Dans ce livre, Mohammed Bouloudani nous explique l'adolescence sous toutes ses facettes. Si elle est, depuis toujours, un processus physique et mental, complexe mais normal, à l'origine des comportements agressifs et dissociatifs auxquels les adolescents s'adaptent tant bien que mal, elle reste, en revanche, à leurs yeux, injuste et inacceptable. En réalité, c'est plutôt ce statut de mineur que la société des adultes leur octroie, ces assignations à domicile qu'elle leur fait subit en les mettant sous tutelle pendant plusieurs années, les empêchant de grandir socialement et d'accéder au statut des adultes, qu'ils rejettent. Cette attente leur est incompréhensible et demeure, la plupart du temps, à l'origine de toutes leurs violences et souffrances psychologiques.
Lors du "Printemps arabe", en Tunisie d'abord, puis en Egypte, le mot s'est imposé : "Dégage !" Ce dégagisme ne correspondait pas à un programme, mais il a électrisé le globe car d'un coup on retrouvait la faille, la brèche, le vide qui ouvre sur la pluralité des possibles et libère la pensée et l'action. Préalable à la transformation, l'aspiration multiforme à dégager l'horizon est un de ces " fragments de modernité " qui amorce les beaux jours.
Editorial par Philippe Lemoine, président du Forum d'Action Modernités 10 articles principaux structurent cette publication qui suit un mouvement en 3 temps : Dégage ! Libère ! Respire !
"Dégage !" : après leur Manifeste du dégagisme, les Belges Laurent d'Ursel, Xavier Löwenthal et Nicolas Marion déconstruisent le dégagisme en [r] du temps; Valérie Peugeot s'attaque au Big data comme mythe et source d'illusion; Frédéric Joignot dégage le storytelling.
"Libère !" : Il s'agit d'en appeler aux forces de la vie, en contribuant à briser leurs chaînes. Les forces de l'esprit d'abord avec Didier Toussaint qui "libère l'homme de son loup"; les forces de l'art ensuite avec Matthias Leridon qui veut en finir avec l'art dépressif ! Les forces de l'agir enfin avec les leçons que Florence Devouard a tiré de son expérience à la tête de Wikipédia.
"Respire !" : Laisser respirer l'économie et la vie sociale avec Thanh Nghiem qui défend la pollinisation et le partage pour dessiner notre nouvel horizon. Laisser respirer la connaissance, en se libérant avec Michel Wieviorka du nationalisme méthodologique et en mettant les sciences sociales à l'heure de la cosmopolitisation du monde. Laisser respirer nos passions et nos envies, avec l'appel que lance l'urbaniste Philippe Gargov à une ville plus baisable. Laisser respirer la diversité de l'humanité comme condition de son enrichissement, comme l'illustre l'écrivain Daniel Tammet.
Le Forum d'Action Modernités est un réseau d'idées et d'actions qui a pour ambition d'imaginer la modernité du XXIe siècle en proposant des représentations collectives à la fois positives et crédibles.
En s'appuyant sur la mise en réseau de milieux très divers (entrepreneurs, artistes, ONG, intellectuels, etc.), le Forum articule les idées et les actions dans une perspective de transformation, il vise à structurer des alliances et à libérer les énergies.
A travers des groupes de réflexion, des soirées de dialogues publiques et des projets d'innovation sociétale, le Forum d'Action Modernités ouvre des Zones d'Initiatives Positives (ZIP) pour favoriser l'interaction entre les idées et l'action.
Fondation sous l'égide de la Fondation de France, Le Forum d'Action Modernités est une fondation pluri-partenaires aujourd'hui soutenue par GDF-Suez, La Poste, LaSer et Total. Elle est présidée par Philippe Lemoine, et a pour président d'honneur, Edgar Morin.
