Ce recueil de notes de veilles sur l'éolien met en lumière la stratégie des constructeurs et leurs différentes implantations. Il présente les éléments constitutifs d'une éolienne (pales, nacelles, tours, fondations, arbres de transmission, multiplicateurs, génératrices, systèmes de contrôle, etc.) et les opérations de contrôle et de maintenance de ces différents composants. Le contrôle en continu du fonctionnement de ces éoliennes génère un marché de la maintenance et de « l'avarie » qui s'organise. En mer, différents types d'éoliennes sont déjà présents. Les développements annoncés de l'éolien offshore sont très prometteurs.
Les vérifications périodiques des presses doivent être effectuées par des personnes qualifiées appartenant ou non à l'établissement. Le choix de la réalisation en interne des vérifications par les entreprises a pour intérêts principaux, une meilleure connaissance de leurs presses (donc de leurs faiblesses) ainsi qu'une mise à disposition pour vérifications facilitée. Les contrôles sont à réaliser à partir d'un canevas défini par arrêté. Ils peuvent être différents dans la pratique d'une entreprise à une autre et des interrogations subsistent sur leur étendue. Ce guide se propose de répondre à ces questions en apportant point par point une ou plusieurs méthodes de vérifications, illustrées concrètement par des photos ou schémas. Cet ouvrage a pour ambition d'être un appui technique pour les personnes chargées de la maintenance périodique réglementaire des presses.
Ce rapport de synthèse récapitule différentes méthodes de calcul pour la conception des silos : silos ronds raidis avec des raidisseurs annulaires ou longitudinaux, silos orthotropes ( ou coques dont les raidisseurs sont suffisamment approchés entre eux), silos ronds en tôle ondulée, silos rectangulaires à tirants (comportant généralement plusieurs modules accolés).
Les moteurs électriques intégrés dans les machines tournantes sont réputés relativement silencieux par rapport aux moteurs thermiques ou hydrauliques), mais ils présentent cependant un grand nombre de causes de vibrations et de bruit, dont certaines sont spécifiquement liées à la nature électromagnétique de leur fonctionnement. Quel que soit le type de moteur électrique (à courant continu, synchrone ou asynchrone), on observe généralement que les phénomènes vibratoires d'origine magnétique sont de moindre importance que ceux d'origine purement mécanique ou aérodynamique, ce qui explique le faible nombre d'études existant à ce sujet. Mais à mesure que l'on réduit les autres sources de bruit, celui-ci prend de l'importance pour un très large domaine d'applications industrielles tant pour les concepteurs de machines tournantes que pour leurs utilisateurs. L'établissement d'un état de l'art en matière d'analyse et de réduction des bruits d'origine magnétique conduit à étudier les aspects techniques concernant les trois questions de base : Quels sont les phénomènes électromagnétiques prépondérants rencontrés dans les machines tournantes, et quelles sont leurs répercussions en termes de vibrations ? Comment prévoir et évaluer l'importance de ces phénomènes dans une machine tournante constituée d'un moteur électrique accouplé à un ensemble mécanique fonctionnel, et selon quels types de paramètres ? Quelles actions d'optimisation peut-on mettre en oeuvre pour les réduire ?
La connaissance des limites de formabilité d'un matériau est importante puisqu'elle permet d'utiliser celui-ci au mieux de ses possibilités sans jamais les dépasser. Les courbes limites de formage (CLF), qui représentent ces limites, constituent donc un outil indispensable à l'étude d'une pièce de tôle : pour chaque nuance spécifique, elles décrivent la capacité du matériau à être informé par emboutissage selon différents modes de sollicitation (de la déformation pleine tôle à l'emboutissage avec avalement). Les CLF des matériaux classiques en emboutissage (aciers doux, HLE, etc.) ont été largement étudiées par le passé. D'abord déterminées expérimentalement, elles ont ensuite été modélisées par des formules de calcul plus ou moins précises.
Les divers procédés de fabrication (forge, traitement thermique, fonderie, usinage, emboutissage, etc) utilisés par les entreprises mécaniciennes génèrent des besoins incontournables en refroidissement. La solution la plus efficace est la tour aéroréfrigérante (TAR). Cependant, des contraintes importantes liées au risque de prolifération de légionelles incitent à l'adoption d'autres techniques. Ce guide, rédigé par le Centre technique des industries aérauliques et thermiques (Cetiat) a pour but d'assister l'industriel dans le choix d'une installation de refroidissement pour un projet neuf ou de rénovation. Son contenu s'inspire du guide technique Les différents procédés de refroidissement d'eau dans les installations industrielles et tertiaires élaboré par le Cetiat à la demande du ministère de l'Écologie et de développement durable en février 2005. Cet ouvrage définit les besoins en refroidissement , expose les diverses solutions utilisables dans l'industrie mécanique étayées par des situations réelles observées dans quatre entreprises , compare l'efficacité des différentes techniques , permet à l'industriel d'effectuer un comparatif afin d'apprécier ses marges de progrès. En conclusion, les règles de bonne conduite d'une installation de type TAR sont rappelées.
