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Serions-nous tous des fonctionnaires de l'horreur en puissance ? C'est l'angoissante question que se pose tout lecteur de Soumission à l'autorité. Le récit qu'y donne Stanley Milgram de ses expériences effectuées en laboratoire entre 1950 et 1963 bouleverse en effet bien des idées reçues. Au prétexte d'une enquête apparemment banale sur l'apprentissage et la mémoire, Milgram a réalisé une fantastique série d'expériences, où des hommes et des femmes recevaient l'ordre d'infliger à une innocente victime des chocs électriques de plus en plus violents.
Combien d'entre eux allaient obéir ? Et jusqu'où ? Les résultats inattendus firent naître une controverse passionnée. Où finit la soumission à l'autorité... et où commence la responsabilité de l'individu ?
Dans ce formidable document sur ce qui motive le comportement et les choix humains, Stanley Milgram propose une analyse originale de l'obéissance et de la résistance de citoyens ordinaires confrontés au pouvoir. -
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Et si la psychologie humaine s'inscrivait dans le prolongement de celle des animaux, qu'il s'agisse de la violence, de l'empathie, ou même de la morale ? C'est la thèse que défend l'auteur : il s'oppose aux théories de l'exception humaine, qu'elles fassent de l'homme une espèce destinée à dépasser une animalité mauvaise ou qu'elles le présentent comme une aberration de la nature.
En s'appuyant sur nombre d'anecdotes fascinantes, mais aussi sur des recherches approfondies, l'auteur brosse un portrait du « singe bipolaire » qu'est l'homme. Il utilise aussi le formidable laboratoire que constituent les sociétés de chimpanzés et de bonobos pour aborder les problèmes de la vie en commun chez les êtres humains. Ce livre tend à l'humanité un miroir qui lui permettra peut-être de mieux gérer ses propres instincts. -
L'observation du comportement des animaux de la manière dont ils manifestent leurs souffrances psychiques, pose d'étonnantes questions et nous oublie à remettre en cause nos plus belles certitudes.
L'homme possède pour s'exprimer bien d'autres moyens que la parole, son histoire s'articule à sa biologie, son équipement génétique participe à ces constructions sociales. tandis que le zoologue montre que le singe figé dans son isolement recommence à vivre depuis qu'on lui a offert un leurre sur lequel il fixe son affection que la paralysie hystérique du chien a disparu depuis que ses maîtres le caressent, le phsychologue tente d'établir un lien avec l'enfant abandonné qui se laisse mourir de faim parce qu'il n'a rencontré personne à aimer.
Dans ce livre très vivant, plein d'anecdotes, écrit dans une langage simple et drôle, boris cyrulnik montre que l'éthologie un constitue un trésor à hypohèses et un modèle pour la recherche.
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Le miroir brisé : L'enfant handicapé, sa famille et le psychanalyste
Simone Korff Sausse
- Pluriel
- Pluriel
- 11 Février 2011
- 9782818501238
Lorsqu'un enfant atteint d'une anomalie arrive au monde, les parents plongent dans un univers dont ils ignoraient tout. Tel un miroir brisé, l'enfant marqué par un handicap renvoie à ses parents - mais aussi à nous tous - une image déformée qui fait peur et dont nous nous détournons. Le handicap réveille des croyances obscures et anciennes où se mêlent des idées d'étrangeté, de mort, de sexualité anormale ou de filiation fautive.
Comment l'enfant pourra-t-il grandir malgré ou avec son handicap ? Comment aider les parents à traverser cette épreuve ? Comment redonner la parole aux enfants qui ont peu ou pas de langage ?
Simone Korff-Sausse travaille depuis de nombreuses années auprès de jeunes handicapés, elle les voit vivre, les écoute, les soutient. En abordant de front les questions que ces enfants nous posent, ce livre nous oblige à porter sur eux un autre regard.
Maître de conférences à l'université Denis Diderot Paris-VII, Simone Korff Sausse enseigne la psychanalyse à l'UFR de Sciences humaines cliniques. Elle est également membre de la Société psychanalytique de Paris. -
Où sont passés les pères ? Les bouleversements de mai 1968, le mouvement féministe des années 1970, une justice qui privilégie la mère dans la garde de l'enfant et une médecine qui, avec la procréation assistée, tend à se substituer au père, tels sont les jalons d'une évolution des moeurs sans précédent. Au cours des dernières décennies, la figure paternelle s'est peu à peu lézardée. Les conséquences en sont lourdes. Un nombre impressionnant d'enfants ne voient jamais leur père, la délinquance se développe dans les villes et les banlieues et les institutions prenant en charge la santé mentale de l'enfant sont débordées. II devient urgent de redonner leur place aux pères et de redéfinir leur rôle dans l'épanouissement de l'enfant.
