« Les gens aiment lire des histoires de mort et ils aiment aussi en écrire.Je suis bien placé pour le savoir. »Michael Anderson, journaliste de son métier, découvre avec effarement, mais également attrait, qu'il possède le pouvoir de tuer des gens en rédigeant simplement leurs notices nécrologiques... Et s'il faisait usage de ce pouvoir hors du commun pour débarrasser le monde des pires individus ?
1959. Après le suicide d'Alistair Cawdor, officier sur une île reculée de Papouasie, alors australienne, cinq témoins sont interrogés par l'administration coloniale. Un vieux planteur blanc, sa domestique indigène, un élève officier de patrouille, un interprète et un jeune chef papous. Chacun a un point de vue sur le déroulement des événements et, peu à peu, le passé mystérieux de l'officier se révèle. Mais qu'en est-il des autres visiteurs, à l'instar des passagers de cette mystérieuse machine-étoile, engin volant non identifié apparu dans le ciel ?
Ce roman brillant, à la construction narrative audacieuse, est d'une modernité absolue. Il parle des tourments humains, aussi bien à l'échelle individuelle que collective, avec une force et une intelligence vertigineuses, et les descriptions de l'environnement naturel ne sont pas en reste. Loin d'être un simple décor, il participe à la narration, il est un coeur palpitant, tant et si bien que le lecteur plonge irrésistiblement dans une transe fiévreuse. Un choc.
Encore méconnu en France, Randolph Stow est un géant de la littérature australienne.
Imaginez que vous puissiez remonter le temps, changer le cours de l'Histoire. Le 22 novembre 1963, le président Kennedy était assassiné à Dallas. À moins que... Jake Epping, professeur d'anglais à Lisbon Falls, n'a pu refuser la requête d'un ami mourant : empêcher l'assassinat de Kennedy. Une fissure dans le temps va l'entraîner dans un fascinant voyage dans le passé, en 1958, l'époque d'Elvis et de JFK, des Plymouth Fury et des Everly Brothers, d'un dégénéré solitaire nommé Lee Harvey Oswald et d'une jolie bibliothécaire qui deviendra le grand amour de Jake. Avec une extraordinaire énergie créatrice, Stephen King revisite au travers d'un suspense vertigineux l'Amérique du baby-boom, des « happy days » et du rock'n'roll.L'oeuvre d'un génie ! Time Magazine.Un véritable magicien du roman... Une des plus formidables histoires de voyage dans le temps depuis H.G. Wells. New York Times.Colossal, généreux, passionnant... La quintessence du talent de King. Miami Herald.Un fabuleux cas d'exorcisme littéraire. Emily Barnett, Les Inrockuptibles. King passe de l'enquête - remarquablement documentée - sur l'attentat de Dallas à un poignant roman d'amour, d'une jubilatoire célébration de glorieuses sixties aux sombres vertiges d'une hallucinante uchronie. Scotchant. Philippe Blanchet, Le Figaro magazine.
Danny Torrance, le petit garçon, qui, dans Shining, sortait indemne de l'incendie de l'Overlook Palace, est devenu un adulte. Alcoolique et paumé comme l'était son père, il est maintenant aide-soignant dans un hospice où, grâce aux pouvoirs surnaturels qu'il n'a pas perdus, il apaise la souffrance des mourants. On le surnomme Docteur Sleep. Lorsqu'il rencontre Abra, une fillette de 12 ans pourchassée par un étrange groupe de voyageurs, Danny va retomber dans l'horreur. Commence alors une guerre épique entre le bien et le mal...Point de normalité chez King, juste un voile d'apparences jeté sur la réalité du monde et un sillon, approfondi de livre en livre. Clémentine Goldszal, Les Inrockuptibles.King prouve encore une fois qu'il est un conteur diabolique, capable de nous éblouir avec de la poudre de perlimpinpin comme de nous faire toucher la réalité la plus poisseuse. Cécile Mury, Télérama.