Ce roman bouleversant, parfois choc, parfois poétique, nous plonge d'emblée dans la vie trépidante de Patricia Durieux, grand reporter au journal Le monde, partie en Haïti dans l'espoir de recueillir des preuves qui lui permettront de révéler un massacre des plus horribles. Face à la détermination farouche de cette femme ambitieuse, se dresse un monde hostile, violent et sanglant, où des individus sont prêts aux pires bassesses pour conserver leurs privilèges et enfoncer davantage la vérité dans les ténèbres.
On retrouve dans le nouveau roman de Guichard Derac son talent à décrire l'immédiateté des émotions, les douleurs dévastatrices, la violence des sentiments, la psychologie approfondie des personnages. Haïti n'est qu'un décor à cette histoire qui aurait pu se dérouler dans n'importe quel pays et qui jette un regard lucide et sans concession sur la stupidité et la noirceur de la nature humaine, refusant à s'aimer malgré l'évidence de leur future disparition et leur prise de conscience d'être dans un voyage dont la destination finale est la même pour tous.
Le plus gros problème qui se pose à l'homme sur terre est de parvenir à trouver le sens réel et profond de sa vie. Pourquoi suis-je là ? Quel est mon rôle ? Des questions parmi tant d'autres, qui se transforment très souvent en révolte ou en colère, lorsque l’on ne fait pas l'effort de comprendre la situation dans laquelle on vit. Il y a tellement de choses à prendre et à apprendre de la vie, que chacun d'entre nous possède le devoir de dévoiler le message qui se cache derrière chaque événement, afin de transmettre son expérience aux générations futures.
Sois fort et tais-toi offre ici la possibilité au lecteur de s'interroger sur le caractère fondamental de l'existence, avec pour préoccupation principale la construction d'un sens moral capable d'intervenir, et de se révéler essentiel face à n'importe quelle situation.
Le déracinement d'un pays, d'un continent, l'exode vers un eldorado incertain qui aboutissent aux difficultés d'intégration, au choc des cultures, sans ignorer la barrière de la langue, donne un cocktail explosif.
Peut-être que les Noirs sont des Blancs qui sont restés longtemps au soleil ; mais alors, dans ce cas, pourquoi autant de différences dans la mentalité et le comportement ?
Le désespoir de tout un peuple, lié à la misère d'un continent entier, ne suffit pas à faire évoluer les choses.
Pourquoi tant de jalousie, d'hypocrisie, de cupidité, que ce soit en amitié, en famille ou en amour ?
Selon beaucoup de personnes, certains peuples n'auraient pas d'âme à cause de leur couleur de peau. On a tous besoin de croire en quelque chose ou en quelqu'un, pourquoi ne pas croire en nous tout simplement ?
Nous vivons dans un monde complexe, en profonde et rapide mutation. La multiplication des échanges et des contacts entre les peuples et les langues impose l'orientation vers des politiques qui favorisent la promotion du plurilinguisme, rendue plus nécessaire encore par les élargissements successifs de l'Union européenne. Des projets et des études cherchent à trouver des solutions à la problématique linguistique de l'Europe en faveur de la cohabitation harmonieuse de plusieurs nations, peuples et langues qui forment l'Union européenne. Le plurilinguisme, le multilinguisme, ou l'intercompréhension linguistique sont des solutions envisagées pour répondre aux défis soulevés par la coexistence des langues nationales de différents pays qui composent l'Europe.
Écrivaine algérienne de langue française, Maïssa Bey est une femme qui écrit sur les femmes. Contrairement à d'autres écrivains comme Mouloud Feraoun, elle dépeint la condition féminine explicitement et avec vraisemblance, à travers des thèmes récurrents : femme libre, femme rebelle, femme amoureuse... Elle s'intéresse ainsi au côté abstrait, à l'âme de la femme et notamment à tout ce qui engendre sa détresse. Par ses mots, elle compatit à la douleur de ses personnages féminins, brisant les silences et les interdits, tout en projetant certains fragments autobiographiques en eux. Grâce à divers procédés, l'auteur tente dans cette étude de décrire l'image de la femme à travers les mots d'une femme, en cherchant le quoi, le comment et le pourquoi.
