu, surprenante, inattendue, qui fera éclater un bouleversant secret, conduisant Lucy aux confins de l'enfer, là où le rêve devient cauchemar.
C'est un vendredi13, en 1972, que le Fairchild F-227 qui transportait une équipe de rugbymen uruguayens s'écrasait dans les Andes. Cet accident allait donner naissance à une légende.
Soixante-douze jours durant, les survivants de ce crash vécurent sur un glacier à 3500 mètres d'altitude, au milieu des cadavres et des débris de la carlingue.
Seuls au monde, ils luttèrent contre le froid et le désespoir - n'ayant bientôt d'autre choix que de manger la chair de leurs compagnons morts.
De cet épisode - dont le journaliste Piers Paul Read tira un ouvrage qui émut le monde entier - il nous manquait, à ce jour, le récit d'un survivant.
Et c'est ce récit que Nando Parrado, après s'y être refusé pendant plus de trente ans, vient d'écrire.
Une extraordinaire leçon de courage.
En 1891, des jeunes filles disparaissent mystérieu-sement. Mais lorsqu'un siècle plus tard, on découvre leurs squelettes ainsi que les cadavres de mortes plus récentes, la petite ville de Spring Lake, vieille station balnéaire chic de la côte atlantique, est tétanisée. Chacun semble avoir quelque chose à cacher. Le docteur, l'agent immobilier, le restaurateur... tous paraissent suspects. Mais sont-ils pour autant coupables ?
Dans cette atmosphère d'angoisse grandissante, Emily Graham, une jeune avocate new-yorkaise, s'installe dans la maison de famille où, jadis, vécut Madeline, son ancêtre assassinée. Un homme observe ses faits et gestes. S'agit-il d'un tueur ? De mystérieux liens semblent le rattacher à toutes ces victimes du passé. Emily sera-t-elle sa prochaine cible ?
Elle s'était juré de ne jamais revoir la maison où sa mère était morte, où elle l'avait tuée. Bien sûr, elle n'était qu'une enfant, c'était un accident, mais pour beaucoup Liza Barton était une criminelle.
Les années ont passé. Liza, devenue Celia, connaît enfin le bonheur. Jusqu'au jour où Alex, son mari, à qui elle n'a jamais rien dit, lui fait une surprise en lui offrant une maison dans le New Jersey... Mendham, la maison de son enfance. En guise de bienvenue, ils trouvent cette inscription, en lettres rouge sang : « Danger ! » Quelqu'un connaît la véritable identité de Celia et tente de lui faire endosser un nouveau crime.
Un suspense à la mécanique implacable dont Mary Higgins Clark a le secret.
Kay Lansing, paysagiste, est mariée à Peter Carrington, héritier d'une riche famille. Kay était la fille du jardinier de la propriété des Carrington où elle a grandi. Une ombre plane sur le précédent mariage de Peter et la mort suspecte de sa première femme. Kay aurait-elle épousé un assassin ? Pourquoi une certaine mélodie, qu'elle ne parvient pas à restituer exactement, ne cesse de trotter dans sa tête, obsédante et menaçante ?
Marseille, janvier 1903. Un cadavre sans tête et sans mains gît rue Bleue, au coeur du quartier de La Belle de Mai. Quelques jours plus tard, un second cadavre est abandonné au pied du même réverbère ! Raoul Signoret, à la recherche d'informations pour la rubrique judiciaire du Petit Provençal, se lance à corps perdu dans l'enquête, avec l'aide de son oncle Eugène, chef de la police. À La Belle de Mai, il retrouve avec émotion son ancien instituteur, Félix Garbiers, qui entretient une relation étrange avec la belle Gilda Del Vesco. Mais l'enquête piétine, et l'assassin continue son sinistre jeu de piste : un troisième cadavre est découvert. Alors que la panique s'empare du quartier, la belle Gilda disparaît...
Marseille, avril 1906. Dans le parc d'un domaine, La Mitidja, on découvre un cadavre... vieux de dix ans ! Quelques jours plus tard, un employé meurt brutalement, après avoir reçu des lettres de menaces. Honoré Castellain, le propriétaire, est soupçonné mais aussitôt relâché. En quête d'informations pour la rubrique judiciaire du Petit Provençal, Raoul Signoret se passionne pour l'affaire, aidé de son oncle Eugène Baruteau, chef de la police. Il retrouve avec émotion son camarade d'école, Édouard Castellain, le fils d'Honoré.
