Le sommeil est l'une des dimensions les plus importantes de notre vie et, paradoxalement, c'est aussi l'une des moins connues. Pourquoi dormons-nous ? Quelles sont les conséquences du manque de sommeil sur notre santé ? Et quelle est l'utilité du sommeil ?
En agissant sur notre cerveau, le sommeil favorise nos capacités à apprendre, à mémoriser et à prendre des décisions logiques et rationnelles. Il réajuste nos émotions, réapprovisionne notre système immunitaire et règle avec précision notre métabolisme. Quant aux rêves, ils apaisent nos souvenirs douloureux et créent un espace de réalité virtuelle favorable à la créativité.
Traduit dans une trentaine de langues, Pourquoi nous dormons dévoile les dernières grandes découvertes sur le sommeil et les rêves, dont Matthew Walker nous explique l'importance vitale. Un livre capital.
Insomniaques de tous pays, lisez ce livre !
Psychologies Matthew WALKER est professeur de neurosciences et de psychologie, directeur du laboratoire Sommeil et neuro-imagerie de l'université californienne de Berkeley.
Entre 1983 et 2014, le réalisateur et producteur Judd Apatow s'est entretenu avec de nombreuses stars de la comédie américaine : acteurs et humoristes célèbres (Jim Carrey, Ben Stiller, Lena Dunham, Chris Rock, Jerry Seinfeld, Adam Sandler, Louis C.K...), mais aussi cinéastes admirés (Harold Ramis, James L. Brooks, Spike Jonze, Mike Nichols...).
Entre apprentissage auprès des grands maîtres et conversations avec des comédiens dont il est proche (dont sa propre femme, Leslie Mann), Apatow n'a de cesse d'interroger ses interlocuteurs sur ce qu'ils font :
Leurs méthodes de travail, leurs conceptions de l'humour, leurs influences... Ainsi se dessinent aussi bien une histoire et une cartographie précise de la comédie américaine contemporaine qu'un émouvant portrait de Judd Apatow par lui-même.
Provocateur, réactionnaire, tyrannique, les légendes qui entourent John Ford sont nombreuses. Auteur d'une oeuvre monumentale entre 1917 et 1966, reconnu comme l'un des plus grands cinéastes américains, Ford reste pourtant souvent mal compris. Le critique et historien Tag Gallagher dresse le portrait d'un homme à la personnalité complexe et offre une contribution décisive à la connaissance de son oeuvre. Analysant tous ses films, il fait le récit d'une vie au coeur d'Hollywood, nourrie par les mythes et les grands événements de l'histoire américaine.
Spécialiste de John Ford, Tag Gallagher est également l'auteur de l'ouvrage de référence Les Aventures de Roberto Rossellini (Léo Scheer). Il collabore à de nombreuses revues comme Les Cahiers du cinéma, Positif, Sight and Sound ou Film Comment.
Il réunit huit textes de Grover Lewis consacrés au cinéma, écrits entre 1971 et 1990.
Notamment deux de ses articles les plus célèbres, les récits des tournages de La Dernière Séance de Peter Bogdanovich (1971) et de Vol au-dessus d'un nid de coucou de Milos Forman (1975) . Dans ces articles d'une longueur surprenante, il arpente aussi librement que possible les tournages, parfois comme second rôle. En immersion, il met en scène des fi gures mythiques du cinéma (John Huston, Robert Mitchum ou Jack Nicholson) autant que les doublures ou les techniciens. Il reproduit les accents, use d'un style littéraire fort et personnel. Chaque texte est une singulière leçon de cinéphilie et de journalisme, qui a infl uencé l'approche sensitive et écorchée d'auteurs comme H. S. Thompson ou Joe Eszterhas.
Le sommeil est l'une des dimensions les plus importantes de notre vie et, paradoxalement, c'est aussi l'une des moins connues. Jusqu'à très récemment, la science était incapable de répondre à ces questions : pourquoi dormons-nous ? Quelles sont les conséquences du manque de sommeil sur notre santé ? Et quelle est l'utilité du sommeil ?
En agissant sur notre cerveau, le sommeil favorise nos capacités à apprendre, à mémoriser et à prendre des décisions logiques et rationnelles. Il réajuste nos émotions, réapprovisionne notre système immunitaire et règle avec précision notre métabolisme. Quant aux rêves, ils apaisent nos souvenirs douloureux et créent un espace de réalité virtuelle favorable à la créativité.
Traduit dans une trentaine de langues, Pourquoi nous dormons dévoile pour la première fois les dernières grandes découvertes sur le sommeil et les rêves, dont il nous explique l'importance vitale. Un livre capital.