Didier Dumas montre que la méconnaissance du rôle du père dans la construction psychique et spirituelle de l'enfant est la première cause de tous ses désordres mentaux. Et que les troubles dus à la démission des pères se transmettent et se répètent, en s'aggravant, d'une génération à l'autre. -
Entrant dans l'intimité de plusieurs relations mère-fille remarquables (Mme de Sévigné et Mme de Grignan, Marlène Dietrich et sa fille, Camille Claudel et sa mère), analysant des cas cliniques célèbres (les soeurs Papin, Marguerite Anzieu) ou commentant une fiction de Marguerite Duras, Le Ravissement de Loi V.
Stein, Marie-Magdeleine Lessana associe une réflexion rigoureuse à un réel talent littéraire.
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Manger le livre : Rites alilmentaires et fonction paternelle
Gérard Haddad
- Pluriel
- Pluriel
- 5 Avril 2012
- 9782818502754
Dans son entreprise de fondation de la psychanalyse, Freud a voilé les liens qui l'unissaient à la religion juive. Pourtant certaines de ses intuitions ne sont compréhensibles qu'à la lumière des textes hébraïques. Tel est le point de départ de Gérard Haddad qui l'entraînera, au-delà de Freud, à émettre une hypothèse très neuve, déchiffrée dans les rites alimentaires juifs : l'acte originel qui détermine l'intégration de l'individu dans le groupe est un acte de dévoration très particulier puisqu'il s'agit de manger des mots organisés en Livre. Manger le Livre, voilà l'acte fondamental.
De surprenantes passerelles apparaissent entre l'eucharistie et les mythes culinaires bororos ou la dyslexie et les techniques publicitaires. Mais Gérard Haddad nous permet aussi de comprendre pourquoi et comment l'alcool intervient dans la création littéraire. Ibsen, Lowry et tant d'autres, nous révèlent le secret connu et masqué depuis qu'il y a des hommes : nous sommes tous des mangeurs de Livre. -
« Ma pratique de thérapeute familial me montre tous les jours que la famille a changé, qu'elle est sans doute en crise mais que ses tourments ne s'expliquent ni par ses métamorphoses, ni par le relâchement des liens. J'observe au contraire une évolution aussi inattendue que paradoxale : en se soumettant aux nouveaux idéaux d'amour et de bonheur, en se dégageant des contraintes ancestrales, la famille contemporaine tisse trop souvent des liens enchevêtrés et étouffants. Les processus de séparation, loin de se trouver facilités, prennent alors une dimension tragique, dont témoignent les pathologies adolescentes : phobies scolaires, troubles des conduites alimentaires, dépendances aux drogues ou à l'alcool, et banalisation de la violence.
Les nouveaux devoirs de la famille - être heureux à tout prix, tout se dire, éviter les conflits - sont devenus (presque) aussi pesants que les anciennes contraintes. Dans cette mutation passionnante de la nouvelle scène familiale, il ne s'agit pas de rejeter le passé ou de se confiner dans un repli frileux, mais de concilier les acquis d'autrefois avec la conquête de la liberté. » -
Jamais les ruptures conjugales n'ont été aussi nombreuses, et jamais le couple n'a été autant célébré sur l'autel des valeurs contemporaines. Les impératifs sociaux, religieux et économiques ayant quasiment disparu, c'est désormais le coeur seul qui commande la vie à deux. Asseyez-vous, écoutez, et regardez, propose le psychanalyste Serge Hefez. Amour, désir, choix du conjoint, affirmations d'indépendance, bouleversement des rôles masculins et féminins : chacune des histoires révélées dans le cabinet du thérapeute conjugal éclaire un des mystères du fonctionnement du couple et de sa formidable créativité qui transforme nos existences.
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Comment concilier l'universalité du psychisme et les particularités des représentations des enfants de migrants et de leurs parents ?
Marie Rose Moro tente de répondre à cette question en partageant son expérience de clinicienne à l'hôpital Avicenne, où elle est très souvent confrontée aux difficultés rencontrées par les enfants issus de cultures multiples, dont les familles ont dû adopter de nouvelles manières de voir et de faire. Contre une vision trop rigide de l'intégration à la française, elle plaide pour que soient écoutées les paroles des enfants, des adolescents et de leurs parents. Au-delà de l'apport d'une approche transculturelle en matière de psychothérapie, cet ouvrage permet aussi d'envisager de nouvelles perspectives pour la psychologie de l'enfant et de l'adolescent en général.
Ce livre s'adresse à tous ceux qui s'occupent des enfants et de leur famille, les cliniciens et tout le monde de la santé, mais aussi les enseignants et ceux qui travaillent à l'école, les juges, les travailleurs sociaux et tous ceux qui veulent comprendre le monde moderne et ses enjeux.