Mis à pied pour avoir refusé de chanter les louanges de la politique coloniale, Raoul peut se consacrer à l'enquête... Celle-ci l'entraînera, avec sa femme, la pétillante Cécile, d'Alger la Blanche à des séances de spiritisme : un cerbère meurtrier et un fantôme inquiétant sont au rendez-vous...
Mary Higgins Clark La nuit est mon royaume Soirée de gala et de retrouvailles à Cornwall, dans le comté de New York : les anciens élèves de la Stonecroft Academy fêtent le vingtième anniversaire de la création de leur club. Parmi les invités d'honneur, l'éminente historienne Jean Sheridan, qui retrouve sa ville natale.
Mais le sourire de Jean ne parvient pas à cacher sa tension : elle vient de recevoir des menaces à l'encontre de sa fille. Et lorsqu'elle apprend qu'une des anciennes étudiantes de Stonecroft vient d'être retrouvée noyée dans sa piscine c'est la cinquième élève à succomber à un décès brutal et mystérieux , sa peur redouble. D'autant que, autour du buffet, les langues se délient et le passé refait surface. Le spectre d'une jeune femme assassinée des années auparavant dans d'étranges circonstances rôde. Et si l'assassin était parmi les invités oe Mary Higgins Clark défie la logique d'un tueur en série. Et nous fait frémir, plus que jamais.
Marseille, été 1906. Panique dans l'anse de Maldormé, quartier de Malmousque : le notaire, théophile deshôtels, vient d'être retrouvé pendu à l'espagnolette de sa chambre. suicide ou crime ? des bruits couraient sur la vie dissolue du tabellion. et sa bonne, Mariette, a disparu. raoul signoret, à la recherche d'informations pour Le Petit Provençal, se lance dans l'enquête avec l'aide de son oncle eugène Baruteau, chef de la police, et de Placide Boucard, un ancien reporter sportif. tout semble accuser la gouvernante liselotte ullman qui, en ces temps revanchards, à la malchance d'être allemande. un comité « antiBochesse » réclame la tête de la coupable désignée. liselotte est condamnée par la cour d'assises à vingt ans de réclusion. seul raoul flaire une machination... un nouveau mystère de Marseille, particulièrement captivant.
Dans leur précédent ouvrage, Toute l'histoire du monde, J.-C. Barreau et G. Bigot brossaient avec brio un tableau précis et stimulant de l'histoire humaine. Il était donc tout naturel qu'ils s'attaquent ensuite à la géographie, cette discipline mal-aimée des petits et des grands... qu'ils se sont juré de nous faire redécouvrir. Véritable visite guidée de notre planète Terre, dont il détaille les divers aspects - continents, océans, montagnes - et dont il décrit chaque pays, selon un ordre extrêmement original, mêlant habilement géographies physique et humaine, climatologie, géologie et histoire, ce livre revisite le monde de façon non conventionnelle, n'hésitant pas à nous donner à lire des cartes à l'envers, à risquer des rapprochements audacieux (Suisse et Népal) ou à créer des concepts comme celui de « tricontinent » ou de « Finistère européen » ! Un voyage pédagogique à la portée de tous.
«J'atteins l'âge où proposer une utopie est un devoir ; l'âge où les époques à venir semblent toutes également éloignées : qu'elles appartiennent à des siècles lointains ou à de prochaines décennies, elles sont toutes tapies dans un domaine temporel que je ne parcourrai pas. » À une époque où tout le monde ne parle que de « réalisme » pour en fait imposer la dictature de l'argent, Albert Jacquard prend ici du recul. Recul par rapport à sa propre trajectoire dont il retrace le fil ; recul par rapport à l'actualité et ses contraintes en imaginant ce que pourrait être une «Cité où tout serait école », où le travail aliénant serait réduit au minimum, où personne ne se soucierait du déficit de la Sécurité sociale parce que les soins seraient considérés comme un droit imprescriptible...
Utopie que tout cela ? Ce n'est pas si sûr...