La règlementation française a été récemment modifiée afin de prendre en compte les exigences issues de la directive européenne 1999/13 du 11 mars 1999 relative à la réduction des émissions de composés organiques volatils (COV) dues à l'utilisation de solvants organiques dans certaines activités et installations. La réglementation laisse à l'exploitant le choix entre les options suivantes : émissions canalisées et diffuses de COV, soit de mettre en oeuvre un shéma de maîtrise des émissions (SME). Le Cetim, à la demande de la profession du roulement, a engagé une action visant à aider les entreprises à l'appliquer pour leurs activités de dégraissage industriel par procédés mettant en oeuvre des solvants.
Ce document présente les traitements conventionnels de conversion chimique sur les alliages d'aluminium (chromatation et phospho-chromatation), les conditions d'élaboration des couches, leur principe de formation, leurs propriétés (adhérence des peintures, résistance à la corrosion, etc.). Il se termine par une présentation des recherches sur le développement de substituts aux traitements conventionnels et des premières applications industrielles. Ces travaux sont motivés par l'évolution des dispositions règlementaires à la protection de l'environnement.
La mise en place des technologies, informatiques de communication entre les donneurs d'ordres et certains fournisseurs de rang 1, a montré leur efficacité pour réduire les coûts de communication et les délais de production. La mise en oeuvre du travail collaboratif dans le cadre de la co-conception, l'utilisation de plates formes collaboratives, l'organisation des données autour de la maquette numérique sont aujourd'hui opérationnelles dans les secteurs de l'automobile et de l'aéronautique. La diffusion de ces pratiques est inéluctable à très court terme. Ces technologies toucheront donc d'autres secteurs et auront un impact sur les sous-traitants de deuxième et troisième rang. Ces sous-traitants, PME et PMI de la mécanique, devront faire face aux exigences de leurs clients concernant l'utilisation des technologies, des outils et des méthodes pratiquées dans leur entreprise. Ces technologies bouleversent la façon de travailler. Ne pas être prêt à les utiliser pleinement ou à adopter ces méthodes, c'est prendre le risque de perdre des parts de marché en laissant la voie libre à la concurrence internationale. Ce dossier fait le point sur les évolutions de ce domaine.
Parmi les nombreuses variantes à haute productivité concernant le soudage MIG-MAG (Metal Inert Gas-Metal Active Gas), (en soudage Time Process, soudage bi-fil et tandem, soudage avec fil plat), la méthode appelée soudage MAG fort diamètre, consiste à utiliser un fil plein ou fourré de fort diamètre, supérieur au diamètre communément commercialisé de 1,6 mm.
Beaucoup moins répandue, son installation apparaît toutefois relativement flexible, moins onéreuse et techniquement plus facile à mettre en oeuvre que le procédé Time Process, qui nécessite une installation plus spécifique, ou que les procédés bi-fil ou tandem, qui nécessitent des équipements particuliers.
Cet ouvrage fait le point sur les caractéristiques technico-économiques du soudage MAG avec fil fort diamètre.
Cet ouvrage présente une série de fiches dont l'objectif est d'améliorer le dialogue entre les clients et les professionnels du découpage-emboutissage.
Ces fiches sont des références métier reconnues par la profession. Elles ont pour vocation d'interpeller les donneurs d'ordres sur l'importance des données à fournir et les risques encourus quand celles-ci sont incomplètes, voire manquantes.
Elles constituent également des références pour les débutants en découpage-emboutissage.
Tout dispositif médical mis sur le marché communautaire doit être conforme aux exigences essentielles de santé et de sécurité prescrites par les directives européennes et reprises dans le code de la Santé Publique. Dans ce cadre, le fabricant doit apporter les preuves que les risques potentiels liés à l'utilisation du dispositif médical sont acceptables au regard du bénéfice apporté au patient.
Les adhérents du Snitem, avec la collaboration du Cetim, ont mis en commun leur expérience pour rédiger ce guide pratique dans le but d'aider les fabricants de dispositifs médicaux à analyser et gérer au mieux les risques, en application de la norme NF EN ISO 14971.
Ce guide bilingue a pour vocation de fournir à la profession un outil de référence pour la réalisation de leurs analyses de risques et pour la mise en oeuvre de leur démarche de gestion de risques.
Il prend en compte les risques trouvant leur origine dans tout le cycle de vie (conception, fabrication, transport, stockage, exploitation et fin de vie) du dispositif. Il vise notamment à établir des critères d'acceptabilité reconnus par les professionnels, utilisables dans le cadre de l'analyse des incidents rapportés à la matériovigilance.