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Casseroles, amours et crises - ce que cuisiner veut dire
Jean-Claude Kaufmann
- Pluriel
- 11 Février 2011
- 9782818501252
La table est le petit théâtre des familles, avec ses jeux de rôles, ses répertoires imposés (raconter sa journée), ses délices et ses crises. Car le face à face rapproché provoque le meilleur comme le pire. Quelquefois même la fuite : la discipline collective est refusée par le mangeur-grignoteur épris de liberté. La table est une épreuve de vérité, qui dit l'état exact des relations conjugales et familiales. L'auteur entraîne le lecteur vers les coulisses : la cuisine. Il pénètre dans la tête du chef, au plus intime de ses pensées contradictoires. Se débarrasser de la corvée ou réaliser des merveilles ? Question difficile car il ne s'agit pas seulement de faire à manger mais de fabriquer du lien social, de l'amour. Jean-Claude Kaufmann nous montre comment, de façon étonnante, la famille se façonne avec les mains... Il croise, à sa manière inimitable, témoignages vivants (dans lesquels chacun peut se reconnaître) et analyse serrée, nourrie d'une érudition historique jamais indigeste, sans oublier sa plume savoureuse, un régal! Jean-Claude Kaufmann est sociologue, Directeur de Recherche au CNRS (Centre de Recherche sur les Liens Sociaux, Université de Paris V-Sorbonne). Il est notamment l'auteur de La Trame conjugale, Le Coeur à l'ouvrage, Premier Matin et La Femme seule et le prince charmant.
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Comment comprendre la violence ? La plupart des explications disponibles, tant en sociologie qu'en anthropologie ou en sciences politiques, sont souvent réductrices, tant la violence combine des aspects différents, depuis la violence fondatrice jusqu'à la violence gratuite de l'extrême cruauté. Dans ce livre, Michel Wieviorka tente de proposer une vision d'ensemble, qui ne laisse de côté aucun des traits de la violence et la resitue dans sa véritable dimension : manifestation d'une fêlure, voire d'une fracture du sujet, dans les moments où le sens se dérobe.
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Déshabillez-moi ; psychanalyse des comportements vestimentaires
Catherine Joubert, Sarah Stern
- Pluriel
- Pluriel
- 9 Avril 2007
- 9782012793620
Analyse, à travers des cas concrets, des relations entre comportement vestimentaire et comportement relationnel de l'individu.
C'est l'histoire d'une femme qui brûla un jour toutes les robes de sa jeunesse, d'une petite fille costumée en petit garçon, d'un homme qui ne s'habillait qu'en noir, de deux soeurs qui se prêtaient des vêtements. Des histoires comme on en entend des milliers, avec des personnages qui parfois nous ressemblent, mais dont le vêtement tient le rôle principal. Pourquoi ce bout de chiffon anodin nous importe-t-il tant ? Ce livre propose des pistes de réflexion sur cette «passion des habits» d'une génération née dans le règne du paraître. Nos comportements vestimentaires, derrière une apparente futilité, révèlent les mouvements intimes et méconnus de nos désirs. Le vêtement, cette «seconde peau», appartient à la fois au dedans et au dehors ; il protège l'espace intime comme il ouvre sur l'espace social et relationnel ; il contient dans ses fibres la mémoire des premiers soins maternels qui nous ont entourés et dit, à sa manière, nos rêves et nos espoirs. Les auteurs tracent ainsi une cartographie de nos rapports aux autres : amour, désir, envie, rivalité, loyauté, trahison...
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Dans le poids d'une vie, bruno bettelheim livre au lecteur son destin exceptionnel : sa rencontre avec la psychanalyse et la vienne de freud, on il a vécu. son travail avec les enfants et les adolescents psychotiques. une réflexion sur les descendants des morts de l'holocauste.
écrit avec humour et lucidité, ce livre confirme la passion et le respect de bruno bettelheim pour les enfants, sa volonté constante de comprendre les êtres et les mobiles qui les font agir, les chaînes qui les entravent et les forces qui les animent.
Un ouvrage qui permet de découvrir enfin la vie de celui qui s'est passionné pour celle des autres et dont tant de lecteurs ont aimé les livres - citons notamment psychanalyse des contes de fées, dialogues avec les mères, la lecture et l'enfant, parus en pluriel.