Cet ouvrage est un bilan de sept années de carrière, de travail sur soi, de batailles acharnées et de moult challenges qui continuent.
Mieux connaître le monde du travail, y faire son entrée, s'y maintenir et s'épanouir aussi bien sur le plan professionnel que personnel, voilà les combats que le travailleur apprendra à mener grâce à ce document.
Enseignants et étudiants affrontent quotidiennement des faits de violences. Parfois insidieuses, celles-ci peuvent prendre des formes multiples ; se manifester physiquement ou verbalement. Les auteurs, qui sont des enseignants des universités du nord et du sud, mettent en exergue les actes de violence vécus dans les universités. Ils étudient également les régulations envisagées par les dirigeants et les textes de lois qui régissent les violences dans les universités
Cet ouvrage tente de comprendre pourquoi la médecine traditionnelle continue à récolter les faveurs des Marocains alors que la science médicale est en train de connaître un développement considérable. Il rend aussi hommage aux auxiliaires de la santé exerçant traditionnellement, nommés tradipraticiens.
Outre l'état des lieux de la tradipratique à Marrakech et l'aperçu historique qu'il propose, ce livre s'immisce dans l'univers des tradipraticiens pour cerner leurs particularités et présenter les résultats d'une enquête qui tente de percevoir la place de ce système de soins chez les Marrakchis. Aussi propose-t-il les grandes lignes d'une stratégie dans le but d'épurer, de sauvegarder et d'intégrer la médecine traditionnelle au sein du système de santé du Maroc.
Elles servent le diable avant Dieu est un plaidoyer en faveur de la gent féminine, contre l'affirmation longtemps soutenue par l'opinion générale que « les femmes sont diaboliques ». Ou pire, qu'elles sont au service du diable. Ou encore qu'elles seraient ses suppôts, dénonçant ainsi leur possible malveillance à l'égard des hommes.
Dans une société phallocratique fortement dominée par les hommes, cette assertion semble se vérifier à la lumière des faits, cependant elle soulève des questions essentielles et existentielles qui sont tout l'intérêt de ce roman, à savoir : pourquoi le diable paraît-il si irrésistible aux yeux des femmes ? D'où tient-il donc ce pouvoir de séduction tel qu'il fait courir les femmes ? Et à quoi peut-on bien le reconnaître ?...
Les derniers chiffres, en 2005, fournis par l'agence d'étude et de promotion de l'emploi (AGEPE) donnaient 5.28% de chômeurs et de sans emploi réels en Côte d'Ivoire. Cependant, l'ensemble de chômeurs réels et de chômeurs déguisés est estimés à 14.11% en 2010. Et pourtant, une enquête diligentée par nous et menée dans le milieu estudiantin, nous dit que, sur dix étudiants environ, seulement deux ou trois ont un emploi ; soit environ 85% de sans emploi. Aussi, nous-nous interrogeons, « pourquoi on a autant de sans emploi dans un pays encore sous-développé où tout est supposé à faire et à refaire ? Qui peut travailler en Côte d'Ivoire ? Qui doit travailler ? Avec qui devrons-nous et pouvons-nous travailler ? Comment doit-on se comporter pour obtenir un travail rémunéré? »
« Le pouvoir, pour le sociologue, les significations sont inégalement pertinentes. Il convient, dès lors, de préciser les critères permettant de délimiter le concept et de construire un objet susceptible de rendre compte de la complexité de ce concept "pouvoir". »
Depuis plus de sept ans, le Cameroun est absent sur les scènes cinématographiques de par le monde. Après le boom des années soixante-dix, le déclin de ce secteur culturel, pourtant porteur, va crescendo ; et la fermeture en 2009 des dernières salles de cinéma sur l'ensemble du territoire national (cinéma Abbia de Yaoundé, Le Wouri de Douala et Empire de Bafoussam) ne vient pas arranger la situation. Fort conscient du rôle non moins négligeable de la culture dans l'économie et surtout de la léthargie du cinéma qui, sans nul doute, est l'art fédérateur des autres arts par excellence, Monsieur Paul Biya, président de la République du Cameroun, crée un fonds : le compte d'affectation spéciale à la politique culturelle dont la dotation annuelle s'élève à un milliard de francs CFA.