Jerry Lewis aura 90 ans en 2016. Bien que la France - on nous l'a assez reproché - soit sans doute le pays à l'avoir le plus défendu, cela fait plus de trente ans que n'a paru aucun ouvrage en français consacré à son travail. Le souvenir de la grandeur de Lewis semble donc s'éloigner à mesure que l'homme vieillit. Et pourtant Jerry Lewis fut grand, en effet. Il le fut aux côtés de Dean Martin dans une longue série de films tournés à la fin des années 1940 et au cours des années 1950, dont les meilleurs furent réalisés par Frank Tashlin. Et il le fut plus encore lorsqu'ayant terminé son apprentissage, il passa à la réalisation à la fin des années 1950.
Les films qu'il signa alors peuvent être appelés des chefs-d'oeuvre : The Errand Boy, The Bell Boy, The Nutty Professor, The Ladies Man, The Patsy, The Family Jewels, Three on a Couch. firent de lui le plus grand cinéaste comique des années 1960.
C'est principalement à cette période que s'intéresse le critique américain Chris Fujiwara. Fujiwara dégage au sein de la période plusieurs traits dont le plus saillant touche au rapport entretenu par Lewis avec la technique.
Il faut entendre celle-ci en un double sens : c'est l'intérêt extrêmement marqué par l'acteur et réalisateur pour tout ce qui concerne la fabrication concrète du cinéma, au point de vouloir exercer un contrôle total sur son oeuvre et de bientôt théoriser ce contrôle sous l'intitulé de « cinéaste total » ; et ce sont des films n'ayant de cesse de thématiser les nouveaux dispositifs techniques connaissant un essor sans précédent au cours des années 1960, à commencer par la télévision et les médias en général.
Déjà auteur de plusieurs livres de référence, dont l'un consacré à la vie et à l'oeuvre d'Otto Preminger, Chris Fujiwara propose une lecture extrêmement précise et stimulante des films de Jerry Lewis, pour laquelle il s'aide volontiers de la pensée structuraliste. Loin de l'image collant encore à la peau de Lewis - celle d'un ahuri plus ou moins drôle -, il invite à découvrir et à admirer un artiste à part entière, inventeur de formes et grand coloriste, épris des possibles du cinéma d'une manière qui évoque Jean-Luc Godard, par ailleurs admirateur fervent. L'ouvrage est en outre complété par un long et passionnant entretien entre Fujiwara et Jerry Lewis.
Rempli d'anecdotes réjouissantes, Mémoires d'un artisan de la peur fait découvrir un cinéaste culte auquel Joe Dante, John Waters et bien d'autres ont souvent rendu hommage. Castle est célèbre pour ses fi lms d'épouvante pour lesquels il mettait au point des inventions marketing mi-horrifi ques, mi-farfelues, destinées à attirer le public en salles. Le livre est découpé en chapitres courts qui traversent toute sa vie, une grande part de ses projets et de ses nombreuses rencontres à Hollywood. L'auteur expose ses gloires et ses échecs avec un humour constant, sans fausse modestie mais avec distance. En fi ligrane se lit aussi une histoire méconnue du cinéma hollywoodien, celui des petits budgets et du système D où les cinéastes rivalisaient d'ingéniosité et faisaient avec les moyens du bord.
Ici commence Johnny Depp n'est pas seulement une biographie ; pas seulement la tentative de découvrir la véritable identité de l'acteur américain derrière la variété de ses rôles. Murray Pomerance se pose une autre question : Quelle est cette fascination qui nous attache à la façon de bouger, de fumer, de regarder propre à l'acteur ? Qui est Johnny Depp ? Qu'est-ce qu'il signifie ? Mais aussi et surtout : que se passe-t-il quand nous regardons Johnny Depp ? Ici commence Johnny Depp est un livre libre, imprévisible, voyageur ; un livre musical, comme l'est pour l'auteur l'art de l'acteur. Les cinq parties de la version originale américaine sont ici complétées par deux chapitre inédits : l'un consacré au rôle de Depp dans Sweeney Todd de Tim Burton, l'autre sur celui de John Dillinger dans Public Enemies de Michael Mann.
Après l'explosion nucléaire qui a ravagé New York, deux communautés se forment sur les ruines du monde, l'une autour du Vagabond, qui valorise l'individu et l'instinct, l'autre autour d'un groupe de Scientifiques, qui vit selon la Raison pure.
Le Vagabond du Nouveau Monde est bien davantage qu'un scénario. Il s'agit d'un véritable chef-d'oeuvre littéraire : lyrique, foisonnant, d'une extraordinaire précision descriptive. Parsemé de commentaires et d'adresses à Chaplin, ce texte constitue également un « work in progress » fascinant et un bouleversant journal intime traitant du rapport qu'entretenait Agee avec le cinéaste et la figure de Charlot.
A l'occasion de sa rencontre avec le mystérieux directeur d'une unité secrète de la CIA, le psychiatre Jonathan Saks opère un retour sur sa vie, marquée par la culpabilité et la quête de rédemption. Entre récit autobiographique et affabulations romanesques, il semblerait que le secret du docteur remonte à ses premières années de médecine, alors qu'il exerçait l'activité de maître-nageur.