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Qui n'a jamais connu les affres du « blocage » en mathématiques ? Quelques minutes de perplexité, ou des mois, des années entières sans rien comprendre... Elèves, parents, professeurs : chacun s'interroge sur cette énigme. A quoi tient le statut d'exception des mathématiques parmi les autres enseignements ? Quelles sont les sources de « blocage » ? Comment les dénouer ? Confrontée à ces questions lors de ses rencontres avec des élèves en difficulté, Anne Siety développe ici une analyse de ces phénomènes et propose une méthode de travail psychopédagogique. A travers de nombreux cas, elle montre, dans un texte clair, sensible et non dénué d'humour, que les mathématiques, réputées « inhumaines », sollicitent au contraire chacun en profondeur. Il ne s'agit pas de proposer une psychothérapie, mais d'aider chaque élève à puiser en lui-même - dans son corps, son imagination, ses émotions, ses fantasmes... - les ressources qui lui permettront de trouver du plaisir à faire des mathématiques.
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La destinée des enfants se tisse au berceau.
Dès sa naissance, le bébé est pris dans un réseau complexe de désirs et d'interdits, et il doit s'efforcer de correspondre au rôle que ses parents s'attendent à lui voir jouer. La profession de bébé n'est pas de tout repos.
La venue d'un bébé peut rendre fou d'amour, elle peut aussi provoquer l'inquiétude, et même la haine, surtout si les fantômes qui hantent la mémoire de la mère rôdent autour de l'enfant.
Or, quand le malentendu s'installe, les échanges s'enrayent et le rêve tourne vite au cauchemar.
Bertrand CRAMER démonte dans PROFESSION BEBE les mécanismes de cette relation si particulière qui lie le nouveau-né à ses parents. A travers le récit concret de quelques-unes de ces thérapies originales, puisque la mère et le bébé y sont associés, il décrypte les exigences des parents vis-à-vis de leur enfant, et la façon dont celui-ci y répond.
Il nous montre comment se développent les malentendus entre la mère et son bébé, et comment il est possible d'exorciser les mauvais sorts qui faussent, précocement, la vie des nouveau-nés.
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Certaines expressions résument l'esprit d'une époque. L'obligation d'« être soi-même » est le mot d'ordre de la nôtre. Mais « soi-même » existe-t-il vraiment ? Jean-Claude Kaufmann inflige ici une sévère et utile correction à quelques-unes de nos croyances les mieux ancrées. Non, il n'existe pas de « soi » traversant la vie égal à lui-même. Notre identité est extraordinairement multiple et changeante : tissée de moments parfois infimes où bascule tout ce que nous sommes. Je n'est jamais autant je que lorsqu'il s'invente différent. Et c'est très bien ainsi. Ce livre novateur, où la réflexion s'appuie sur le concret des grandes enquêtes menées par l'auteur (Premier matin, Agacements), ouvre la voie de ce nouveau savoir-être, ni rigidité illusoire, ni absence de repères, auquel nous aspirons tous.
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Sans père et sans parole ; la place du père dans l'équilibre de l'enfant
Didier Dumas
- Pluriel
- Pluriel
- 12 Mars 2009
- 9782012790186
Où sont passés les pères ? Les bouleversements de Mai 68, le mouvement féministe des années 1970, une justice qui privilégie la mère dans la garde de l'enfant et une médecine qui, avec la procréation assistée, tend à se substituer au père : tels sont les jalons de l'évolution des moeurs qui a lézardé la figure paternelle au cours des trente dernières années. Être père, ce n'est pas être un substitut de la mère. C'est occuper une place dont dépendent la construction et la santé psychique de l'enfant. Si le rôle de la mère est de porter l'enfant dans son corps, celui du père est de le porter dans ses pensées et ses désirs. Ne pas permettre à l'enfant de comprendre qu'il est le fruit du désir de ses deux parents, c'est le condamner à l'emprise d'un monoparentalisme dévorant qui le prive de tout accès à l'autonomie et le rend incapable de s'intégrer à la société. Ecoutant des enfants, des pères et des mères depuis plus de vingt ans, Didier Dumas montre, à travers les propos et les souffrances des uns et des autres, que cette méconnaissance du rôle du père dans la construction psychique et spirituelle de l'enfant est la première cause de tous ses désordres mentaux. Et que les troubles dus à la démission des pères se transmettent et se répètent, en s'aggravant, d'une génération à l'autre.
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« Je travaille avec des adolescents parce qu'on m'a volé mon adolescence. » Dans ce livre autobiographique qui mêle l'humour à l'horreur, Stanislas Tomkiewicz retrace l'itinéraire qui conduira le jeune garçon né juif et polonais à devenir un spécialiste mondial des troubles juvéniles. Il connaît la tentation du suicide dans le ghetto de Varsovie, non loin de la « place des transferts » en direction de Treblinka et Maïdanek. Fuite, clandestinité, internement à Bergen-Belsen, puis la longue convalescence d'après-guerre entre hôpitaux et sanatorium orientent peu à peu sa vocation originelle pour la médecine vers la psychiatrie et la pédiatrie. Il nous aide à comprendre, à travers son expérience personnelle et sa pratique de la psychiatrie, comment il est possible de réconcilier les adolescents avec la vie.