Midwest, 2009. Dans l'aube glacée, des centaines de chômeurs en quête d'un job font la queue devant un salon de l'emploi. Soudain, une Mercedes fonce sur la foule, laissant huit morts et quinze blessés dans son sillage. Le chauffard, lui, a disparu dans la brume, sans laisser de traces. Un an plus tard, Bill Hodges, flic à la retraite qui n'a pas su résoudre l'affaire, reste obsédé par ce massacre. Une lettre du « tueur à la Mercedes » va le sortir de la dépression et de l'ennui qui le guettent.
Délaissant le fantastique pour le polar dans lequel il se glisse avec une jubilation contagieuse, Stephen King démontre une fois de plus son talent de conteur, et son inspecteur Bill Hodges rejoint les figures emblématiques du roman noir américain.
King assure savamment l'addiction du lecteur, horrifié et fasciné par le danger qui enfle. Cécile Mury, Télérama.
Un thriller qui peut rivaliser avec ceux des meilleurs auteurs du genre. Bruno Corty, Le Figaro.
La voiture était garée à peu de distance de la rampe d'accès, sous le ciel nuageux d'avril. Les barils qu'elle avait renversés s'était immobilisés. La portière restait grande ouverte comme une invitation.
Pete Simmons, dix ans, décide de partir explorer l'aire de repos désaffectée du mile 81 quand son frère, chargé de le surveiller, part jouer avec des copains. Sur place, rien de bien intéressant pour un garçon de son âge, à l'exception de quelques vieux magazines et de cette étrange voiture garée-là...
À partir de 13 ansMile 81 est une nouvelle extraite du recueil Le Bazar des mauvais rêves, publié en 2016.
Dans la chambre 217 de l'hôpital Kiner Memorial, Brady Hartsfield, alias Mr Mercedes, gît dans un état végétatif depuis sept ans, soumis aux expérimentations du docteur Babineau.
Mais derrière son rictus douloureux et son regard fixe, Brady est bien vivant. Et capable de commettre un nouveau carnage sans même quitter son lit. Sa première pensée est pour Bill Hodges, son plus vieil ennemi...
« Après Mr Mercedes et Carnets noirs, les fans de Stephen King trouveront dans ce mélange de suspense et d'horreur la conclusion parfaite à la trilogie de l'inspecteur Hodges. » Publishers Weekly
La foudre est-elle plus puissante que Dieu ?Il a suffi de quelques jours au charismatique Révérend Charles Jacobs pour ensorceler les habitants de Harlow dans le Maine. Et plus que tout autre, le petit Jamie. Car l'homme et l'enfant ont une passion commune : l'électricité.Trente ans plus tard, Jamie, guitariste de rock rongé par l'alcool et la drogue, est devenu une épave. Jusqu'à ce qu'il croise à nouveau le chemin de Jacobs et découvre que le mot « Revival » a plus d'un sens... Et qu'il y a bien des façons de renaitre !Addiction, fanatisme, religion, expérimentations scientifiques... un roman électrique sur ce qui se cache de l'autre côté du miroir. Hommage à Edgar Allan Poe, Nathaniel Hawthorne et Lovecraft, un King d'anthologie. « On est littéralement sonné par la fin, une des meilleures de King. » Publishers Weekly
Les clowns vous ont toujours fait peur ?
L'atmosphère des fêtes foraines vous angoisse ?
Alors, un petit conseil : ne vous aventurez pas sur une grande roue un soir d'orage...Mêlant suspense, terreur, nostalgie, émotion, un superbe King dans la lignée de Stand by me.
Lorsqu'en 1914, Ashley Crowther revient en Australie pour s'occuper de la propriété héritée de son père, il découvre un paysage merveilleux peuplé de bécasses, d'ibis et de martins-chasseurs. Il y fait également la connaissance de Jim Saddler, la vingtaine comme lui, passionné par la faune sauvage de l'estuaire et des marais. Au-delà de leurs différences personnelles et sociales, les deux jeunes hommes partagent un rêve : créer un sanctuaire destiné aux oiseaux migrateurs.