Si la nouvelle est bien accueillie comme celle de la création du Fodic (Fonds de développement de l'industrie cinématographique) en 1972, la joie n'aura duré, une fois de plus, que le temps d'une moisson. Les prédateurs d'un genre nouveau, aux crocs longs, engendrés par la mère patrie, programmés pour se servir et sévir, vont accaparer une fois de plus cette manne salvatrice, an après an, au point de laisser croire à son inexistence.
Où va le monde ?
Ce XXIe siècle naissant si particulier nous réserve bien des surprises.
L'avenir est inattendu, toujours prêt à nous surprendre sans préavis, sans ménagement !
Au programme : dégradations de la société, pays ingouvernables, migrations massives, mondialisation incomprise, liberté d'expression mise à mal, pollutions diverses, l'amour, la vie, la mort, la famille, la foi et les croyances, les livres saints, Dieu bafoué, djihad et intégrismes, loi et dogme, tolérance et intolérance, langages de Babel, Khalil Gibran et Moïse Maïmonide, musique et expression artistique, rêves et réalités, anecdotes personnelles. Tous ces sujets, toutes ces pensées et opinions d'un homme ordinaire aboutiront à la difficile explication d'une probabilité de guerre d'un genre nouveau : GOG et MAGOG.
Pour finir, l'auteur vous offre « Le Concerto pour piano et orchestre », une nouvelle fantastique, un conte qui doit provoquer l'envie d'apprendre à cohabiter avec la réalité et la fiction, le visible et l'invisible.
L'ouvrage procède à un examen systématique des différents travaux réalisés dans le cadre de la réforme de la police nationale congolaise à partir d'une analyse approfondie basée sur une approche de résolution des problèmes qui est l'approche sara. Il met l'accent, tout à la fois, sur les contacts personnels de l'auteur avec les milieux policiers, sur les travaux de la société civile, la production de la commission défense et sécurité du parlement, les actes du gouvernement, les avis et considérations des policiers, les opinions émises par les populations congolaises sur les activités de la police et son devenir, la loi organique du 11 août 2011 sur l'organisation et le fonctionnement de la police nationale congolaise.
Ouvrage d'analyse pluridisciplinaire, principalement sociologique, Nicolas, François et la norme sociale traite des rapports de domination inhérents à la société française.
Il s'agit d'expliquer les conditions historiques menant à la possibilité d'une norme sociale, puis de la dépeindre.
En abolissant la monarchie et en séparant l'Église de l'État, la France s'est désolidarisée des moyens ancestraux qui permettaient la cohérence sociale entre individus d'une même culture. À ce problème d'incohérence sociale, la France s'est munie d'une norme sociale. Nous ferons l'expérience de cette norme sociale à travers la figure du président actuel et de son prédécesseur car la norme sociale a pour visée sa diffusion complète. Ainsi, chaque lecteur pourra-t-il y voir sa propre autobiographie.
Plus de cinquante ans après les indépendances, l'Afrique est toujours sur les plans économique, Politique, culturel, et social en crise. En dépit de moult initiatives pour le sauver, le continent est le foyer des guerres, de VIH/SIDA, de pauvreté galopante, d'analphabétisme, d'urbanisation délirante, de chômage des jeunes, de mauvais système éducatif et sanitaire, etc. La fracture sociale est si profonde que nous devons chercher à savoir quelle est la responsabilité des Africains face à ces malheurs en vue de les éradiquer. En fait, la question est de savoir pourquoi, malgré les forces politiques, économiques, sociales et culturelles qui existent, nous ne parvenons pas à résoudre nos problèmes ? Avec qui et surtout comment devons-nous reconstruire ce continent ?
