À propos

«Il était une fois la Terre, bien avant la Terre... Car pour bien comprendre l'extraordinaire histoire de notre planète, il faut remonter aux origines de l'Univers, à la source de la matière. Cette matière qui constitue notre sous-sol, l'eau, l'air, les plantes, les animaux, mais également le papier de ce livre, ses deux auteurs, ses lectrices et ses lecteurs. Il était une fois... Voici donc une belle histoire, la mère de toutes les histoires. Attachez vos ceintures ! Le voyage que nous vous proposons va vous conduire loin, très loin, de l'infiniment grand à l'infiniment petit, de l'infiniment vieux à l'infiniment jeune...» En 50 chapitres courts, Pierrick Graviou et Erik Orsenna offrent au lecteur une histoire de la Terre, de ses roches, de ses premiers occupants, de leur évolution, et enfin de l'humanité.


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  • Auteur(s)

    Pierrick Graviou, Erik Orsenna, Serge Bloch

  • Éditeur

    Gallimard-Loisirs

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    05/10/2023

  • Collection

    Albums Beaux Livres

  • EAN

    9782742465521

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    212 Pages

  • Longueur

    24.5 cm

  • Largeur

    19.5 cm

  • Épaisseur

    2.5 cm

  • Poids

    724 g

  • Support principal

    Beaux-livres

Infos supplémentaires : Illustré   Relié  

Pierrick Graviou

Géologue au BRGM, il se consacre à la valorisation du patrimoine géologique. Il est l'auteur d'une quinzaine d'ouvrages consacrés à la popularisation des sciences de la Terre, dont Côte de Granit rose, Morbihan, Pays Bigouden et Mayotte.

Erik Orsenna

Je suis né à Paris, le 22 mars 1947 (de mon vrai nom Erik Arnoult), d'une famille où l'on trouve des banquiers saumurois, des paysans luxembourgeois et une papetière cubaine. Après des études de philosophie et de sciences politiques, je choisis l'économie. De retour d'Angleterre (London School of Economics), je publie mon premier roman en même temps que je deviens docteur d'État. Je prends pour pseudonyme Orsenna, le nom de la vieille ville du Rivage des Syrtes, de Julien Gracq.
Suivent onze années de recherche et d'enseignement dans le domaine de la finance internationale et de l'économie du développement (Université de Paris I, École normale supérieure). En 1981, Jean-Pierre Cot, ministre de la Coopération, m'appelle à son cabinet. Je m'y occuperai des matières premières et des négociations multilatérales. Deux ans plus tard, je rejoins l'Élysée en tant que conseiller culturel (et rédacteur des ébauches de discours subalternes). Dans les années 1990, auprès de Roland Dumas, ministre des Affaires étrangères, je traiterai de la démocratisation en Afrique et des relations entre l'Europe du Sud et le Maghreb. Entre-temps, j'ai quitté l'Université pour entrer, en décembre 1985, au Conseil d'État. Conseiller d'État depuis juillet 2000, je suis actuellement en disponibilité.
J'ai toujours voulu avoir un autre métier que l'écriture, d'abord pour être libre de donner le temps qu'il faut au livre. Le livre doit être le lieu de la liberté. J'écris chaque matin, pendant deux heures. Restent vingt-deux heures, largement de quoi s'occuper. Mes autres métiers me renseignent sur l'univers.
Parallèlement à mes activités administratives, j'ai donc écrit sept romans, dont La Vie comme à Lausanne, prix Roger Nimier 1978, et L'Exposition coloniale, prix Goncourt 1988. J'ai été élu, le 28 mai 1998, à l'Académie française, au fauteuil de Jacques-Yves Cousteau (17e fauteuil).
En plus de l'écriture, les voyages, la mer et la musique tiennent une place essentielle dans ma vie et dans mes livres. Ces passions, je les dois beaucoup à ma famille.
Ma mère m'a donné la passion des histoires et de la langue française.
Mon père, dont la famille avait une maison sur l'île de Bréhat, m'a enseigné la mer, les marées, les bateaux, les voyages au loin. Je préside d'ailleurs le Centre de la Mer (Corderie royale, à Rochefort).
J'entendais, de l'autre côté du mur, mon frère répéter inlassablement ses exercices de guitare. Et mon grand-père, qui me parlait de nos ascendances cubaines, esquissait de temps à autre, en dépit de sa corpulence, des pas de salsa.
Je n'ai fait que prolonger ces héritages.

Serge Bloch

Né en 1956 à Colmar, Serge Bloch est l'un des illustrateurs de jeunesse français les plus connus. Il commence par fréquenter l'atelier d'illustration de Claude Lapointe à l'École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg, puis travaille pour la presse enfantine. À l'origine du style graphique du magazine Astrapi, dont il est le rédacteur en chef visuel, il est aussi le père des célèbres Max et Lili ou encore de SamSam. Plusieurs fois récompensé dans l'édition de jeunesse, il met également ses dessins énergiques et percutants au service de la presse.

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