Loin de là, l'Europe plonge dans un conflit d'une violence inouïe qui n'épargnera ni Jim ni Ashley, envoyés sur le front français. Seul témoin de la parenthèse heureuse qui les a réunis, Imogen, une photographe anglaise amoureuse comme eux des oiseaux. Saura-t-elle préserver le souvenir des moments exceptionnels qu'ils ont connus ?
Dans sa première traduction en français, ce roman publié il y a près de quarante ans s'impose avec le temps comme un chef-d'oeuvre empreint de poésie et de lumière.
1922 : un fermier du Nebraska confesse qu'il a assassiné son épouse, avec l'aide de son fi ls de 14 ans. Grand chauffeur : une femme écrivain, violée et laissée pour morte au bord d'une route, décide de se venger elle-même. Extension claire : un cancéreux en phase terminale passe un pacte avec un vendeur diabolique, afi n d'obtenir un supplément de vie. Bon ménage : une femme découvre qu'elle vit depuis vingt ans avec un serial killer.Quatre nouvelles puissantes et dérangeantes, quatre personnages confrontés à des situations extrêmes qui vont les faire basculer du côté obscur, plus une nouvelle inédite vraiment inquiétante...Vous qui entrez ici, perdez tout espoir. Cécile Mury, Télérama....derrière le sale gosse surdoué qui livre ses cauchemars et s'amuse à nous foutre la frousse se planque un écrivain adulte, qui reprend le dessus, hanté par notre « part sombre »... Gaël Golhen, Technikart.
Dana, jeune femme noire d'aujourd'hui, se retrouve propulsée au temps de l'esclavage dans une plantation du Sud et y rencontre ses ancêtres...
UN ROMAN D'AVENTURE QUI EXPLORE LES IMPACTS DU RACISME, DU SEXISME ET DE LA SUPRÉMATIE BLANCHE.
Pendant vingt-cinq ans, Lisey a partagé les secrets et les angoisses de son mari. Romancier célèbre, Scott Landon était un homme extrêmement complexe et tourmenté. Il avait tenté de lui ouvrir la porte du lieu, à la fois terrifiant et salvateur, où il puisait son inspiration. À la mort de Scott, désemparée, Lisey s'immerge dans les papiers qu'il a laissés, s'enfonçant toujours plus loin dans les ténèbres... Histoire de Lisey est le roman le plus personnel et le plus puissant de Stephen King. Une histoire troublante, obsessionnelle, mais aussi une réflexion fascinante sur les sources de la création, la tentation de la folie et le langage secret de l'amour. Un chef-d'oeuvre.
Georgie Jutland est une femme chancelante. À quarante ans, sa carrière d'infirmière en miettes, elle vit isolée à White Point aux côtés de Jim, un pêcheur de langoustes. Elle passe ses nuits à naviguer sur Internet en buvant de la vodka. Un matin, elle aperçoit une ombre sur la plage en contrebas : Luther Fox vient d'entrer dans sa vie. Braconnier des mers, timide et musicien, il est précédé d'une réputation de malheur et de malchance. Leur rencontre improbable, contrariée par la colère des langoustiers, se transforme en odyssée et leur amour fou en road-movie initiatique.
Ce texte, inédit en français, pourrait servir de guide et d'appui pour tous ceux qui, en ces temps de découragement de la pensée, s'apprêtent à entreprendre l'étude de la philosophie. Car c'est bien une question de fond qui intéresse Florenski : celle des stratégies que l'homme a mises au point au cours de son histoire pour "s'expliquer à lui-même" la réalité. Cette recherche est menée en toute connaissance de cause : Florenski est un penseur unique en son genre, qui rappelle la figure de ces intellectuels de la Renaissance capables de maîtriser les domaines de la connaissance les plus variés. Il a été physicien, mathématicien et ingénieur électronique, mais aussi philosophe et théologien, théoricien de l'art et linguiste. Cela ne le porte en rien vers les syncrétismes ou les conciliations amiables : on a rarement assisté à une prise de position aussi sévère face aux prétendues vérités de la science, et ses arguments sont d'une finesse si grande qu'ils anticipent bon nombre des thèmes de l'épistémologie du XXe siècle. Par rapport au "vide ordonné et la mort" des sciences, même le "discours commun" (avec sa "richesse désordonnée" et sa "vie chaotique") semble avoir davantage de possibilités d'accéder au vrai.