Savez-vous que la principale cause du sous-développement de l'Afrique est ignorée et insoupçonnée ? Elle est essentiellement liée à la pratique de l'envoûtement. La lecture des recherches d'un socio-anthropologue fait des révélations. De l'explication des faits aux témoignages d'une trentaine de pays, cet ouvrage propose des solutions psycho-spirituelles pacifiques pour aider les Africains à libérer la chance de leur développement. Car elle détruit la vie et est dans le même temps « mise au service du détournement ». L'Afrique ne peut donc jamais réussir le développement humain et matériel sans éradiquer l'usage abusif des forces occultes lié à une mentalité qui nécessite une sérieuse éducation à l'esprit du bien. Ce qui interpelle la conscience de l'Unesco et d'autres institutions.
L’auteur est un spécialiste des sciences humaines. Dans cet essai qui détonne, la fantaisie qu’il nous livre est à la fois légère et grinçante, cultivée et revigorante. Sous un aspect ludique, humoristique et truffé de citations cocasses ou sérieuses, il aborde les problèmes de la société ambiante et le questionnement que tout un chacun traverse à un moment ou l’autre de son existence s’il entend se constituer en tant que sujet pensant, probe et libre, démocrate.
Sans vouloir jouer au philosophe ou au sociologue et encore moins au donneur de leçons, l’auteur entend stimuler l’esprit critique du lecteur, en suscitant chez lui quelques sourires indispensables à l’espèce humaine qu’il secoue avec tendresse ou vigueur, dans un phrasé rapide auquel on s’accroche très vite.
S'il existe en Afrique un défi majeur à relever, c'est le phénomène des enfants de la rue, connu familièrement sous le pseudonyme de « Nanga boko ». Ils auraient pu avoir la chance d'aller à l'école, d'apprendre un métier et de s'insérer honnêtement dans la vie. Mais hélas, la vie est mal faite ! Gilles, le roi de la pègre, serait-il capable de fournir des solutions pour résorber la délinquance juvénile et aider les couches sociales les plus vulnérables ?
L'Afrique est confrontée à plusieurs défis : guerres, corruption, gouvernance approximative, chômage des jeunes, etc.
Comme si cela ne suffisait pas, le continent est le bastion du virus mortel qu'est le SIDA. « Un continent ravagé par le sida », « Une catastrophe planétaire dont l'Afrique est la première victime », « sida : venir au secours de l'Afrique », voici ce que l'on peut lire fréquemment sur la situation actuelle du territoire. Autant ces discours se tiennent, autant les conséquences sociales sont énormes : le nombre d'orphelins laissés à eux-mêmes grandit et les états perdent, à cause de la maladie, les jeunes adultes sur lesquels ils pourraient fonder leur développement (main-d'oeuvre agricole comme jeunes diplômés), ceci malgré le fait que les efforts soient fournis par les gouvernements.
Dans cet ouvrage, qui continue d'épandre des graines prometteuses de civilisation, l'auteur persiste sur cette conviction que la matière n'est rien sans la lumière, et que celle-ci doit tout au temps.
Il s'agit de mettre de l'ordre dans nos valeurs pour donner une chance à notre civilisation chancelante.
Histoires de vie des enfants de la rue est un ouvrage de réflexion et de recherche qui concourt à la compréhension d'un état d'esprit, d'une inscription sociale dans une réalité sociale. Le parcours de l'Histoire de vie des enfants de la rue engage le chercheur et la société à comprendre le comportement souvent antisocial des uns et des autres pour, ensemble (chercheurs, pouvoir publique et la famille traditionnelle), proposer et suggérer des solutions appropriées qui préviennent et qui protègent les plus exposés, les plus jeunes.