Mark Safranko sort de nulle part. Un homme sans limites ni frontières, une espèce d'ovni littéraire que seuls quelques initiés sont capables de localiser. L'homme avance seul, écorché vif. Signes particuliers : un goût immodéré pour la prise de risques, une prose nerveuse et racée. Une littérature du corps à corps dans la lignée d'un Fante, d'un Miller, d'un Bukowski. Safranko puise ses histoires dans les profondeurs sombres de sa propre existence et c'est une manière efficace de donner du punch à sa prose et quelques uppercuts à ses lecteurs.
Une rançon marque le retour au roman de l'immense écrivain qu'est l'Australien David Malouf, prix Femina étranger pour Ce vaste monde. Il réinterprète ici magistralement l'une des scènes les plus célèbres de L'Iliade. Celle où Priam, du haut des murs de Troie, assiste à la profanation du corps d'Hector, traîné derrière le char d'un Achille rendu fou de douleur par la mort de son ami Patrocle. Prêt à tout pour récupérer le cadavre de son fils, le vieillard, dépouillé des attributs de la royauté, se dirige alors vers le camp des Grecs dans une simple charrette tirée par des mules. Achille et Priam: deux hommes face à leur souffrance, au chagrin, en quête de rédemption. Incandescent et crépusculaire, ce livre au lyrisme puissant et délicat, à l'instar de l'épopée légendaire qu'il restitue, résonne singulièrement dans le monde d'aujourd'hui.
«Un chef-d'oeuvre, superbement écrit, plein de sagesse et extraordinairement émouvant, élaboré avec cet art indiscernable qui laisse le lecteur pantois.» Alberto Manguel «Un livre impressionnant qui marque durablement l'esprit du lecteur.» The New York Times
Vivre est urgent et ce qui l'est encore plus à Angelus, dans l'Ouest australien, c'est d'échapper à un destin terriblement prévisible.
Là-bas, au bord de la mer, des hommes, des femmes et des adolescents fixent l'horizon, têtus dans leur désir de franchir la porte du bar, d'aller au-delà des bateaux dans le port, de passer outre le parking et les dunes, pour laisser derrière soi les sévices et la mélancolie. Certains vont mourir, d'autres réussir. Après les trois romans qui ont fait sa notoriété internationale (Cloudstreet, la femme égarée, Par-dessus le bord du monde), Tim Winton se révèle plus âpre encore dans ce livre paru l'année dernière en Australie, aux Etats-Unis et en Angleterre.
Jamais sa prose n'a été aussi dense, vibrante. En dix-sept histoires, voilà la vie pelée, stupéfiante, d'une kyrielle de gens ordinaires à l'autre bout du monde.
A seize ans, Flint en a déjà passé huit en centre de détention lorsqu'il s'échappe pour retrouver la seule personne qu'il aime, sa soeur Cécile.
Ensemble, ils volent et partent en cavale vers le sud, jusqu'à la réserve crow où vivaient leurs ancêtres. Cécile est-elle l'otage de Flint ou sa complice ? Seule Marie, la tante sourde et muette, saisit l'obscure logique de leurs crimes, la complexité des désirs et des peurs qui les lient.
" On reste ébahi par le style de Melanie Rae Thon, par cette poésie qui s'incruste jusqu'au plus profond des ténèbres.
" Bruno Corty, Le Figaro littéraire.
" Sweet Hearts est un poème métaphorique sur la souffrance et le pardon, un poème avec des fulgurances et des obscurités, celles-là mêmes des légendes indiennes. " Christophe Mercier, Le Point.
New York, 1746.
Richard Smith débarque d'un bateau. Seulement armé d'une note réclamant le paiement de mille livres à son porteur, le jeune inconnu frappe à la porte de la maison de change de Monsieur Lovell. Celui-ci ne se doute pas alors qu'il vient de mettre en branle une série d'événements qui vont bouleverser la tranquillité de la pointe de Manhattan. Dès le lendemain, la rumeur est sur toutes les lèvres. Doit-on faire confiance à cet homme si secret ? Que vient-il faire de ces mille livres de ce côté de l'Atlantique ? Les questions agitent toute la ville, dont l'intelligente et acerbe Tabitha, la fille aînée des Lovell, et Septimus Oakeshott, l'intègre secrétaire et agent du renseignement du gouverneur. Mais dans ce jeu de dupes, Richard Smith n'est pas le seul à garder jalousement des secrets dont la révélation ferait vaciller le fragile équilibre d'un New York encore provincial...
Roman aux multiples rebondissements, hommage spirituel aux grands romanciers du 18e siècle, Golden Hill emporte le lecteur dans un New York plein d'esprit et de retournements de situation, où pointent déjà les prémisses de la révolution.
Ecrites entre 1971 et 1996, les nouvelles qui composent ce recueil sont autant de fragments d'une Amérique douce-amère.
Fêlures, joies, espoirs ou désillusions : les personnages de Kittredge, l'auteur de La Porte du ciel, reflètent le regard sensible d'une grande figure de la littérature américaine.
Dans une vallée isolée d'australie, quatre personnes s'apprêtent à passer une soirée tranquille : un couple de fermiers, maurice et ida stubbs, une ex-hippie enceinte, ronnie, et un retraité, murray jaccob.
Tout à coup, dans la nuit, une ombre surgit, un chien hurle, des cris retentissent. effrayés, les voisins se réunissent. c'est la première fois.
Très tôt, Guadalupe Magdalena Molina Vasquez, dite Magda, a compris qu'il lui faudrait compter sur ses seules ressources -audace-, longues jambes et détermination sans faille -pour parvenir à échapper à la misère de son quartier.
Conspuée par la Ligue de la Vertu, elle fuit sa ville de Teatlan pour tenter sa chance ailleurs. Gamine des rues, putain, épouse ou mère, sa vie ressemble aux fresques de Diego Rivera, éclatantes de couleurs et peuplées de personnages incongrus. Au fil de ses pérégrinations, c'est tout le Mexique qui surgit : sa misère et ses croyances religieuses, son masochisme, ses stars de cinéma et ses relations ambigus avec les Etats-Unis.
Un Mexique que Magda, si résolue soit-elle à s'en affranchir, a irrémédiablement dans la peau.
Cloudstreet : tel est le nom donné à la maison dans laquelle deux familles modestes jetées par-dessus bord suite à divers revers se retrouvent un beau jour. Les Lamb, menés à la baguette par Oriel, véritable commandant en chef, s'adonnent avec ferveur à la prière et au labeur, seule façon pour eux de sortir de la misère et du drame qui fit perdre la raison à Fish l'enfant rieur. Les Pickles, rêveurs impénitents, vivent dans un total désordre et maugréent lorsque le père, Sam, joue aux courses la paye de la semaine et le plus souvent la perd.
Bon an mal an, au milieu des rires et des drames, les enfants vont grandir et s'émanciper sans vouloir pour autant s'éloigner du nid. Car Cloudstreet est une maison comme on les aime passionnément : immense, de guingois, remplie de vacarme et de sentiments. Et pour les treize membres des familles Pickles et Lamb, l'endroit du monde où ils ont enfin trouvé leur place.
Tendre et exubérante, cette saga tragi-comique aux personnages inoubliables a remporté le très prestigieux Miles Franklin Award en 1992.